ce que Freud , rectifiera ave l'introduction du Phallus, "La première caractéristique de cette phase, dénommée plus directement phase phallique, est que « pour les deux sexes un seul organe génital, le masculin, joue un rôle. Il n’existe donc pas un primat génital, mais un primat du phallus ». Le fait que, ici, Freud parle du phallus et non du pénis, atteste bien entendu qu’il ne s’agit pas de l’organe anatomique mais, disons-le ainsi pour l’instant, de la valeur symbolique de celui-ci. Le second point qui mérite d’être relevé est que, je cite, « l’intelligence des processus correspondants chez la petite fille nous manque".
c'est de ce point de buté freudien que Lacan, partira pour tenter de cerner la sexualité féminine,
déjà mise en évidence par l'introduction du Phallus, repris par Lacan, on vient à acter d'une rupture consommé avec la formulation Lacanienne du non-rapport sexuel, marquant un point d'arrêt à la concidération formulé par Platon à travers les dires de Aristophane, d'une complémentarité des sexes.
la position sexué relève d'un choix du sujet parlant, de se ranger sous tel ou tel bannière, choix qui relève d'une logique signifiante :warning: la difficulté c'est que le parlêtre, fait du sexe avec le signifiant alors que le signifiant n'a pas sexe, rappelons-le un signifiant, est un pur signe
ce qui va chez Lacan entre la sexualité infantile et la sexuation, c'est la MP, mais Lacan va venir ajouté une dimension, celle de la jouissance, la jouissance comme un au-delà de l'iendtifcation sexuelle( rose/bleu), dimension qui s'extrait de l'I et du S, mais qui en reste pris dans le rapport au Phallus freudien.