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Sociologie, La socialisation, le Fonctionnalisme (un paradigme du pôle…

- - - - Le statut a évolué
        
        dans les sociétés traditionnelles, c’était un statut assigné, forgé par la société
        
        dans les sociétés industrialisées, il est devenu un statut acquis, choisi par l’individu
- - - - Chaque classe dispose de ses propres spécificités et valeurs
      - Les habitus dépendent aussi des conditions matérielles de chaque classe
      - Les individus sont socialisés à devenir ce que leur classe attend d’eux
- - - - « Des normes éducatives s’imposent à chaque époque avec la force du fait social, et prescrivent à chaque génération d’éducateurs/éducatrices la manière dont elle va élever ses enfants » (Le « fait social » = extériorité & contrainte)
      - « Parce que l’éducation ‘reproduit’ la société, mais ne la créé pas, les éducateurs ne peuvent pas créer chez l’enfant des dispositions qu’ils n’ont pas eux-mêmes et qu’ils n’auraient pas acquises lors de leur propre éducation »
- - - - « En insistant sur la fonction de ‘maintien des modèles’ (stabilité normative), Parsons en souligne le rôle intégrateur et consensuel du ‘système social’, et laisse penser que tout ordre existant est légitime » … voir même ‘nécessaire’...
      - Cette critique est bien formulée par Norbert Elias : « Le jugement de valeur consiste en ceci que l’on entend involontairement par fonction les activités d’une partie seraient ‘bonnes’ pour le tout, parce qu’elles contribuent au maintien de l’intégrité d’un système social existant. Les activités humaines qui n’y contribuent pas ou ne semblent pas y contribuer sont qualifiées de ‘dysfonctionnelles’. »
- - - - Ex. « Les déficiences fonctionnelles de la structure officielle engendrent une structure de remplacement (non officielle) pour satisfaire plus efficacement les besoins existants » (?)
      - Exemple : Besoin de conformité aux valeurs dominantes de la société d’appartenance
        
        Emergence de pratiques illicites (criminalité) chez des individus qui sont privés des moyens licites de vivre une mobilité sociale ascendante et/ou d’accumulation de signes extérieurs de richesse.
        
        Analyse de la criminalité comme la traduction d’une adhésion forte de ces individus ‘déviants’ aux valeurs dominantes de la société en question, et donc de leur bonne intégration sociale. (cf. Cours sur la déviance).
      - Ex. « Les déficiences fonctionnelles de la structure officielle engendrent une structure de remplacement (non officielle) pour satisfaire plus efficacement les besoins existants »
- - - - Caractériser les violences urbaines: Émeutes’ régulières et violentes dans les quartiers déshérités des grandes villes; Initiées par une jeunesse multiethnique, souvent d’origine maghrébine ou immigrée; Violences dirigées contre l’État et ses institutions; Forte visibilité publique et médiatique
      - la réussite scolaire et l’intégration
        professionnelle des jeunes issus de l’immigration
      - ...
    - - Caractériser les violences urbaines: Violences sporadiques au sein de groupes de jeunes ou entre bandes de jeunes, mais d’envergure limitée; Conflits intra-ethniques (jeunes immigrés) ou inter-ethniques avec des groupes se revendiquant ‘racistes’ (néo-Nazi); Peu de visibilité médiatique ou politique
      - la réussite scolaire et l’intégration
        professionnelle des jeunes issus de l’immigration
      - ...
  - - - Les jeunes issu·e·s de l’immigration adhérent aux valeurs dominantes de la société française et ne sont plus du tout influencé·e·s par leurs supposées ‘origines culturelles’
      - La discrimination dont ils sont l’objet les empêchent de se conformer aux attentes normatives de la société d’accueil (décrocher un diplôme, trouver un emploi, quitter le foyer parental, etc.)
      - Leur révolte violente contre les structures représentatives de l’autorité publique (écoles, commissariats de quartier, Maisons de la jeunesse, etc.) exprime une frustration à l’égard des obstacles qui les empêchent d’accéder aux pratiques ‘normales’ pour les jeunes Français de leur âge et non pas un rejet du modèle culturel français.
      - Violences urbaines = le signe d’une forte intégration sociale !
- - - - Toutefois, contrairement à ce que l’on pourrait imaginer, la déviance et la criminalité ne sont pas forcément connotées négativement dans ce paradigme. Elles sont appréhendées comme des moteurs indispensables du changement social.
    - - L’anomie caractérise une situation où les individus sont livrés à eux- ou elles-mêmes (être seul, sans conseiller), sans pouvoir se référer aux règles de conduite suffisamment contraignantes pour cadrer leurs choix et comportements (ex. les hommes célibataires dans l’analyse du Suicide chez Durkheim).
      - L’anomie constitue un fait social qui se manifeste dans un ensemble de comportements spécifiques (le suicide, mais également la déviance/la criminalité).
      - Pour Durkheim, ces comportements sont ‘normaux’, dans le sens où ils constituent des caractéristiques nécessaires et inévitables de toute société démocratique complexe, fondée sur la solidarité organique (i.e. la division sociale du travail & l’interdépendance fonctionnelle des individus).
    - - Pour Durkheim, aucune société complexe n’est en mesure d’imposer des règles communes à l’ensemble de ses membres (sans recourir à un degré inacceptable de violence légitime dans un régime politique démocratique)
      - De plus, la valorisation du ‘libre choix’ individuel qui caractérise la 2ème modernité (cf. Beck) produit nécessairement un certain degré de non-conformité aux normes collectives (au point de se demander si la non-conformité ne serait pas devenue une nouvelle norme… ?!).
    - - Pour les fonctionnalistes, la déviance est ‘nécessaire’ au bon fonctionnement social
        
