LF, quand publie, prend acte de cette différence P dandrey motre l'élaboration du récit dans la fabe est contaminée par conte. LF assimile les deux mots dès préface "la brièveté, qu'on peut fort bien appeler l'âme du conte, puisque sans elle il faut nécessairement qu'elle languisse". mas fable est plus brève que conte: +tt pr parler ici de continuité narr qui permet déchiffrer morale. les circonstances ajoutées étoffent sans nuire à aspect bref du récit: pticipent par ex de lart d trait de LF, ne retient qu'essentiel du décor pour intéresser. Ex: bcp fables commencent par évocation attitude q déf situa° initiale du personage > le coq et le renard "sur la branche était en sentinelle/un vieux coq adroit et matois", laisse supposer déjà sa capacité à prévoir et déjouer statagèmes du renard, en haut car supérieur… évocation peut donc faire tableau en se concentrant bcp. maisparfois exige l'amplification, mais peut en même temps participer au récit et donc ne pas empiéter sur la brièveté: ex, phébus et borée, crescendo des efforts du vent pr arracher manteau du voyageur se fonde sur accumulation vbes d'action "notre souffleur a gage/se gorge de vapeurs, s'enfle comme un ballon/fait un vacarme de démon/siffle, souffle tempête et brise en son passage…" ici traduit en même temps orgueil de borée, force de l'action par rythme des alexandrins alors qu'enjeu est lui simplement exprimé / 8syl