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Dénutrition - Coggle Diagram

- - - - la solitude
      - l’isolement social ou
        familial
      - le veuvage
  - - - dépression
      - deuil
- - - - Aborder le thème de l'alimentation en se servant de pictogrammes et de dessins
      - Informe le patient des matières premières dans son plat
      - Recueille les habitudes alimentaires du patient et s'informera sur le patient
      - Chaque jour le menu est proposé à travers la mac
      - Favorise l'apprentissage diététique et aide à la composition des assiettes
      - Facilite la communication entre patients et soignants
      - Incite les patients non francophones ou les patient trachéotomisés à élaborer des menus personnels
      - Aide les soignents à s'informer d'une allergie ou intolérance alimentaire
      - Permet d'entendre de manières respectueuses les convictions de chacun
      - S'informer sur le temps de cuisson
      - Facile à manipuler et simple d'apprentissage
- - - - déficit d'apport isolé
      - association d'un déficit d'apport à une augmentation des dépenses ou à des pertes énergétiques et/ou protéiques
      - augmentation des dépenses ou des pertes énergétiques et/ou protéiques
  - - - Critères biochimiques
        
        Albuminémie inférieure à 38 g/L
        
        Préalbuminémie inférieure à 0,3 g/L (dépend du degré d’altération
        de la fonction rénale)
        
        Cholestérolémie inférieure à 1 g/L
      - Critères de masse corporelle
        
        Perte de poids non intentionnelle de 5 % en 3 mois ou 10 % en 6 mois
        
        Masse grasse inférieure à 10 %
        
        Indice de masse corporelle (IMC = poids en kg/taille2 en m2) < à 23 kg/m2
      - Critères de perte de masse musculaire
        
        Réduction de la masse musculaire de 5 % en 3 mois ou 10 % en 6 mois
      - Critères d'apports en nutriments
        
        Apports spontanés en protéines inférieurs à 0,8 g/kg/jour pour les patients dialysés et inférieurs à 0,6 g/kg/jour pour l’insuffisance rénale chronique de stades 2 à 5
        
        Apports spontanés en calories inférieurs à 25 kcal/kg/jour
    - - modérée
        
        17 < IMC < 18.5 kg/m²
        
        perte de poid > 5% en un mois ou >10 % en six mois ou > 10% par rapport au pois habituel avant le début de la maladie
        
        mesure de l'albuminémie par immunonéphélémétrie ou immunoturbidimétrie > 30gl et < 35gl
      - Sévère
        
        IMC ≤ 17 kg/m 2
        
        • perte de poids ≥ 10 % en un mois ou ≥ 15 % en six mois ou ≥ 15 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie ;
        
        • mesure de l’albuminémie par immunoturbidimétrie ≤ 30 g/L.immunonéphélémétrie.
- - - - Prise du poids
      - Indice de masse corporelle
      - Mesure des plies cutanés
      - Estimation des apports alimentaires
      - Evaluation de la masse musculaire
    - - Ne pas avoir plus de douze heures de jeûne nocturne
      - Prise de trois vrais
        repas et d'une collation espacé de trois heures en moyenne
        
        Manger des fruits et légumes au moins 5 fois par jour
        
        Manger des aliments céréaliers a chaque repas
        
        Produits laitiers 3 à 4 fois par jour
        
        Protéines animales types viandes, poissons, œufs 2 fois par jour
      - Stimuler la boisson 1,5 L/jour,
        
        Majoration de 300 ml en cas de fièvre + de 37° ou en été
      - Évaluation de l'état nutritionnel
        
        Évaluation des ingesta
        
        quantifier chaque éléments consommé par la personne
    - - L’albumine
      - La pré-albumine
- - - - Texture lisse ou mixte
      - Eau gélifiée
      - Alimentation entérale
      - Sont hyperprotéinés
        
        Lutter contre la perte de poids
    - - Manoeuvre de Heimlich
    - - Déglutition
      - Permet de reprendre confiance en soi
      - Dietéticien
    - - tout au long de l'année
    - - Médecins gériatres
        
        Precrit la texture et les boissons adaptées
        
        Prescrit des bilans buccodentaires
      - Equipe soignante
        
        Distribution des repas
        
        Assiste au repas et transmets les informations
        
        Assure le suivi
      - Orthophoniste
        
        Réalise un bilan de dénutrituion sur prescription médicale
        
        Entretien qui permet de cibler les besoins du Patients
        
        Examen clinique puis observation d'un repas complet
        
        Prescription des repas
        
        Durant l'hospitalisation, de nombreuses réevaluations
        
        A la sortie, une plaquette contenant des mesures préventives
      - Diététicienne
        
        Effectue un bilan avec patient dénutri
        
        Créée une stratégie nutritionnelle
        
        mesures
        
        anthropométriques, bilan nutritionnel sanguin,
        
        présence de plaies et d’escarres
      - Erothérapeute
        
        Installation du patient lors du repas
        
        Proposer des aides adaptées
        
        Favoriser l'autonomie
  - - - Education thérapeutique
        
        Conseils diététiques d'enrichissement de l'alimentation
      - Complémentation nutritionnelle orale (CNO)
      - Nutrition parentéral pendant la dialyse
    - - 0,8 g/kg/jour
      - Si insuffisance progresse
        
        0,6 voire 0,4 g/kg/jour de protéines afin de diminuer la production d'urée et freiner la dégradation de la fonction rénale
        