        Elle remplit une fonction adaptative car elle introduit de nouvelles manières de faire et de penser et constitue donc un moteur du changement et d’adaptation des individus et des sociétés aux situations nouvelles (ex. évolutions technologiques)
        
        Elle remplit une fonction affirmative car elle est souvent suivie d’une mobilisation collective pour réaffirmer les frontières entre les ‘bons’ et les ‘mauvais’ comportements. La réaction collective à la transgression d’une norme (déviance ou criminalité) permet d’élaborer ou de consolider un consensus à propos des comportements jugés ’acceptables’ ou ‘inacceptables’ dans un contexte sociohistorique donné.
  - - - Il insiste sur les tensions qui pèsent sur les individus dès lors que les normes sociales dominantes entrent en conflit avec certains aspects de la réalité sociale (Giddens, 2007: 797)
      - Pour illustrer cela, il commence par définir les normes dominantes dans un contexte socio-historique spécifique sur lequel il travaille (USA années 1950), avant d’élaborer quelques pistes explicatives des comportements non conformes à ces normes, dont la criminalité.
    - - qui peut se manifester de différentes manières (ex. occuper un emploi bien rémunéré, habiter une belle maison dans un beau quartier, posséder une belle voiture, accumuler d’autres ‘signes extérieurs de richesse’, comme la montre Rolex à 40 ans…)
      - Mais, elle est particulièrement valorisée quand elles mobilisent deux valeurs / comportements complémentaires : le travail et l’autodiscipline
      - Cette norme dominante est donc fondée sur l’idée selon laquelle
        
        Toute personne qui travaille dur et qui ne ‘gaspille’ pas ses ressources est susceptible de réussir dans la vie (i.e. de se conformer à la norme dominante de la réussite économique).
        
        Cette capacité de réussite est censée se répartir équitablement entre tous les citoyens, quelle que soient leur condition sociale de départ (figure emblématique du self-made man).
        
        Mais, Merton constate que ce récit normatif dominant est en décalage avec la réalité sociale des USA de l’époque.
        
        En réalité, il est statistiquement peu probable que les groupes sociaux les plus désavantagés puissent effectivement ‘réussir’ au même titre que les plus dotés en capitaux dès la naissance (les fameux WASP – White Anglo-Saxon Protestant).
        
