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DREUX (Terrain (Ces deux armées se rencontrent sur l'actuelle commune…
DREUX
Terrain
Ces deux armées se rencontrent sur l'actuelle commune de Marville-Moutiers-Brûlé au sud-est de Dreux le 19 décembre 1562 : sont notamment concernés le bourg de Marville, les hameaux de Blainville et d'Imbermais, ainsi que le lieu-dit Montmousset3
Epinay, Nuisement, Blainville, vallon de Maumusset, plateau de Marville-Moutiers-Brûlé
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Disposition de l'armée catholique entre les jardins de Blainville et les murailles de l'Epinay distant de 2.000m
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Très dégagé, peu de bois notamment près du vallon de Maumusset. Un seul bocquetau entre le moulin et le village de Maumusset. Bois importants à l'est de Maumusset.
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Sud de Dreux, le haut d'un coteau dont le flanc est couvert de vignes
Catholiques
Chefs
François de Lorraine, 2e duc de Guise commande l'Avant-garde
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Armée
Infanterie
Guise / St André : 4.000 Lansquenets / autre source 3.000 Lansquenets catholiques. 11 enseignes de Lansquenets allemands soient 3.000h
Connétable : 22 enseignes, soient 6.000 Suisses supérieurs aux Lansquenets protestants
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Guise / St-André 2.000 Espagnols / 2.500 dont 400 arquebusiers (au moins). 14 enseignes espagnoles soient 2.500 h
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Cavalerie
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Connétable : 200 chevau-légers avec Louis Prévôt de Sansac de Traversay / cav. dite légère - abus de langage ? - donc, peut-être sans lance...Autre source 250 chevau-légers (3 cornettes)
Saint-André 300 chevau-légers, armés de lances
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Sur 65 compagnie d'ordonnances , 2/3. est du côté des Catholiques
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18.000 hommes dont 16.000 h de pieds, 2.000 chevaux et 22 canons (au départ de Paris en décembre)
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Source Hardy : 19.000 hommes, 22 canons, 2.000 chevaux
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Protestants
Chefs
Louis de Bourbon, prince de Condé commande la bataille
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Armée
Cavalerie
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800 / 1.300 cavaliers français : Gens d'armes de Coligny, Gen d'armes de Condé, Gens d'armes
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Sur 65 compagnie d'ordonnances , 1/3. est du côté des Protestants
Infanterie
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8.000 - 9.000 hommes dont 4.000 Lansquenets (plus faibles que les Suisses) et 5.000 soldats français
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Source Hardy : 1.000 Gentilshommes, 3 rgts d'artisans français, 3.000 cavaliers et 4.000 hommes de pied (mercenaires levés par François d'Angelot).
Soit 8.000 hommes de pied, 5.000 cavaliers et 5 canons
Composition
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Avant garde
Coligny 120 Lances, 3 cornettes de Reitres, 12 enseignes de Lansquenets , 6 compagnies d'arquebusiers gascons
Bataille
Condé et La Rochefourcauld 200 Lances, les chevau-légers et les gentilshommes, 6 cornettes de reitres, 6 enseignes de Lansquenets et un bataillon français de 23 compagnies escortant les 5 canons
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Horaires
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19 décembre 1562 à 13h, Condé qui ouvre le bal en attaquant les Suisses. Initiative aux Protestants
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Règle spéciale
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Renfort CATHOLIQUE de la garnison de Dreux possible : 800 à 1.000 hommes (envoyés cherchés par Guise)
Contexte historique
Les troupes protestantes souhaitent gagner la Normandie pour oobtenir des renforts et des subsides d'Angleterre. Ils perdent un temps précieux à tenter un coup de main sur Dreux puis se décident à partir, mais l'armée royale les talonne (elle l'observe et la cotoie). L'Amiral ne pen se pas livrer bataille, le prince de Condé est plus circonspect.Les chefs de l'armée royale, connaissant la duplicité de Catherine de Médicis, craignent de livrer bataille aux Huguenots, de peur d'être désavoués...
Phrase du duc de Guise : Allons , mes compagnons, la journée est à nous ! ou Allons, compagnons, marchons, tout est à nous, la victoire est gagnée !
Ligne de retraite : vallon de Maumusset, vers le moulin à vent ou vers Marville (le bord sud)
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Suite et fin : charge, contre-charge, ralliement. La gauche catholique enfoncée, le pillage des bagages à Nuisement par les reîtres. La bonne tenue des Suisses puis la contre-attaque de Guise avec gendarmes + espagnols et gascons bouscule tout. Coligny se reforme avec 1.000 reitres et gendarmes mais la nuit l'oblige à rompre et se retirer pour prendre la route d'Orléans (il recule) où se trouve le quartier général des Protestants. Il laisse le champ de bataille aux catholiques (troupes royales). Bataille sanglante, non décisive, (8.000 morts côté catholique).