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Troubles du sommeil (Normal (Rôle Régénérer les cellules musculaires de…
Troubles du sommeil
Normal
Rôle
Régénérer les cellules musculaires de notre corps
Produire des hormones de croissance
Stimuler notre système immunitaire
Maintenir notre état de vigilance, lorsque nous sommes éveiller, afin d'éviter les états de somnolence
Optimiser notre faculté à apprendre et à mémoriser
Régulation veille/sommeil
Processus homéostasique : accumulatif, augmente tout au long de la veille et diminue pendant le sommeil
Processus circadien: horloge biologique (↑mélatonine ↓température ↓cortisol )
Sommeil
suspension périodique, réversible et naturelle de la vie consciente avec perte des repères temporaux spatiaux et une diminution sensorielle
récupération physique et psychologique
important en qualité et quantité
fonction vitale -> mort après 10-20 jours de privation de sommeil
dure en moyenne 7 à 8h avec grandes variations interindividuelles: age, sexe, individu lui même
Effets de privation de sommeil:
irritabilité, troubles cognitifs, risque de maladie cardiaque, affaiblissement du système immunitaire, risque de diabète de type 2, temps de réaction augmenté, tremblements, douleurs ....
Différentes phases
sommeil lent (de léger à profond) 75% -> réparateur
sommeil paradoxal 25% -> rêve, cauchemars, atonie musculaire complète mais l'activité cérébrale est très intense
-> cycle de sommeil normal (1h30) débute par du sommeil lent, dont la profondeur augmente progressivement, puis se termine par du sommeil paradoxal
Insomnie
SJSR (Syndrome de la jambe sans repos)
5% de la population générale
diagnostic est clinique 4 critères:
sensations désagréables au niveau des jambes responsables d’un besoin irrépressible de les mobiliser (impatiences)
symptômes sont aggravés par l’immobilité et la position allongée
symptômes sont soulagés par le mouvement
symptômes sont plus intenses le soir par rapport à la journée (caractère vespéral)
idiopathique ou secondaire (carence martiale, parkinson, insuffisance rénale sévère, iatrogène)
Dysomnie
20-30% de la population adulte
diagnostic clinique, subjectif
Difficultés d’endormissement, réveils nocturnes, réveil matinal précoce, sommeil non récupérateur
plus 3 fois/semaine, depuis au moins 1 à 3 mois
Retentissement diurne
trouble insomnie = insomnie primaire
Cercle vicieux: Facteur de stress -> Insomnie aigue -> Comportement dysfonctionnels -> Anxiété augmentée
-> Pensées inadaptées -> Insomnie chronique (3M)
Insomnie secondaire (psychiatrique, iatrogène ou toxique, neurologique, douleur, SJSR)
Prise en charge
conseils hygiène de sommeil
chambre à coucher (limiter bruit, lumière et température excessive)
heure de coucher (régulière, selon les besoins, en évitant les siestes longues ou tardives)
exposition à la lumière (favoriser le matin, réduire le soir)
role de l'activité physique (dans la journée, mais limiter en fin d'après midi)
role de l'alimentation (éviter repas copieux le soir) ou excitants (café nicotine)
fonctionnement et risques des hypnotiques
Psychothérapie -> TCC (restriction de sommeil, relaxation, soulager les ruminations excessives)
Traiter la cause d'une insomnie secondaire
Traitement médicamenteux: hypnotiques, BZD
-> aide ponctuelle pas au long cours (risque dépendance)
Hypersomnie
Évaluation
accès de sommeil diurne
qualité de l’éveil
qualité réveil matinal
retentissement fonctionnel
Cause
:
SAOS : Syndrome d’apnée obstructive du sommeil (5-10% de la population générale)
symptômes diurnes (somnolence excessive, céphalées matinales, altérations cognitives, irritabilité...)
manifestations nocturnes (ronflement, hyper salivation, sueurs nocturnes, pause respi, sensation d'étouffement)
Le syndrome d’insuffisance de sommeil = Privation chronique de sommeil
Somnolence symptomatique = secondaire
physiologique: grossesse
iatrogène, toxique
trouble psychiatrique
autres affection médicale
Hypersomnie centrale
narcolepsie
Hypersomnie idiopathique
-> Kleine Levin (somnolence, hyperphagie, altérations du comportement avec désinhibition sexuelle, des troubles cognitifs)
Dysomnie
-> somnolence excessive
15% de la population intensité modérée
4-5 %intensité sévère
allongement du temps de sommeil
mauvaise qualité de l’éveil
inertie matinale= difficultés à se réveiller
Parasomnies
Durant le sommeil lent (somnambulisme, terreurs nocturnes, éveils confusionnels)
Durant le sommeil paradoxal (cauchemars, agitation nocturne)
Manifestations comportementales ou psychiques survenant au cours du sommeil
-> agitation nocturne
Etudes du sommeil
Agenda du sommeil
polysomnographie
dormir à l’hôpital
combine: EEG, EMG, EOG, paramètres cardiorespiratoires, paramètres moteurs et enregistrement vidéo