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Paul ELUARD, capitale de la douleur, 1926 (femme qui recrée le monde,…
Paul ELUARD, capitale de la douleur, 1926
célébration de la beauté féminine, poème lyrique, blason féminin
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champs lexical de la nature par des métaphores. =la femme est décrite comme un paysage= tradition du lyrisme. ses yeux se confondent avec la nature
"feuille de jour" =les yeux, la forme; "mousse de rosée" =les larmes; "roseau du vent" =les cils; "sourire parfumés" =les yeux, la forme; "ailes couvrant"= les paupières
vers 1 et dernier vers se répondent= vers circulaire. le poète vie pour cette amour et cette femme, amour fusionnel
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femme protéctrice, bienvieillante, maternelle
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le monde sans elle est fade, elle redonne de la couleur, de la vie par sa présence
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regard= échange, sentiment, louange de la femme très régulier
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narrateur parle a qq'un , son amour= poème lyrique
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femme qui recrée le monde, l'univers
champs lexical de l'univers= cette femme est un univers, ca depasse la simple description de la beauté feminine
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le poète se place lui même dans uns situation de dépendance affirmé, c'est uniquement par l'amour de cette femme qu'il peut vivre et trouver une forme de pleinitude
"comme le jour depend de l'innocence" " le monde entier depend de tes yeux purs"=parallélisme de construction
son parfum est la couvée d'aurore. Il y a une partie d'elle dans l'univers, une partie d'elle dans sa création
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elle contient le jour et la nuit, elle est au de la du temps. elle est surtout associe a la lumière
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la femme donne naissance à un nouveau jour, elle mise sur la place d'une divinité créatrice
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toute sa vie avant de la rencontrer n'existait pas. c'est elle qui lui a donné vie. Miroir amoureux=on se découvre grâce à lautre.
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elle donne naissance au jour. champs lexical de la lumière=divinité, source de la lumière
"berceau" "aurore", "lumière" "astres
les yeux de la femme unisse deux infini, le ciel et la mer. elle mène à d'autre vision
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