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MÉMOIRE / MODÉLISATIONS
Atkinson et Shiffrin, 1971
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Cet ensemble de mémoires permet de réaliser une réponse plus ou moins adéquate en fonction de la tâche et de l’environnement
Mémoire long terme
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La MLT c’est ce qui permet d’acquérir des connaissances permanentes et de réaliser la tâche pour pouvoir la stocker en MLT pour répondre de manière immédiate
Baddeley, 2000
La mémoire de travail : implique plus que le maintien de l’information. C’est aussi de la décision, du maintien de la régulation de l’information
3 sous-systèmes
Boucle phonologique : Responsable du maintien et de la manipulation des infos verbales basées sur le langage utilisées
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Centre exécutif : sélectionner les stratégies les plus efficaces et d’intégrer les informations / Il supervise et gérer les répartitions des ressources attentionnelles. Il permet de focaliser l’attention endogène pour répartir l’attention plutôt du côté des consignes verbales plutôt que sur les infos spatiales ou inversement.
Buffer épisodique : mémoire tampon. Intègre des informations et génère un code multimodal / Registre à capacité limité permettant d’intégrer les informations en provenant du calepin et de la boucle et génère une représentation multimodale (sensoriel…) en lien avec la mémoire à LT. Cela donne l’occasion au sujet d’agir efficacement à partir de sa mémoire de travail
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Anderson, 1983
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3 mémoires
mémoire de travail : transitoire / permet d'agir dans la tâche / fait le pont entre déclaratif et procédural / Plus je prends de l’expertise, moins je passe par cette mémoire de travail parce que j’ai des procédures acquises.
En mémoire procédurale, ce sont des connaissances de procédure stockées sous forme de règles de production, proche de l’action concrète. Ex : le vélo / difficile à expliquer avec des mots / implicites / manière de faire / association complexes entre comportements, conduite et états mentaux +/_ automatisés
Mémoire déclarative : stocke des connaissances sous une forme sémantique de contextes / de mots / concepts (ex : capitale de l'Italie = Rome) / prise de conscience et un contrôle intentionnel
Tulving, 1995
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un stockage LT (récupération) parallèle / indépendant / une info encodée reste en mémoire même si niveau supérieur défaillant
sert de base de test pour Alzheimer, AVC, trauma crâniens...
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Eustache et Desgrange, 2003
5 systèmes de mémoire / une relation dynamique / un administrateur central (buffer épisodique) > associe différents modèles précédents
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Il y a des liens puissants entre mémoire de travail, procédure et déclarative (sans passer par administration centrale)
Cowan, 1988
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modèle à système UNIQUE / moniste (contrairement aux autres) : la mémoire CT est incluse dans la mémoire LT / critique les modèles sériels (Tulving, anderson)
Focus attentionnel : Il explique aussi le rôle des connaissances dans le contrôle de la situation au regard du but, de la motivation (rapport mémoire LT / CT sur l’exécutif grâce au focus intentionnel).
Limite : Plus juste du point de vue fonctionnel, mais pour diagnostiquer les troubles, il ne permet pas de réaliser des tests concrets / modèle vivant ne permettant pas de faire des simulations / des ordinateurs
Permet d’expliquer l’intervention précoce des connaissances (mémoire LT) du sujet dans le codage de la situation (sans faire appel à ce mouvement sériel). les connaissances peuvent être variables et en fonction de l’état de ces connaissances, elles sont considérées comme étant en mémoire LT ou CT (mémoire de travail).
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