        Ces groupes désavantagés subissent pourtant une pression considérable à se conformer à la norme de réussite individuelle, qui devient une condition de leur intégration + reconnaissance sociales (ils sont stigmatisés + sanctionnés en cas d’échec)
        
        Ces groupes ont de fortes chances de mobiliser tous les moyens à leur disposition - légitimes, mais également illégitimes - pour se mettre en conformité avec les normes dominantes de la société dans laquelle ils vivent.
    - - Merton propose une typologie des cinq réactions potentielles des individus confrontés à un tel décalage entre des valeurs sociales dominantes et leurs chances objectivement limitées de pouvoir s’y conformer (Giddens, 2007: 797).
        
        Pour ce faire, il croise le rapport des individus
        
        Aux cultural goals (buts culturellement valorisés – de la réussite matérielle par le travail et le contrôle de soi), qui peuvent être acceptés ou rejetés, et
        
        Aux institutionalised means (moyens institutionnalisés pour atteindre ces buts), qui peuvent aussi être acceptés ou rejetés.
        
        Cela donne lieu à l’identification de cinq idéaux-types
        
        Les conformistes
        
        Sont très majoritaires dans l’enquête de Merton
        
        Ils reconnaissent la légitimité des normes dominantes de réussite sociale et acceptent de s’y conformer à l’aide de moyens légitimes seulement (= les ‘honnêtes gens’)
        
        Malgré le peu de chances objectives qu’ils ont de réussir à devenir très riches, ils continuent de croire que cette forme de réussite matérielle est souhaitable
        
        Ils pensent que leurs difficultés à y parvenir tiennent à un manque de travail ou de self-control de leur part (cf. idée de la violence symbolique du système scolaire chez Bourdieu).
        
        Les innovateurs / innovatrices
        
        Ils reconnaissent également la légitimité des normes dominantes de réussite sociale & économique
        
        Mais, devant l’impossibilité de se conformer à cette norme par les moyens institutionnellement reconnus, ils/elles mobilisent des moyens illégitimes, voire illégaux pour y parvenir
        
        Ces individus privilégient les ‘fins’ (conformité aux normes) sur les ‘moyens’ (respect des voies légales pour y parvenir)
        
        Ici, l’illégalité des comportements ne traduit nullement un rejet des normes sociales dominantes (bien au contraire).
        
        Les ritualistes
        
        Se conforment aux comportements les plus valorisés socialement
        
        Adhérent aux valeurs dominantes
        
        Mais ils ne savent pas/plus tellement pourquoi ils le font
        
        Les retranché·e·s
        
        Ils prennent leur distance à l’égard des normes de compétition et d’avancement personnel et à l’égard des moyens jugés légitimes pour y parvenir
        
        Ils/elles adoptent des comportements illégitimes ou illégaux, mais pas en vue d’atteindre les objectifs socialement valorisés (ex. l’accumulation de richesses)
        
        Ils vont privilégier des modes de vie collectifs alternatifs, quitte à subir une forme de marginalisation sociale
        
        → Tout comportement déviant / criminel ne traduit donc pas nécessairement une conformité aux valeurs sociales dominantes.
        
        Les rebelles
        
        rejettent à la fois le système de valeurs dominants et les moyens légitimes pour atteindre les objectifs de ‘réussite’
        
        Ils/elles cherchent à leur substituer de nouvelles normes et de nouvelles valeurs
        
        Loin de se retrancher dans des espaces socialement marginalisés (comme les retranchés), ils/elles vont chercher à imposer leur système alternatif de valeurs aux autres (= des ‘révolutionnaires’)
        
