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Psychologie économique - Coggle Diagram

- - - - Il est un philosophe moraliste qui travaille sur les sentiments moraux
      - Il cherche à comprendre les sentiments humains et surtout les sentiments moraux
      - Son œuvre c’est sur les sentiments: il parle de la sympathie
    - - Condillac a écrit un traité de sensation: le point de départ c’est que l’humain a une sensation qui fait naître un besoin
        
        On a besoin d’utilité et cela fait la valeur d’un bien (la valeur est subjective)
        
        L'essentiel de la valeur de quelque chose c'est l'utilité et la valeur qu'on lui accorde (cela répond à des sensations)
    - - Il est physiocrate
      - Il a inventé l'utilité marginale: il a écrit les voies de l'échange et il a utilisé un principe en observant le comportement humain
    - - Il construit la théorie de l'utilitarisme: les humains ne conçoivent leur intérêt que sous le rapport du plaisir et de la peine
      - L'humain cherche toujours à maximiser son profit et à maximiser sa peine
    - - "La valeur n'est pas inhérente du bien, elle n'est pas une propriété, elle n'est pas une chose qui existe en soi... Elle n'existe pas en dehors de la conscience de l'Homme"
  - - - Economie pure "C'est une science séparée, fondée sur l'analyse du choix rationnel et complèment indépendante de la psychologie"
      - Il pense qu'on peut laisser les sentiments et les émotions au second plan
      - Il pose des jalons d'une économie pure, d'une économie du bien être
      - On développe une économie qui cherche des faits purs
  - - - C'est un économiste et il observe que pour certains bien plus le prix augmente, plus les gens consomment
        
        "Effet VEBLEN" donc il appelle cela la consommation ostentatoire
      - Il travaille sur la consommation: il démontre que la consommation dépend des habitudes et il critique la consommation ostentatoire car les personnes consomment pour montrer
    - - Il montre que la consommation augmente avec le revenu mais moins vite que le revenu
      - Il parle des anticipations, on a l'efficacité keynésienne: subjective qui peut être affectée par un climat de confiance et que le monde est qualifié par une incertitude radicale
      - Construire une macroéconomie qui tient en compte des mécanisme psychologiques
    - - Il a le "nobel" d'économie et il a un prix en psychologie
      - Il va étudier comment l'humain décide et les processus de décision donc il s'intéresse à la vison cognitive
      - Il montre que nous avons une rationnalité limitée: on a une capacité limitée de mémorisation, une capacité limitée de conceptualisation et on prend des décisions avec des règles très simples (les heuristiques)
      - Il montre que le principe humain l'humain n'optimise pas et qu'il fonctionne sous le principe de satisfaction (il oppose la satisfaction à l'optimisation)
- - - - Comprendre pourquoi dans certaines occasions on fait des choix qui peuvent paraître irrationnels
      - En quoi l'économie comportementale se distingue t-elle de l'économie traditionnelle?
        
        Nos choix sont limités, nos capacités sont limitées: On fait des choix biaisés, on est sans cesse sous influence de la société, de notre groupe, de notre famille et nous sommes soumis à des émotions
        
        Est-ce qu'on peut prédire nos comportements?
        
        Ce domaine apporte beaucoup d'éléments qui nous aident à comprendre et beaucoup de choix en économie se font dans l'incertitude
        
        L'étude des choix individuels face aux risques, face aux pertes, face aux échecs, le choix inter temporel
        
        Quels sont nos biais psychologiques dans nos choix individuels?
        
        On pondère plus fortement le présent, on peut changer de préférence individuelle
        
        L'étude des interactions stratégiques
        
        Comment on se comporte face à des agents avec lesquels on intéragit, avec lesquels on doit avoir des stratégies?
        
        Ex: Faire un contrat avec un partenaire
        
        L'étude des marchés
        
        On peut expérimenter des marchés, comment se fixent les prix?
        
        Comment dans les situations économiques on fait des choix sachant qu'on est biaisés, limités, influencés et surtout tous différents?
        
