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PSYCHOSOMATIQUE approche physiologique, Introduction à l'ostéopathie…

- - - - alarme aigüe (état de choc)
      - adaptation (résistance, défense, adaptation), c'est là qu'on intervient
      - phase dépuisement/ décompensastion. apparition des troubles psychosomatiques DURABLES. (exemple HTA)
  - - - augmentation des réactions d'éveil et d'alarme du SNC (profils insomniaques);
      - augmentation contractilité muscle squelettique et diminution de la fatigue (attention passage au syndrome d'adaptation: lombalgies, cervicalgies aigues, tendinites; puis passage rupture du syndrome d'adaptation: somatisation) => le patient ne s'en rend pas forcément compte, il est porté par ses contractures.
      - augmentation du débit cardiaque. cf palpation des pouls, ventricule cardiaque (zone apexienne qui laisse un choc important dans la main)
      - augmentation de la ventilation (avec répercussions sur tout l'organisme) (ex: hyperventilation dans le Rebirth qui peut déboucher sur des crises de tétanie avec risque de mort par laryngospasme)
      - action générale sur les muscles lisses, cardiaques, les glandes sudoripares.
      - stress: remontée du glucose, de l'insuline, baisse du glucagon et de l'adrénaline. d'où stress au long cours => peut mener à un diabète.
    - - approche métaphorique pour l'ostéopathe:
        
        comprendre la représentation que les gens ont de leur vie/ d'événements traumatiques, pour faire levier avec le corps.
        
        la spasticité à un facteur déclenchant traumatique dans le sens qualitatif.
        
        accorder une place à la verbalisation mais sans pour autant se substituer au psy.
        
        spasticité: baisse du magnésium et du calcium, excitabilité neuromusculaire, jeu sur la sécrétion de érotonine. fatigue et sentiment de tensions anxiogenes.
- - - - ils doivent être perméables entre eux.
    - - ces trois instances forment le socle de la personne.
      - ca: pulsions, instincts.
        moi: image imaginaire qu'on a de soi-meme
        surmoi: immago parental qui définit les contours de nos moeurs et nos interdits qui vont constitué le surmoi. c'est l'intériorisation des forces interdictrices.
      - quand on a un surmoi cruel,il y a une auto sanction du sujet.