        Ici, la localisation des individus en dehors du cadre de la typologie vise à illustrer les mécanismes à l’œuvre lors d’un éventuel changement de système normatif (Merton, 1957, cité par Giddens, 2007: 797-798)
  - - - La préoccupation des (néo-)fonctionnalistes) = comprendre pourquoi certains individus se conforment aux normes sociales alors que d’autres les transgressent (explications sociologiques de la criminalité)
      - Celle des interactionnistes = saisir les mécanismes sociaux qui mènent à définir certains groupes ou certaines pratiques sociales comme ‘déviants’.
    - - Il se suffit pas d’appréhender la déviance comme le comportement de tel ou tel individu ou groupe social au regard d’un ensemble de normes sociales prédéfinies
      - Encore faut-il comprendre comment certains groupes ou comportements arrivent à être désignés (i.e. étiquetés) comme ‘déviants’, alors que d’autres ne le sont pas.
      - Becker insiste sur les rapports de pouvoir qui sous-tendent le processus d’étiquetage; certains groupes sociaux ont la possibilité d’imposer leur définition de la ’moralité conventionnelle’ aux autres.
      - Ce sont les groupes qui disposent d’un pouvoir légitime (cf. Max Weber) ou plutôt d’un ‘pouvoir à légitimer’.
    - - a) de catégoriser certain·e·s individus ou comportements comme déviant·e·s (ou pas) et
      - b) de faire accepter cette catégorisation comme légitime?
    - - Ex. le fait de ramasser en cachette des pommes sur l’arbre dans un jardin privé ne sera pas ‘étiqueté’ de la même manière selon les caractéristiques de l’individu qui le fait (ex. les enfants des voisins ‘chipent’ les pommes (on tolère), alors que les enfants d’un campement de Roms installé dans le coin les ‘volent’).
    - - Ce que les individus font concrètement (leurs actes) a relativement peu de choses à voir avec leurs chances d’être étiquetés comme ‘déviants’ ou pas
      - Le processus d’étiquetage dépend d’une appréciation globale (et subjective) de l’individu, établie à partir de son apparence physique, son allure vestimentaire, son statut social, son pays d’origine, la couleur de sa peau, etc., et moins au regard de ce qu’il fait (ou ne fait pas) au quotidien.
    - - D’après Lemart (1972), lors de la déviance primaire:
        
        La plupart des individus transgressent les règles de vie commune à un moment ou un autre de leur existence
        
        Toutefois, ils/elles ne sont pas pour autant perçu·e·s comme ‘déviant·e·s’ par autrui (perception)
        
        Et, surtout, ils/elles n’intègrent pas forcément cette pratique déviante dans leur image de soi (self-perception)
        
        En effet, la plupart des pratiques transgressives (ex. jeter un mégot par terre) passent inaperçues dans la vie de tous les jours et sont même tolérées, voire ‘normalisées’.
      - Toujours d’après Lemart (1972), lors de la déviance secondaire:
        
        Ce processus de normalisation n’a pas lieu
        
        L’individu [ou l’acte] concerné est désigné·e comme déviant·e, voire comme ‘criminel·le’
        
        L’individu sera alors amené·e à intégrer cette étiquette dans son image de soi (self-perception).
        
        Cette désignation et cette perception de soi combinées finiront par influencer le comportement de l’individu concerné: il/elle va être progressivement intégré·e·s dans une sous culture de la déviance, voire de la criminalité.
      - Pour illustrer ce processus de désignation et d’identification, Giddens donne l’exemple d’un jeune homme - Luc - qui brise accidentellement la vitrine d’un magasin lors d’une sortie un peu arrosée avec des copains en ville un samedi soir. Plusieurs résultats peuvent découler de cet acte:
        
        Soit le geste passe inaperçu et Luc rentre chez lui sans plus y penser (déviance primaire).
        
        Soit la police passe par là et Luc est arrêté et amené au poste (désignation potentielle). A partir de ce moment-là, son devenir peut encore dépendre du statut et des contacts de ses parents.
        
        Les parents de Luc obtiennent du propriétaire du magasin qu’il retire sa plainte, quitte à rembourser le prix de remplacement de la vitrine [et à priver leur fils de sorties pendant plusieurs semaines];
        
        Par manque de volonté ou par manque d’argent, les parents s’abstiennent d’intervenir, ou bien le propriétaire refuse leur offre, et l’affaire arrive devant un tribunal.
        