        L'économie aimerait prédire quelque chose, mais ce domaine va apporter des éléments qui permettent de comprendre les comportements individuels et collectifs et les situations économiques.
      - Champs qui étudie le comportement réel des êtres humains dans les situations économiques
    - - L'influence des autres
        
        Plus on interagit avec les autres, plus nous avons des comportements des mimétismes
        
        Des études ont mis en évidence que nous avons une aversion à l'inégalité
        
        Collectivement on accepte au quotidien beaucoup d'inégalités mais on est habitué à ses inégalites
      - Instabilité et imperfection des préférences
        
        Nos préférences, nos choix ne sont pas stables dans le temps et il y a une forme d'incohérence temporelle
        
        Les expériences ont montré qu'il y a une sorte de préférence temporelle
      - Egoisme/Altruisme
        
        Nous avons naturellement un comportement pro social à l'altruisme
        
        On est pas que des égoistes qui ont pour seul but de gagner de l'argent, mais plus on monte les sommes d'argent plus nous sommes altruistes
    - - Il faut définir un protocole précisant les rôles, le niveau d'information par exemple
      - On va définir un jeu en fonction de notre question économique et l'hypothèse qu'on veut tester
      - Souvent ça concerne les modèles issues de la théorie du jeu, ou de la décision
      - On essaye de nous mettre au plus proche du choix risqué, c’est pourquoi il y’a différente conception et protocole
      - On fait passer des tests dans des laboratoires, ou sur le terrain on observe on récupère les données
      - L’objectif est d’avoir de grands échantillons pour ensuite les publiées et enfin valider les hypothèses de départ et en tirer des recommandations
    - - Ils sont arrivés à des résultats sur la décision et sur l'incertitude
      - On ne réagit pas de la même manière en terme de résultat: Les agents ne décident pas en terme de gain et on n'agit pas en terme de perte (aversion à la perte)
      - La psychologie est
        
        L'étude scientifique des comportements et des processus mentaux
        
        Comportement, action ou réaction observable chez les humains ou les animaux
        
        Processus mentaux, processus liés aux fonctions mentales (perception, pensée)
        
        Elle vise l'être vivant en tant qu'unité élémentaire
    - - La psychologie économique étudie le comportement économique "réel" de l'individu
        
        Les chercheurs s'interrogent notamment sur la façon dont le processus de décision s'opère
        
        Comment on adopte un comportement? Comment le processus de décision s'opère?
        
        Conceptions idéologiques: Processus cognitive c'est un processus qui nous aide à traiter l'information
        
        Intérêt pour
        
        Comment consommer (à moindre coût par ex) de façon matérielle (objet) ou immatérielle (distraction, apprendre)
        
        Comment on investi (pour soi par ex)
        
        Comment travailler (gagner plus, modalités)
        
        Comment on épargne, on achète
        
        Tout cela relève d'une évolution selon la balance coût-bénéfice
      - Apports de la psychologie à l'économie
        
        Les économistes proposent le plus souvent un niveau d'abstraction et de généralité de leurs théories qu'on ne trouve pas normalement chez les psychologues sociaux et comportementalistes
        
        Psychologie expérimentale
        
        Etude du fonctionnement psychique par l'observation directe des comportements naturels ou dans une situation expérimentale
        
        C'est l'utilisation d'une méthode scientifique expérimentale. Elle étudie des comportements observables: observe, décrit
        
        Très utiles en psychologie comportementale ex: béhaviorisme
        
        Concepts clés de la psychologie expérimentale (tout cela est l'économie comportementale)
        
        Créer des conditions
        
        Manipuler
        
        Expérimentation
        
        Comparer les résultat
        
        Psychologie sociale
        
        La psychologie sociale s'intéresse au comportement social de l'individu
        
        Les psychologues sociaux considèrent que c'est à partir de l'étude de l'individu que l'on peut cerner le comportement des groupes et dégager des lois fondamentales qui s'appliquent à tous les individus
        
        Intérêt pour: La prise de décision individuelle et collective, la communication, la motivation
        
        L’influence sociale: Le rôle prédominant des normes sociales ou morales (équité par ex) pour expliquer les comportements individuels
        
        L’aversion à la perte: valeur subjective, valeur qu’on accorde
        
        Les gens ne pensent pas en terme d'ésperance de gain, ils ne réagissent pas de la même façon pour une perte et un gain
        
        Le framing effet: pour les psychologues c’est un trait marqué du comportement humain
        
