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L'HOLISME, Définition - Coggle Diagram
L'HOLISME
En naturopathie
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- considèrer l’être sur ses différents plans et on conçoit la santé comme un état d’harmonie dynamique entre ceux-ci
interrelations constantes
- "Je n’exclue rien, j’intègre tout" P.V. Marchesseau
- santé holistique > un état de circulation de la vie sur tous les plans de l’être (sachant que la vie est mouvement)
- maladie > une rupture, un arrêt, un barrage à un niveau
- causalisme, tel qu’on le perçoit en naturopathie = recherche des causes profondes des maladies
(s’oppose au « symptômatisme » > l’allopathe conseille systématiquement des médicaments anti-quelque chose)
trouver la " cause supérieure" consiste à explorer les différents systèmes engagés, l'illusion d'une cause physique est à envisager
En alimentation
- l’aliment comme un tout et non comme une somme de nutriments dissociables les uns des autres > pensée réductionniste qui imprègne la recherche en nutrition
- en occident, une vraie recherche est réductionniste, hyper spécialisée, et doit tout décortiquer dans une certaine forme de verticalité scientifique
- ne pourrait-il pas exister des chercheurs transversaux et holistiques comme des chercheurs verticaux et réductionnistes ? > un maillage
- les produits ultra-transformés sont le fruit de l’approche réductionniste qui considère que puisque l’aliment n’est qu’une somme de composés, alors on peut le fractionner en une multitude de composés puis les recombiner.
- les calories et les nutriments ne sont pas interchangeables
2 aliments de même composition mais avec des matrices différentes n’auront pas le même effet sur la santé ex : une pomme entière est moins hyperglycémiante (élève moins rapidement le niveau de glucose dans le sang) et hyper-insulinémiante (élève moins rapidement le niveau d’insuline dans le sang) qu’une compote, et qu’une compote est moins hyperglycémiante et hyper-insulinémiante qu’un jus de pomme
Définition
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L’objectif > dépasser le clivage, «holisme contre réductionnisme», en se référant à la « systémique » et en proposant une méthode apte à faire des liens, à globaliser, tout en reconnaissant le singulier, l’individuel, le spécifique
- techniques holistiques souvent = aux thérapies non-conventionnelles > prise en compte de la « globalité de l’humain » et intervenant sur de multiples plans de l’être : physique, énergétique, émotionnel, mental, spirituel et éco-planétaire
- patient comme un individu unique dans toute sa complexité et non comme un malade qui se réduirait à sa pathologie
- la maladie = le résultat de certains désordres ou déséquilibres pouvant avoir un impact sur l’un des plans, avant de se propager aux autres
- en tant que thérapeute ne pas se focaliser sur la pathologie en elle-même mais poser un regard plus distancié, porter son attention sur l’individu chez qui se présente une telle problématique
- refuser de négliger les dysfonctionnements mineurs qui peuvent entrainer, à plus ou moins long terme, des conséquences majeures sur la santé > un rôle préventif dans un champ d’action complémentaire à celui de la médecine dite conventionnelle
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