        Sur les recommandations de leurs proches, les parents trouvent un bon avocat, qui obtient l’acquittement de Luc
        
        Les parents ne connaissent pas d’avocats; Luc est défendu par un jeune avocat commis d’office et est condamné à une peine de prison (avec ou sans sursis).
        
        Arrivé à ce stade (déviance secondaire):
        
        Luc a de fortes chances de se retrouver coupé de son réseau familial et amical de sociabilité (les autres ‘parents de bonne famille’ ne souhaitant pas que leurs fils fréquentent un tel ‘criminel’)
        
        Luc [et ses parents] peut encore refuser de se considérer comme un ‘criminel’, mettant son expérience sur le compte d’une ‘erreur de jeunesse’
        
        Mais Luc peut intégrer son étiquette de ‘délinquant’ et ajuster son comportement en fonction des attentes de son nouvel entourage social (‘déviant’). (Exemple cité par Giddens, 2007: 800).
        
        Le passage de la déviance primaire à la déviance secondaire amène une ‘amplification de la déviance’ (Wilkins 1964, cité par Giddens, 2007: 800).
        
        Pendant ce temps là, le propriétaire du magasin à la vitrine brisée, qui tient depuis des années une comptabilité parallèle en vue d’éviter de payer une partie de ses impôts, continuera d’être perçu [et de se percevoir] comme un membre tout à fait respectable (i.e. ni déviant, ni criminel) de la communauté (déviance primaire). (Exemple cité par Giddens, 2007:800)
  - - - Ici, la déviance est interprétée comme une forme active de résistance des ‘dominé·e·s’ à l’égard des injustices du système social (capitaliste).
      - S’intéresse aux ’paniques morales’ à propos du comportement de certains groupes désavantagés (ex. les émeutes urbaines impliquant des jeunes issu·e·s de l’immigration dans les banlieues des grandes villes)
      - Ces ‘paniques’ servent à masquer l’inégale répartition du pouvoir et des ressources économiques et à dévier l’attention (y.c. des médias) sur d’autres terrains.
    - - La tolérance collective à l’égard de tel ou tel comportement reflète l’état des rapports de pouvoir dans une société (cf. les approches interactionnistes)
      - Le système juridique (Droit) & judiciaire est orienté en faveur de la protection des intérêts des groupes les plus privilégiés dans une société (ex. tolérance sociale plus forte à l’égard de la criminalité de ‘col blanc’ que pour les émeutes urbaines, le trafic de drogues douces, etc.)
      - La non-conformité à la légalité peut constituer une stratégie de résistance de la part des groupes sociaux qui se trouvent exclus de fait des espaces de pouvoir.
- - - - L’état théologique est dominé par les prêtres et les militaires, l’unité́ de base est alors la famille [patriarcale, cela va de soi...].
      - L’état métaphysique se recoupe avec le Moyen-Age et la Renaissance. Il est gouverné par les philosophes et les juristes et le groupe social fondamental est l’Etat (régulateur).
      - L’âge positif voit la suprématie des scientifiques (et des industriels), qui agissent comme des guides de moralité́ pour l’ensemble de l’humanité́.
      - [Temps révolu aujourd’hui?...]
- - - - Imaginer de nouvelles formes du vivre ensemble
      - Imposer de nouvelles formes de régulation de la vie sociale / collective.
    - - La Révolution des lumières du 18e siècle, visant à dépasser l’obscurantisme et la superstition, donc dans un lent mouvement de sécularisation des sociétés ;
      - La Révolution française de 1789, saisie dans sa dimension démocratique, marquant la fin de la transmission intergénérationnelle directe des richesses ;
      - La Révolution industrielle du 19e siècle (d’abord en Allemagne et R-U), urbanisation + essor du salariat.
    - - La volonté de découvrir et décrire les caractéristiques de la vie sociale qui prend forme dans ce contexte historique particulier (description & comparaison)
      - Le désir d’orienter les réponses apportées aux ‘troubles sociaux’ d’une époque mouvementée (intervention sociale).