. Bergeret, premier auteur à "s'être dégagé d'une appréhension négative de la violence", selon ce dernier, "la violence s'inscrit dans un champ qui touche au registre de la légitimité de la défense, dans un mouvement pour la vie, la survie..."page 44, il dit également "… Il en est tout autrement de la violence qui, n’accordant d’attention principale qu’à la protection du sujet contre l’ensemble des objets potentiellement menaçants, ne se préoccupe nullement des résultats que peuvent avoir, sur ces objets, ses réactions de brutalité purement défensive. Si le sujet en arrive même à détruire totalement l’objet, cela n’implique pour ce sujet aucun intérêt spécifique, aucun plaisir » (Bergeret J., 1994, p. 69).Combier-Veuillet, C. (2006).p.44)