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MYCO : Utilisation levures → ← PARASITO ↓ - Coggle Diagram
MYCO : Utilisation levures →
← PARASITO
↓
Agro
Saccharomyces cerevisiae
Fermentation pain
Invertase transforme saccharose en Frc et Glc
Maltopermease transforme maltose en 2 Glc
Amylase transforme amylose ou amylopectine en amidon
Température à la fin > 50°C pour tuer la levure
Fabrication vin
Souche pure a une forte capacité à fermenter alcool et faibles productions de composés sufrés et d'ac. acétique
Acidité du jus, EtOH et produits soufrés inhibent croissance des autres micro organismes
Accumulation EtOH tue la levure
Fabrication bière
Moût fabriqué à partir d'orge et de houblon va contenir des sucres fermentescibles ou non et des AA puis ensuite ensemencé avec 10à15 millions de cellules de
S. c.
/mL
3 étapes :
• Croissance de levure
• Fermentation stricte : transformes sucres fermentescibles en alcool et CO2 dans cet ordre → Glc puis fructose puis maltose puis maltotriose. AA vont produire des composés volatils influençant goût et odeur.
• Floculation et Refroidissement : utilisation différentes souches comme
S. uvarum
responsable de la fermentation basse entre 5 et 14°C ou
S. cerevisiae
pour fermentation haute entre 15 et 20°C. Important pour le goût
Fabrication saké : avec
Aspergillus oryzae
ajouté au riz cuit
Biotechnologie
Modèle
S. cerevisiae
: eucaryote simple, croissance rapide, génétique puissante, mutants, petit génome, transformation efficace, simple à cultiver et à manipuler, non pathogène, coût faible
Production prot recombinante
Fabrication vaccin hépatite B : Fragment d'ADN de Ag du virus insérer dans plasmide de levure de boulanger. Ag ensuite purifier pour vaccin
Disposer de l'ADN codant pour la prot
Insérer dans hôte
Extraite la prot
Expression insuline humaine avec
S. c.
grâce au peptide signal alpha-factor
Puces à protéines : avec
S. c.
, 4088 ORF clonées dans plasmide d'expression → expression et purif des 4088 prot → Dépôt des 4088 prot sur puce
Identification partenaires protéiques par double hybride chez
S. c.
: facteur de transcription avec BD et AD qui stabilise ARNp II. BD fixé à X forme appât et AD fixé à Y forme la proie. Si transcription cela veut dire que X et Y interagissent. Sur matrice ou criblage des banques. → 1548^rot et 2358 intéractions
Recherche : Cycle et division cellulaire chez
S pombe
et
S.c.
pour identifier molécules clés contrôlant le cycle et mise en évidence de caractère universel
Médicale
Opportunisme : passage possible d'une forme de vie saprophyte à une étape parasitaire virulente (parasitisme facultatif) dans certains cas d'immuno def. humaine rétrovirale ou thérapeutique
Commensalisme : l'organisme se nourrit de matière organique sur un être vivant sans entraîner de trouver chez l'hôte → immunité microbiote → symbiose (
Entamoeba coli
)
Taille : µm à m
Stades parasitaires
Intra ou extra cellulaire
Oeuf, larve (nymphaire) ou adulte (imago)
Formes de résistances
Asexuée et potentiel sexuel
Spécificité : Un parasite est +/- lié à son hôte
Parasite sténoxène (poux, hématozoaire) : inféodés à un seul hôte
Parasite euryxène : spécificité lâche
Classification biologique
Selon localisation : intra ou extra cell
%Selon migration : voies aérienne ou sanguine ; rampe ; pseudopodes ; ventouses ; cils ; flagelle ; mb ondulante
Effet parasitaires sur leur hôtes
Action spoliatrice : dans le sang
Action mécanique traumatique : lyse cellule, occlusion lymphatique, biliaire ou intestinale
Action traumatique bactérifère : perforation muqueuse ou revêtement cutané
Action irritative : granulomes inflammatoire autour des oeufs ou larbes, spasmes intestinaux, diarrhées, épisode de toux au passage de forme venimeuse larvaire
Action toxique
Action immunodépressive
Facilitation parasitaire et Echappement : très forte fécondité, polyembryonie au stade larbaire et résistance particulière au milieu ext, longévité de plusieurs années
Cycles parasitaires et Epidémiologie
Conditions écologiques : climat, sol, faune/flore
Conditions éthologiques
• Cycles directs (monoxène) : cycle court où le parasite est directement infestant
• Cycle monoxène long : maturation (éclosion, mue), court séjour dans le milieu ext.