        Notre comportement varie selon la façon dont l’information nous est présentée
        
        L’importance du contexte: La présentation sur nos jugements, nos estimations, notre prise de décision et le framing effect est utilisée par le marketing par ex (pour nous influencer)
        
        Le biais du status quo
        
        C’est une tendance à rester avec les mêmes choix et c’est lié au fait que nous raisonnons avec un point de référence
- - - - Lorsqu’il y a incertitude: la maximisation porte sur l’utilité espérée (posibilités de réalisation d’un évènement via l’espace des probabilités)
    - - Ce qui est en jeu avec le paradoxe d'Allais: La pertinence et la cohérence de la théorie de l'utilité espérée
        
        Paradoxe d'Allais
        
        On a demandé aux humains de faire des choix (expérience avec les loteries) et donc le premier mit en évidence c’est le paradoxe d’Allais: la théorité de l’utilité espérée n’est pas respectée
        
        Le paradoxe remet en cause la rationalité du choix en présence de risque
      - Il y a un principe: Principe de la chose sûre
        
        Si on préfère X à Y on le préfère quelque soit les conditions ou les autres événements qui n’ont pas de rapport et donc la moitié des agents ne font pas des choix cohérents (effet de certitude et de l’incertitude)
        
        Kahneman et Tversky (1979) sont les premiers à proposer une explication cohérente du paradoxe et l'existence des préférences d'Allais
        
        L'effet de certitude: C'est le fait que la différence entre un gain certain et un gain probable nous paraît bien plus important qu'une différence comparable dans la gamme de possibilités intermédiaires
        
        L'effet de certitude montre le rôle que le sentiment de regret peut avoir dans la résolution du paradoxe
      - Damasio
        
        Un sentiment découle d'un ensemble d'émotions
        
        Un sentiment est un état affectif, et le sentiment de culpabilité se base sur la peur, la colère
      - Le paradoxe d'Ellsberg (1961)
        
        Ellsberg conteste donc l'idée que les agents économiques peuvent toujours formuler correctement des probabilités subjectives en l'absence d'information statistique précise
        
        Ce test montre des biais liés notamment à l'aversion à l'ambiguité et à la préférence pour le connu
        
        Test: dans une urne il y a 90 boules de couleurs soit noir, rouge ou jaune et il y a 30 boules rouges et 60 boules noires ou jaunes
        
        Ce test montre que le choix des agents ne sont pas le résultat d'un choix rationnel fondé sur un calcul rationnel
        
        Il y le choix entre A1, A2 et puis B1 et B2
        
        La majorité des gens choisit A1 puis B2, les choix ne sont pas cohérents au sens de la théorie du choix rationnel
    - - Économie comportementale: elle met les actions et les prises de décision face aux risques
    - - Comment les économistes standards agissent face à la prise de décision risquée?
      - Comportements face aux risques: On ne raisonne pas sur l'espérance de gain mais sur l'utilité espérée
      - L’homo oeconomicus a des préférences qui ont des propriétés (stables et cohérentes), on peut avoir une fonction d'utilité
  - - - Variabilité intra individuelle: Variabilité pour un même individu, dans des situations et contextes différents
      - Variabilité inter groupe: Variabilité de groupe différente, selon le milieu social (choix des études, âge)
      - Variabilité inter individuelle: Variabilité entre les individus, au sein d'un même groupe
    - - C'est l'observation du comportement, il cherche à comprendre ce qui se passe et il naît au 20e siècle
    - - Définitions
        
        L'émotion est un mouvement, un état. C'est une réaction psychologique qui engendre une réaction physique suite à une situation désagréable ou agréable
        
        Robert Plutchik va développer le concept d'émotions fondamentales
        
        Il y a des emotions de base qui vont se répartir (il y a joie, peur, surprise)
        
        Elles sont précisées par des évènements et ses émotions vont répondre par l'adoption d'un comportement donc on a des réactions
      - Emotions et rationalité
        
        Antonio R. Damasio "L'erreur de descartes"
        
        Erreur du raisonnement cartésien qui tend à dissocier les émotions aux raisonnements logiques
        
        Catherine Belzung "Biologie des émotions"
        
        S'intéresse à la biologie des émotions, elle remet en cause la croyance selon laquelle les émotions perturberaient la prise de décision rationnelle
        
