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Relation interpersonnelles: lien mutuel entre deux (ou plus) personnes…

- - - - Facteurs déterminants
        
        Proximité: influence la probabilité de développer une relation
        
        deux types
        
        proximité physique (distance)
        
        proximité fonctionnelle (configuration de l'espace, plus grande influence que la proximité physique puisque plus d'interaction)
        
        Comment (mécanismes)
        
        Disponibilité: augmente le nombre de contact possible
        
        Anticipation de l'interaction: la prévisibilité créer des attentes, on peut donc anticiper une certaine action. Anticipation entraîne des sentiments et des comportements liés à la valence de ses sentiments et renforce l'attitude face à la personne concernée (cercle vertueux vs cercle viscieux)
        
        Effet de simple exposition: exposition répétée augmente l'affect positif
        
        Comment
        
        Sentiment de compétence (objet facile à traiter, on peut anticiper)
        
        Sentiment de sécurité
        
        Par conditionnement: absence de conséquences négatives
        
        Similarité: valeurs, comportements, attitudes et autres similaires entre deux personnes
        
        Comment (mécanismes)
        
        Validation de soi: satisfaisant d'être confronté dans nos croyances, valeurs, opinions, attitudes (moins de chances de se confronter puisqu'ils se ressemble sur plusieurs aspect)
        
        Interactions harmonieuses: réduit les risques de désaccord puisqu'il y a moins de conflit (croyances et valeurs similaires donc pas de conflits)
        
        Appréciation de soi: le fait de savoir que quelqu'un nous apprécie fait en sorte qu'on les apprécie davantage en retour
        
        Attirance physique
        
        Par
        
        Effet de halo: croyance que les personnes attirantes ont des qualités positives propres à leur culture (plus heureux, intelligents, désirable, etc.). Cercle virtueux/viscieux où les personnes plus/moins attirantes font ressortir les côtés les plus/moins désirables de leur personnalité.
        
        Mécanismes
        
        Saillance perceptive: la beauté physique est immédiatement perceptible alors que la beauté intérieure est plus difficile à traiter. Le traitement de l'information se fait alors très rapidement et ont des impact assez profond comme sur notre comportement
        
        Prestige de l'autre: on juge plus positivement un individu dont le/la partenaire est attirante
        
        Biologie et évolution: consensus à travers les individus sur les jugements de beauté (mécanisme est peut-être inné et universel)
        
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- - - - Sécure: (idéal, plus de chance de se marier) facile d'établir un contact, être confortable de dépendre de quelqu'un et que quelqu'un dépend d'eux, peut de soucis par rapport à l'abandon et au rapprochement
      - Anxieux-ambivalent: les autres sont réticents à être aussi proche de la personne qu'elle aimerait, inquiétudes si le partenaire l'aime, désire fusionner
      - Évitant: inconfortable dans l'intimité, mal à faire confiance aux autre et à devoir être dépendant
  - - - Niveau de comparaison: attentes par rapport à la relation (reflète ce qu'on croit mériter). Satisfaction quand l'écart entre les attentes et qu'on recoit dans la relation est grand (écart positive)
      - Niveau de comparaison des alternative: attentes par rapport à des solutions de rechange (individus qui pourraient remplacer le partenaire actuel)
      - Investissement: coût de la relation à ce jour (temps, efforts, soins, mémoires, possessions communes, amitié communes). Les investissement détermine le niveau d'engagement
- - - - Comment on les mesure
        
        Attitudes explicites: questionnaire, mais pas représentatif des vrais attitudes puisque la personne ne peut soit pas être consciente de ses vraies attitudes ou agir pour des raisons d'influences normatives
        
        Attitudes implicites: peut pas être inhibé consicemment alors c'est la méthode de choix
        
        mesuré par
        
        Amorçage: on amorce un concept stéréotypé (ex: personnes âgés) et on montre ensuite un mot correspondant au stéréotype (lent) et on voit la rapidité à traiter le mot. Très rapide = le mot est bien dans le schéma, moins rapide = indifférence ou pas présent. Comparaison des temps de réponses avec le mot lent avec la condition personne âgé et personne jeune.
        