• Cycles indirects (hétéroxènes) : un ou plusieurs hôtes intermédiaires
• Hôtes intermédiaires: obligation d'y séjourner pour certains parasites pour forme spécifique (larvaire le + souvent) pour être infecter hôte définitif
• Hôte intermédiaire actif ou vecteur
• Hôte intermédiaire passif : abrite forme infestante jsq passage accidentel chez hôte définitif
• Hôte définitif : forme adulte ou sexuée
Protozoaires
Sarcodina
→
Entamoeba histolytica
Syndrome dysentérique chez enfant en malnutrition ou migration ; 10% de la pop mondiale infectée
Pas de vacuole ni de mito → mitosome avec gènes similaires de mito ; transformation trophozoïte/kyste mal connue; organisation génome impacte la virulence : ADN riche en T et A, séquences répétées, ré-arrangement, rétro-transposons
Colonisation colon humain :
E. coli
,
E. dispar
...
Susceptibilité de l'hôte
En fonction du genre
Barrières : flore bactérienne, mucus, cell endothéliales
R.I. : PMN, macrophages, NK, LT, ROS/NO, compléments, Ac...
Cycle monoxène court : kystes arrivent dans intestin grêle → enkystement. Cycle arrêté si patient soigné
Le trophozoïte lacère la muqueuse en exprimant lectine et galactosamide → parasite se fixe sur prot KERP1 de l'entérocyte → KERP1 déclanche reponse Ac anti lectine (mélitine) → jonctions fortes enterocytes défaites permettant entrée parasite → se retrouve dans lamina propria → reconnu par S.I.I., neutrophile et Ac → amédiase tissulaire hépatique le + souvent (ou pulmonaire), abcès cérébraux puis nécrose dans des cas + rares
Mastigophora
Tripanosoma cruzi
Larve hématophage pique homme, bétail ou faune sauvage → se multiplie d'abord dans le tube digestif de la punaise par mitose (Amérique Latine et Centrale → augmentation virulence → accrochage avec actine → migration et stocké dans excrément → proche du site de piqûre → fini chez l'Homme si pas piqué auparavant (hôte définitif) → circulation puis phagocyté par système réticulaire endocytaire → multiplication jsq explosion de la cellule avec ROS → dissémination dans tissu (porteur à vie dans tissu profond comme le muscle) → asymptomatique
Nombreux facteurs de virulence, hétérogénéité génétique des souches, perte virulence si passages successifs
Facteurs de virulences
Résistance au stress oxydatif
Evasion commune : résistance complément (CRIT, prot qui inhibe R au C2)
Adhésion et évasion en se cachant dans vacuole parasitophore, milieu avec phospholipases C et A2, gp82, gp85, TC52 (inhibe réponse T)
Libre, symbiote ou parasite ; 1 ou plusieurs flagelles ; reproduction en division binaire ;plusieurs ordres ; kinétoplaste (ADN) : blépharoblaste (poche) + corps parabasal à l'opposé du flagelle
T. brucei
Vecteurs : mouche ; hôte définitif : Homme
Multiplication dans tube digestif de la mouche tsétsé, procyclique donc pas virulent → transmission salivaire quand la mouche pique l'H. → circulation sanguine, lymphatique et céphalo rachidien, forme tripomastigote → démyélinisation SN donc perte cérébrale provoquant dysfonction système moteur et grosse fatigue
Lutte médicamenteuse mais difficile ; insecticide
Glycoprot variable sur cell du parasite, AA donnent confo différentes donc SI a du mal à reconnaître. 3 possibilités : duplication génique, recombinaison homologue ou changement du site transcriptome
Leishmania
→ leishmaniose
Vecteur : moucheron
Promastigote dans tube digestif → multiplication → glande salivaire → pique les chiens ou l'Homme (malade au niveau du derme) → phagocyté chez l'Homme → amastygote dans macrophage (perte du flagelle) → mort cell → jsq tissu profond, sang et m-o → peut provoquer aplasie
Plasmodium falciparum
Cycle indirect hétéroxène, dixène
Hôte : moustique → fécondation dans intestin gamétocytes mâle et femelle → perforation intestin → kyste dans paroi intestinale → fragmentation noyau haploïde → sporozoïde vont migrer dans glande salivaire → piqûre de la femelle à l'Homme → passage dans le foie → pénétration dans hépatocyte et fragmentation noyau → cellules éclatent et délivrent petits noyaux → mézoroïtes circulent dans le sang
Mobilité adhésine : sporozoïte → TRAP ; ookinète → CTRP, mérozoïte → MTRAP
Invasion et sélectivité cellulaire
Merozoïte : Rh protein (Reticulocyte protein)
Ookinète : seulement pénétration cellulaire
Sporozoïte : traverse et envahit les cellules hôtes, SPECT1-2
Sortie de la cellule hôte → merozoïtes : PfSUB1