        Selon eux les humains prennent des décisions non seulement en fonction de la logique, de la rationnalité et en fonction des mécanismes biologiques innées et des expériences passés
        
        Antonio Damasio parle de marqueur somatique
        
        Il donne l'exemple d'une perception qui se produit au niveau du ventre, à l'idée d'une situation ou d'une action négative
        
        Ces marqueurs jouent un rôle essentiel dans notre prise de décision
    - - L'effet de dotation
        
        Désigne une tendance des agents économiques à attribuer une des plus grandes valeurs des objets qu'ils possèdent à celui qu'ils ne possèdent pas
        
        Etude de Kanheman "Knetsh et Thaler"
        
        Ceux qui recoivent des tasses à l'effigie de leur université et qui peuvent les échanger contre des barres de chocolat (groupe 1)
        
        Ceux qui reçoivent des barres de chocolat qu'ils peuvent échanger contre des mugs (groupe 2)
        
        Enfin, ceux qui ne reçoivent rien mais qui doivent donner leur préférence entre les barres et les mugs (groupe 3)
        
        L'effet de dotation: lorsque les individus entrent en possession d'un bien ils modifient la façon dont ils évaluent
        
        Elle sera renforcée par la présence d'état émotionnelle positif via l'heuristique d'affectivité: prise des décisions sur la base d'image mentale
        
        Résultats: 89% des sujets choissent leur mug (groupe 1), 90% des sujets préfèrent de garder leur barre de chocolat (groupe 2), 56% des étudiants ont opté pour un mug (groupe 3)
      - Les attributions
        
        Désigne la raison pour laquelle les individus donnent pour expliquer l'ocurrence d'un événement ou les comportements d'une personne
        
        Heider en 1957 explique que ces attributions sont des théories rationnelles càd que nos attributions sont basées sur des logiques impécables
        
        Pour expliquer un évènement, attribution 2 possibilités
        
        Notre personnalité qui permet d'expliquer le comportement d'une personne
        
        Notre manière de raisonner nous conduit à élaborer une explication
      - L'erreur fondamentale d'attribution
        
        Si on est dépendant du contexte, on peut se tromper
        
        Notre théorie explicative de l'évènement est fausse par le contexte
        
        La théorie de l'erreur fondamentale n'est pas une réelle attribution: elle est erronée par le contexte
      - Locus de contrôle
        
        Principe par Rotter dans les années 50: les individus diffèrents dans leurs appréciations
        
        Le locus interne: personnes qui pensent que leurs sort dépendent d'elles-mêmes
        
        Le locus externe: Personnes qui estiment que leurs sorts, leurs reussites dépendent des facteurs extérieurs
      - Effet de faux consensus
        
        Pour les psychologues sociaux: C'est une tendance égocentrique qui vise à estimer le comportement d'autrui à partir de nos propres comportements
        
        Il joue sur la formation des anticiptions et elle s'appuie sur l'attribution, l'environnement et des aspects dispostionnels comme la personnalité
  - - - Herbet Simon (1901-2001) Prix nobel 1978
      - La rationnalité est limitée par les habitudes et les réflexes, les valeurs, la perception du contexte, la conception des objectifs à atteindre et l'étendue des connaissances et informations
      - L'humain a une capacité limité à mémoriser l'information, on a une capacité limité à percevoir une situation, les enjeux et les consèquences
      - Les choix des individus sont toujours rationnels, ils font l'objet d'un processus de séléction en vue du meilleur choix subjectivement possible (cette rationalité est limité par l'environnement)
      - Il décrit le comportement humain en disant
        
        Lorsque l'agent est confronté à un choix, l'individu
        
        Ne peut pas chercher la solution optimum par manque de temps, informations, capacités et argent
        
        Passe en revue les quelques solutions d'actions possibles qu'il va retenir avec leurs conséquences simplifiées
        
        Construit un modèle simplifié de la réalité
        
        S'arrête à la première solution qui convienne selon quelques critères objectifs et subjectifs (il recherche un niveau minimum de satisfaction)
        