        Compétiton entre deux réponses: mesure la force d'association entre un concept et une attitude. On associe un bouton à un stéréotype et des mots négatifs (condition 1) et l'autre bouton pour l'autre groupe et les mots positif. Dans la condition 2 on associe le bouton au stéréotpe et les mots positifs... On compare la rapidité des réponses et des erreurs dans la condition 1 et 2. Une plus grande rapiditié dans la condition 1 et plus d'erreurs dans la condition deuux signifie la présence d'attitudes négatives envers le groupe stéréotypés
        
        Bulle interpersonnelle: distance où on se sent à l'aise en présence d'une autre personne. On mesure la distance physique, la conductance électrodermale et le rythme cardiaque
    - - selon deux facettes
        
        centralité de l'attitude: importance personnelle de l'attitude (elle se rattache à une valeur personnelle)
        
        accessibilité de l'attitude: facilité avec laquelle l'attitude est activée (plus elle est accessible plus elle est intense
- - - - causes
        
        dissonance postdécisionnelle: les décisions difficile entraîne de la dissonance (si la décision est difficile c'est parce que chaque choix a des effets désirables et indésirable). Après la décision (postdecision) la personne sera plus convaincue de sa décision qu'avant
        
        soumission induite et justification insuffisante: quand on force quelqu'un à agir à l'encontre de ses attitudes, valeurs et croyances la personne va faire expérience de dissonance (plus grande lorsque la justification externe est insuffisante). Entraîne un changement dans l'attitude pour réduire la dissonance. Exemple: on paye quelqu'un 1$ pour faire une tâche plate et on paye l'autre 20$ pour faire la tâche plate. 20$ est une explication suffisante pour faire la tâche et l'attitude face à la tâche ne sera pas changer. Par contre, 1$ n'est pas une compasation suffisante pour justifier le fait qu'ils ont complété une tâche plate et de prétendre que c'était une tâche intéressante. Donc ils vont faire un changement dans leur attitude (si je l'ai fait pour si peu c'est parce que c'était pas si plate que ça au final)
        
        la persuasion et le changement d'attitude peut se produire par deux voies différentes:
        
        Voie centrale: c'est quand on porte attention activement à la substance du message et on y réfléchis (processus contrôlés, focus sur le contenu)
        
        Voie périphérique: c'est quand on porte attention par les aspects superficiels du message (beauté/crédibilité de la soure, longeur du message, émotions suscitées) (processus automatiques, focus sur le contenant)
- - - - Mimétismes automatiques: on va mimiquer les autres (posture, émotion, gestuelle)
        
        Causes: action idéomotrice (le fait de penser à un action la rend plus probable), neurones miroirs (neurones activé lorsqu'on imagine et voir les autres agir), appréciation de l'autre (on apprécie ceux qui nous imitent = forme de validation)
      - Influence informationnelle: influencer pour avoir une juste perception du monde (il nous manque des informations lorsque c'est ambigüe)
      - Influence normative: influencé par les autres par le désir d'approbation ou peur du rejet
      - Influence des minorités: puisque ça prend bcp de irisque de s'opposer à la majorité, leurs points doivent être valides (alors le message passe par la voie centrale et a plus de chances de changer les croyances de façon durable)
  - - - basées sur la raison: norme de réciprocité (si quelqu'un fait quelque chose pour nous on veut lui rendre la pareille)
        
        Technique de la porte en pleine face: requête déraisonnable (refus certain) suivi par la vrai requête plus raisonnable (peut être vue comme une concession) alors la personne va dire oui pour elle aussi faire une concession (répondre à une concession par une concession)
        
        Technique du pied-dans-la-porte: faire une demande très raisonnable (dont on est sure la personne va dire oui) pour ensuite enchaîner avec la vrai demande (un peu moins raisonnable), la personne a plus de chance de dire oui avec la plus grosse demande si on commence par une petite plutot que de juste demander la grosse au départ
        
        Technique du ce-n'est-pas-tout: ajouter une deuxième offre à la première qui créer une pression qui favorise l'acquiscement
      - basées sur les émotions: émotions peuvent diminuer ou augmenter les chances d'acquiescement
        
        Émotions positives: quand on est de bonne humeur on a plus de probabilité d'acquiscer à une demande
        
        Émotions négatives: quand on est de mauvaise humeur, on a moins de chance d'acquiescer. Cependant, quand on a des émotions négatives comme la culpabilité ça l'augmente les chances d'acquiescement.
        
        Hypothèse du soulagement de l'état négatif (aquiescement sera motivé par le désir de se débarrasser du sentiment négatif et de se sentir mieux par rapport à soi-même (forme de compensation)
  - - - Force poussant à exécuter la demande: respect de l'engagement, influence normative, besoin de constance, technique du pieds-dans-la-porte, etc.
      - Force poussant à ne pas exécuter la demande: morale, responsabilité, influence des minorités, ...
    - - Inéfficacité des tentatives de résistance: on est pas préparés à réagir en accord avec nos intentions (même si on est bien intentionné). Ce qui fait en sorte qu'on peut faire des actions qu'on aurait jamais pensé exécuter avant. L'angoisse nous empêche de bien préparer nos actions/parole. S'il y a suspension des normes sociales habituelles on développe un sentiment d'impuissance.
      - Déresponsabilisation: on attribue la responsabilité de nos actes à la figure d'autorité (expérience intense de stress et d'impuissance)
      - Implication progressive: technique du pied dans la porte (on progresse par petits paliers qui peuvent paraître résonnable par petit paliers)