        Un contrôle des apports
        protidiques permet de réduire la protéinurie et freiner la dégradation de la fonction rénale
      - En fonction du poids du patient
      - En fonction des consommations de chaque patient, une réduction des quantité ou des fréquences de consommation seront conseillées après un bilan alimentaire réalisé par un diététicien.
      - Au stade de l’hémodialyse (HD) et de la dialyse péritonéale (DP), l’apport protidique doit être augmenté à hauteur de 1,1 g/kg (en HD),1,5 g/kg (en DP) pour éviter la dénutrition
    - - Ne pas dépasser 2L car les reins, fonctionnant - bien, ne pourront pas éliminer un apport liquidien excessif qui s'accumulera dans l'organisme
- - - - Mastication
        
        Aliments broyés par les dents, imprégnés de salive et se transforment en bol alimentaire pouvant être avalés en plusieurs fois
      - Déglutition
        
        Etape volontaire
        
        Bol alimentaire poussé vers l'arrière jusque dans l'oropharynx par un mouvement de langue
        
        Etape pharyngienne
        
        Involontaire
        
        Démarre quand le bol arrive dans l'oropharynx. Les voies respiratoires se ferment. Quand le larynx s'élève, l'épiglotte est tiré vers l'arrière et le bas pour fermer la glotte. Le bol alimentaire traverse le laryngopharynx et arrive dans l'oesophage
        
        Etape oeusophagienne
        
        Un mouvement de péristaltisme (ensemble de contractions musculaires qui permet la progression d'un contenu à l'intérieur d'un organe creux) que le bol alimentaire arrive dans l'estomac
    - - Boissons
        
        1200ml/j
      - Constitution des aliments
        
        900ml/j
      - Eau produite lors des réactions d'oxydation des aliments
        
        300 ml/j
      - Pertes
        
        Urines
        
        1300 à 1500ml/j
        
        Matières fécales
        
        100 à 200 ml/j
        
        Cutanées
        
        800ml/j
  - - - Besoins caloriques si perte ou faible poids
        
        35 à 40 Kcal/kg/j
      - Besoins protidiques si dénutrition et/ou escarres
        
        1.2 à 2g/kg/jour
    - - 30 ml/kg/j (sauf en cas d'insuffisance rénale)
- - - - • perte de poids ≥ 5 % en un mois ou ≥ 10 % en six mois ou ≥ 10 % par rapport au poids habituel avant le début de la maladie ;
        
        • IMC < 18,5 kg/m 2
        
        • réduction quantifiée de la masse et/ou de la fonction musculaires
    - - réduction de la prise alimentaire ≥ 50 % pendant plus d’une semaine ou toute réduction des apports pendant plus de
        
        réduction de la prise alimentaire ≥ 50 % pendant plus d’une semaine ou toute réduction des apports pendant plus de
        
        situation d’agression (hyper-catabolisme protéique avec ou sans syndrome inflammatoire) : pathologie aiguë ou pathologie chronique évolutive ou patholo-gie maligne évolutive.
  - - - Marqueurs biologiques
        
        La protéine C-réactive
        
        Pour confirmer une hypoalbuminémie liée à une dénutrition protéino-énergétique
        
        Marqueur d’inflammation
        
        Inflammation chronique = cause potentielle de dénutrition protéino-énergétique
        
        Les lipides sanguins
        
        Patients atteints d'insuffisance rénal chronique présentent souvent des troubles nécessitant la prise d'hypolipémiants
        
        Taux sanguin inférieur à 2 g/L
        est associée à un risque de décès plus important
        
        La préalbumine ou transthyrétine
        
        Taux inférieur à 0,3 g/L est signe
        de dénutrition
        
        Albumine
        
        Taux cible supérieur à
        38 g/L
      - Evaluation de la composition corporelle
        
        Masse grasse
        
        Masse musculaire
        
        Niveau d'hydratation
        
        L'évaluation des masses musculaire & grasse permet d'identifier une éventuelle sarcopénie (carence musculaire)
      - Interrogatoire diététique
        
        Il existe plusieurs modes d’évaluation des habitudes alimentaires
        
        Exemple : relevé alimentaire de
        7 jours, inclut les jours de dialyse et de
        non-dialyse
        
        Les jours de dialyse peuvent avoir un impact délétère s'ils sont à proximité des repas, occasionnant un repas non pris ou peu important en termes de calories & protéines
- - - - Maladie rénale chronique & dialyse
        
        Inflammation chronique
        
        Troubles digestifs
        
        Anorexie liée à l'accumulation des toxines urémique
        
        Urée diminue fortement l'appétit du patient
        
        Vont générer déséquilibres
        
        Patient puise dans réserves protéino-énergétique sans lui permettre, par la diminution de ces apports, une reconstitution de ses réserves
        
        Polymédication
        
        Hospitalisations fréquentes
        
        Comorbidités
        
        Situation sociale précaire
        
        Anémie non corrigée
        
        Dépression
        
        Régimes trop restreints en calories & protéines
      - Hémodialyse
        
        Dose de dialyse insuffisante
        
        Alimentation restrictives en boissons, sel, phosphates & potassium
        
        Hypotension, malaise, céphalées
        
        Perte en nutriments & vitamines
        
        Inflammation
      - Dialyse péritonéale
        
        Dose de dialyse insuffisante
        
        Perte d'appétit & satiété précoce par l'apport de glucose & d'acides aminés
        
        Perte en nutriments & vitamines
        
        Inflammation
    - - Inflammation chronique
      - Acidose
      - Stress oxydatif
    - - Baisse de l'activité physique & augmentation de la sédentarité
      - Taux d'hormones bas
      - Résistance à l'insuline