        L'homme ajuste ces critères de satisfaction à la hausse ou à la baisse selon la complexité et l'importance de la décision
      - Simon et d'autres vont dire que l'humain est quotidiennement face à des décisions rapides et inconscientes et automique et de temps en temps de décisions complexes
      - Ils vont dire que pour toutes ces décisions on fait appel à des mécanismes: heuristique (on parle d'heuristique de décision)
    - - Le terme heuristique vient du mot grècque "Eureka" qui veut dire trouver, on parle également de raccourcie mentaux
      - Les heuristiques représentent des règles décisionnelles rapidement applicables, faciles à utiliser et la plupart du temps correctes
        
        Dans notre vie quotienne, nous utilisons souvent des raccourcis mentaux, c'est-à-dire des heuristiques, qui nous permettent de nous adapter rapidement à une situation
      - Plusieurs heuristiques ont été identifiées par les psychologues
        
        l'heuristique de disponibilité
        
        l'heuristique de "familiarité" : Conséquence qu'on a de l'aversion à l’inconnu, à l'ambiguïté
        
        l'heuristique de représentativité : C'est notre tendance à généraliser à partir d’un cas particulier et c'est sur cette base que je décide et représente l’information
        
        l'heuristique d'ancrage : On a tendance à encréer nos décisions, et nos décisions sont impactées par une valeur numérique arbitraire dès qu'on est face à du quantifiable
        
        l'heuristique d'affectivité : La façon dont on traite la décision, l'information qu'on nous donne, il y'a une composante décisionnel très forte
        
        On peut aussi y associer l'effet de présentation appelé encore effet de "cadrage" ou « framing effect » : Nos choix sont guidés par la façon dont on nous présente l'information
- - - - C'est évoluer vers un nouveau modèle économique et social, un modèle qui renouvelle nos façons de consommer, de produire
      - Il faut comprendre ce qui détermine le comportement
  - - - Comment inciter des changements de comportements?
        
        L’approche est resté purement individuel et en plus le choix rationnel, si c’est purement rationnel c’est facile de changer de comportement.
        
        Un autre instrument c’est la réglementation: on interdit un produit, on définit des normes. C’est ce qui domine la politique environnementale
  - - - On parle de biais cognitifs lorsqu'on observe une distorsion/ incohérence entre l'attitude, les valeurs et les comportements
      - Attitude en psychologie sociale: être en faveur ou défavorable à certaines choses
    - - Nos valeurs déterminent nos attitudes et nos attitudes qui se traduisent en comportements
    - - Notre cerveau a 2 modalités entre la pensée et la première réaction
      - Ce qui détermine le plus ce sont les emotions
      - On est essentiellement dans un fonctionnement où on traite vite les informations et on réagit
    - - Évitement de l’effort cognitif trop coûteux : Je me réfère aux informations les plus accessibles en mémoire (heuristique de disponibilité)
      - Confirmation d’hypothèses : Je sélectionne inconsciemment les informations qui vont dans le sens de mes opinions et évite celles qui me dérangent (heuristique de représentativité et de familiarité)
      - On a tendance à aller vers ce qui est le plus familier pour nous
    - - Optimisme comparatif / irréaliste : Plus généralement, on estime être moins à risque qu’autrui pour les évènements négatifs et plus chanceux qu’autrui pour les évènements positifs
      - Comment ces biais agissent pour la capacité à changer nos comportements ?
        
        Pour l’écologie on parle d’un optimisme spatiale car on se considère moins à risque pour certaines catastrophes
      - Pessimisme temporel: C'est de se dire pourquoi je changerais quelque chose qui va se produire quand je ne serais plus là
    - - Dans le domaine de l’environnement il y'a une autre source de frein important
      - Question de controle, locus de controle
      - Propension humaine à vouloir exercer un contrôle effectif sur son existence, son environnement
    - - Le sentiment de responsabilité : la perception d’être personnellement à l’origine d’actes par ex ayant des consèquences sur les autres
      - La dissonance cognitive : état d'inconfort psychologique dans lequel nous nous trouvons quand nos actes ne sont pas en accord avec notre pensée ou notre attitude initiale
  - - - Changer les comportements: Contradiction avec le paradigme de l'Homme rationnel et attitude procède le comportement
      - La dissonance cognitive: L'Homme réduit son inconfort psychologique en recherchant une adéquation entre son comportement et son opinion
        
        Attitude: tendance a évaluer un objet ou une personne (trois modes)
        
        Affectif
        
        Conatif
        
        Cognitif
      - Place des émotions: Faire face au panel d'émotions qui submerge la personne