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Partie 2 Apprendre à apprendre (techniques de mise en confiance par le…
Partie 2 Apprendre à apprendre (techniques de mise en confiance par le jeu classique et numérique : dédramatisation de l'apprentissage) : savoir faire
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Le premier lien entre le jeu et les TICE est d’avoir le pouvoir de débloquer la parole et les apprentissages, et la peur de faire des erreurs.
Mais il va aussi ancrer les apprentissages dans la mémoire grâce à la répétition. Par exemple faire, ou faire faire, celà dépend du temps dont on dispose, un mémory ou des mots croisés , que ce soit sur papier ou learning aps.
Alors que ma première partie traite du plaisir de savoir et d’apprendre, le second va faire le lien entre les jeux et les TICE : le passage du savoir faire au savoir être. Dans les deux cas on leur donne des outils pour réussir à apprendre. Comprendre comment on apprend tout d’abord, en leur ayant fait faire des activités ludiques pour déterminer leurs profils d’apprentissage.
Apprendre à apprendre va passer par la mémorisation, entre autres la répétition par des jeux type quiz, chansons, arbres de la connaissance. Je l’ai mis en pratique en section européenne où ils apprennent à construire eux même les jeux, par exemple des Kahoot en compétition avec d’autres pays européens , et là nous avons bien la conjugaison de deux pratiques : ludiques et technologiques.
Apprendre nécessite également s’approprier, donc agir, et là au delà de nos jeux de rôles nous arrivons donc à notre troisième partie sur l’apprentissage par l’action.
Consigne :
Analyse des faits didactiques dégagés dans la première partie en utilisant des principes théoriques issus des cours de master et des références bibliographiques issues des recherches et lectures de l’étudiant
Le jeu va permettre de désinhiber, par exemple on oublie la peur de faire une erreur lorsqu'on mime quelque chose.
"Je propose qu'on se saisisse de cette occasion pour interpeller les pédagogues sur les efforts qu'ils peuvent faire pour que les savoirs qu'ils enseignent soient véritablement intégrés dans une histoire personnelle où un sujet peut s'instaurer et se dire comme sujet"(Meirieu 2004) "Dans ces conditions, la question du transfert est d'abord un analyseur de nos problèmes pédagogiques et révèle les difficultés que nous avons à « donner du sens » aux apprentissages que nous proposons."
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"ils sont confrontés aux difficultés d’expression et de compréhension dans des situations réelles de communication exolingue. Ces difficultés se manifestent dans le passage difficile de la communication simulée en classe à des réactions langagières authentiques en milieu naturel" N'Guyen