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Chap 3 : Doctrines classiques de morale politique (le nietzchéisme (19 ème…
Chap 3 : Doctrines classiques de morale politique
Machiavélisme ( 15-16 ème siècle)
prince
: chef doit apprendre les règles de la politique sans croire aux valeurs défendues par les uns et les autres.
fonde les
sciences politiques modernes
en émancipant la pol en tant que discipline propre, libérée de la morale et de la religion.
amoral
: il ne voit dans les rapports politiques des que rapports de force, met la morale de côté
attaché à la
vérité absolue
des choses
calculateur et cynique
mais pas méchant
à la renaissance
, Nicolas Machiavel écrit le
prince
et diffère de de la pensée occidentale classique sui prônait une cité juste
le prince vise à
maintenir l'unité de la cité
par tous les moyens ( recours à la crainte et à la cruauté)
doctrine cynique et immorale puisqu'elle professe un détachement de la sc politique des valeurs communes.
cela permet d'éviter que le peule
se désolidarise lui même
, un prince amoral doté d'une éthique ni moralisatrice/ religieuse mais
bel et bien politique
, le prince décrit par nicolas est particulièrement moderne
dans le prince, on ne peut comprendre une situation politique
sans la rapporter au personnage
qui la traverse et qui y donne son sens, et non pas en se focalisant sur la cité seulement
Dans GOT: on retrouve
beaucoup de problèmes
que se pose nicolas; pas seulement lié à l'exercice du pouvoir mais aussi à la focalisation : tous les chap sont portés par le point de vue d'un personnage. Prince
doté de vertus et d'opportunisme.
Hobbisme ( 17ème)
il pense à la
souveraineté incarné
dans la figure d'un roi absolutiste
l'homme est de
nature violente et compétitive
, un loup de mer
un
contrat social générateur de droits et de lois
: remède à la méchanceté naturelles des hommes.
pour vivre en paix, il nous faut abandonner notre liberté naturelle puisqu'elle nous conduit qu'à la guerre permanente de
" chacun contre chacun"
citoyens doivent
abandonnés leur état naturel violent
et le confier à un état législation violent.
cette pensée
imprègne la pensé politique
: leader incarnant la volonté du peuple, à gauche comme à droite. L'état à le monopole de la violence et contrôle le peuple.
Léviathan:
métaphore qui désire l'état, sa figure= monstre biblique à l'origine, reste ancrée dans l'imaginaire politique.
une politique
matérialise indifférente à ? de dieu
pessimiste sur la nature
vivait dans un
contexte de guerre
Rousseauisme ( 18ème s) ><
la loi du + fort est un principe que ne peut :red_cross: contrôler la société
car il est incompatible avec l'intérêt general : le plus fort ne peut rester le maitre si il ne transforme pas sa force en droit et son obéissance en devoir
société qui corrompt l'homme
l'homme simple , demeures au contact de la nature :check:
la nature humaine est bienveillante
préférable à l'homme bien dressé de la société civile
du contrat social
: il considère qu'une organisation sociale juste repose sur un pacte garantissant l'égalité et la liberté entre tous les citoyens.
principale fondamentale du contrat social : souveraineté popolaire
CS : principe que l'on retrouvera encore ajd dans l'idéologie structurant les revendications des indignés, néo-activistes,..
le nietzchéisme (19 ème siècle)
Politiquement, ou situer Nietzche?
<> à la religion, il défend voltaire pour défendre l'utilité de la religion pour la "canaille", la populace.
invitant à s'affranchir de la morale, il se rapproche de Machiavel/ Hobbes
l'adversaire, c'est le
sociale
( prolongement du judéo-christianisme )
sa pensée est de
nature aristocratique
, mais très éloignée du totalitarisme
<> marxisme
: considère que l'inégalité des classes est une condition indispensable à la survie de la civilisation européenne
l'adversaire
est le
troupeau
, la masse qui se satisfait du
bonheur vulgaire
, qui suit les autres
d'après Hugo Drochon, N semble s'inspirer de la
notion de Birsmarck,
proposant une vision d
'un ordre européen unifié
, cet ordre devrait être dirigé par une élite culturelle européenne donc le but serait d'encourager la renaissance de la culture grecque.
penseur antidémocrate
il prône le
moins d'état possible
, considérant l'état comme un piège+ très critique de la
pensée libérale
en raison de son idélisme morale excessif.
la croyance en l'égalité et la justice sociale
mène à la fragmentation
: une politique dominée par divers
groupuscules défavorisées
exigeant le respect
Nietzsche et la post-vérité
: il considère que la vérité elle-même est une interpretation , la vérité résulté des simplifications qui permettent aux hommes de se rassurer, mais ces réalités ne peuvent décrire le réel dans sa
complexité, dans sa mobilité et dans sa diversité
.