La Seconde Guerre mondiale était une guerre avec beaucoup de significance pour les Canadiens noirs. 2000 Canadiens qui n'étaient pas dans des bataillons noirs ont combattu à joindre les unités régulières, certains de ces Canadiens ayant même des médailles de valoure. Ces soldats canadiens bataillaient sur la ligne de front, mais les civils ont beaucoup contribué à cette guerre, en fabriquant les armes et les fournitures pour lutter dans cette guerre. Cette guerre était aussi très significante pour les noirs parce que cette guerre était la première guerre là où ll n'y avait pas un bataillon ségrégué pour les noirs, et là où les Canadiens noirs ont pu servir dans la Marine royale canadienne et l'Aviation royale canadienne, à cause des Canadiens noirs comme Jeremiah Jones qui ont lutté pour ce droit. Ceci était l'une des premières fois dans l'histoire où les noirs était traités presque comme des égaux. Cela était un point très important et significant dans l'histoire des noirs canadiens. Pendant cette époque, les gens avaient des sentiments forts que les noirs ne devraient pas avoir le droit de sevir leur pays en s'enrôlant pur l'armée, la marine royale, et l'aviation royale, à cause de la couleur de leur peau. Pendant la seconde guerre mondiale, les noirs travaillaient dans des usines qui des armes, des munitions, des véhicules, et d'autres matériaux pour l'effort de guerre. Ils prenaient aussi part aussi à des efforts patriotiques comme les campagnes d'obligations d'emprunt de guerre. Les femmes noires en Nouvelle-Écosse travaillaient à des emplois essentiels de l'industrie de la construction navale, pour remplacer des hommes qui faisaient normalement ce travail, mais qui étaient partier lutter dans la guerre. L'inclusion et l'impact des noirs pendant la Seconde Guerre mondiale et leur désir de servir leur pays pendant cette guerre a rendu le racisme moins à la mode, et une chose plus mal vu à cause de la solidartié nationale pendant le temps de guerre. Par exemple, un bar de Vancouver a reçu une amende lorsqu'un homme noir s'est plaint qu'on a refusé de le servir. Un autre exemple serait une patinoire à Toronto, qui ne laissait pas entrer les noirs a été boycotté jusqu'à les propiétaires de la patinoire ont décidé d'y laisser entrer les noirs. Robin Winks, un chroniqueur pour la presse de McGill en 1997, a écrit dans The Blacks in Canada (Les Noirs au Canada) que si la Seconde guerre mondiale n'était pas la fin du racisme au Canada, alors c'était le début de la fin parce que pour la première fois, des choses qui étaient considérés normales avant faisait sujet à des critiques vocales parce que beaucoup de Canadiens noirs ont commencé d'être plus assertif. La différence entre cela et la situation dans la Première guerre mondiale est qu'en 1914, au début de la Première guerre mondiale, les volontaires noirs n’étaient pas les bienvenus dans le Corps expéditionnaire canadien. George Morton, un militant pour les droits civils, qui était un coiffeur et un facteur, temoigne à J.R.B. Whitney, l’éditeur du Canadian Observer, qui se décrit comme l’organe officiel des noirs au Canada. Whitney propose, en novembre 1915, de constituer une unité de 150 soldats noirs. Sir Sam Hughes, le ministre canadien de militie et défence pendant la Première guerre mondiale, l’a répondu que «désormais, ces gens peuvent former un peloton au sein de n’importe quel bataillon, rien au monde pourrait les en empêcher...» sans dire que pour former tel peloton, la personne devait être auparavant accepté par le commandant d’un bataillon autorisé. Aucun commandant n’est prêt à accepter le bataillon constitué par Whitney en mettant une publicité de recrutement pour le bataillon noir dans son journal, jusqu’à ce bataillon est finalement accepté le 5 juillet 1916 lorsque le ministre de la Guerre britannique confirme qu’il accepte une telle unité.