Cortex frontal(antérieur à la scissure centrale)
Cortex préfrontal (excluant les aires motrices)
Comparaison singe
Augmentation connexions réciproques : richement connectés avec les autres secteurs
Modification circuiterie locale : augmentation du poids synaptiques, nb de connexions par synapses
Accroissement de la taille du cortex préfrontal au détriment de d'autres régions
Sous-secteurs micro ou macroscopique apparaissent ou disparaissent --> évolution
Cortex orbitofrontal
Variations individuelles = plus les fonctions sont complexes, plus la morphologie entre les individus va varier
Maturation tardive = apparition comportements complexes plus tard dans le développement
Complexité anatomique = complexité comportementale
Comportements émotionnels liés à la récompense
Apprentissage, prise de décision, prédiction
Rôles : valeur des renforçateur
Axe médial-latéral
Médian
Latéral
Punition
Récompense
Axe antéro-postérieur
Antérieur
Postérieur
Primaire
Abstrait
Évaluation nourriture
Valeur nutritive : contenu en composantes alimentaires
Valeur nominative, monétaire subjective selon valeur nutritive
Cortex orbitofrontal latéral
Cortex orbitofrontal médian
Étude de cas
Lowa Gambling test
- Comportements risqués
- Anticipation des conséquences de la perte moins élevé
Réponse électrodermale lors du mauvais jeu est moins élevé que les individus en santé
Individus lésés ont tendance à prendre plus de cartes dans le mauvais jeu et à attendre la plus grosse récompense
Patiente A encore plus grave = pôle antérieur complètement lésé
Jugement moral
Cortex préfrontal ventro-médian
Individus avec lésion répondent plus oui au dilemme personnel que les sujets normaux et ceux ayant une lésion ailleurs
Déficits dans la capacité à ressentir les émotions sociales
Jugement utilitaires, moins de réponse émotionnelle
Effet de l'âge
Lésion jeune
Règle moral déficitaire, réponde oui à un dilemme de self-serving
Lésion empêche de développer les fonctions du jugement moral, contrairement à quand elle est plus tardive, les fonctions sont déjà développées
Relation linéaire
Altruisme
Dissociation entre les régions qui sous-tendent la décision de punir ou de récompenser
Comportements criminels
Diaschisis: symptômes neurologiques peuvent provenir d'une anomalie dans une région cérébrale éloignée mais connectée avec la lésion, plutôt que de la lésion elle-même
Cortex orbitofrontal, lobe temporal antérieur, cortex préfrontal ventro-médian, cortex préfrontal dorsolatéral
- Lésions sont temporellement liés avec les comportements criminels
- Lésions font partie d'un réseau commun qui est dysfonctionnel chez les criminels
- Lésions sont connectées fonctionnellement avec des régions activées par des prises de décisions morales
Dégénérescence de ces mêmes régions est associée à l'apparition de comportements criminels chez les patients MA
Démence fronto-temporale (DFT)
Chiffres
Symptômes
Anatomie
Prédiction
Neuroimagerie
Traitement
20% des démences pré-séniles
Entre 45 à 60 ans, parfois 30 ans
- Perte d'empathie
- Comportements persévération
- Aphathie, inertie
- Hyperoralité
- Désinhibition comportementale
- Neuropsychologie : difficultés tâches exécutives, mémoire épisodique relativement épargnée
Diagnostic
Changement personnalité + début insidieux
Possible
Définitif : évidence histhopathologique
Probable
3 des 6 critères
Possible + résultats d'imagerie
Préservation des habiletés perceptuelles, praxiques et mnésiques
Caractéristiques personnelles
- Conduite personnelle
- Conduite émotionnelle
- Refoulement émotionnel
- Perte de l'insight
Étiquette interpersonnelle déficiente, manque de tact, désinhibition
Passivité, hyperactivité, errance
incapacités à démontrer émotions primaires et sociales
Confrontation à situation difficile, absence de détresse ou de préoccupations
Présences de ces 4 caractéristiques occasionne la variante comportementale 2 ans plus tard
- Compulsions alimentaires
- Manger objets non-comestibles
- Comportements hypersexuels
- Comportements hypervisuels
- Rage non-provoquée
Origine
14% des cas sont autosomiques dominants : sur 1 seul chromosome, pas sur les chromosomes sexuels
40% des cas ont un historique familial
3 gènes majeurs
C9ORF72
GRN
MAPT
Épidémiologie
Prévalence
Survie : 7,5 ans
Âge moyen présentation : 58 ans
60-69 ans
50-59 ans
40-49 ans
2,9/100 000
3,3/100 000
8,9/100 000
28% des maladies dégénératives ont eu un diagnostic psychiatrique précédemment
Gauche
Droit
Frontal
Temporal
Temporal
Frontal
Dépression
Dépréciation de soi
Aphasie non-fluente
Déficits linguistiques
Altérations comportementales
Peu de contrôles sur impulsion
Comportements enfantins
Idées fixes
Changements de comportements
Irritabilité/impulsivité
Déficits comportementaux
Dégénérescence
Matière blanche
Glucose
Matière grise
Atrophie frontal/temporal
Présence cellules de Pick hypertrophiées
Absence cellules pyramidales
Fibres frontales Uccinate
Au niveau frontal temporal, contrairement à MA diffus
Patrons différents selon gènes qui causent l'atrophie
Pas beaucoup de Bêta-amyloïdes
Convertis vs non-convertis
Convertis vs non-porteurs
Genus du corps calleux 85%
Genu du corps calleux et fasciculus inférieur
Corrélation entre hayling : capacité inhibition
Matière grise
Matière blanche
Cortex cingulaire
Pôle temporal
Cortex orbitofrontal
Cortex orbitofrontal-antérieur temporal (Uccinate fasciculus)
Cortex préfrontal latéral et préfrontal médian (Proceps minor)
Atrophie Insula, amygdale cortex préfrontal
- Réponses physiologiques réduite à l'anticipation d'une odeur déplaisante
- Contrôles plus motivés à éviter les odeurs négatives, alors que les patients plus motivés à avoir odeurs.
- Réponse plus lente pour éviter odeurs déplaisantes = moins de succès
- Évaluent les odeurs déplaisantes comme étant moins négatives
Oxytocine
Réduit la propension à identifier les émotions négatives
Réhabilitation
- Sélection
- Optimisation
3.Compensation