Muscle strié squelettique:

convergent ou circulaire

click to edit

délimitation par l’épimysium

délimitation périmysium

délimitation:l’endomysium

MYOFIBRILLE: milliers de myofibrilles: 1-2 μm diamètre

4-6 capillaires /fibre: densité par mm² variable

20-100µm de diamètre et 30 cm

Cellules allongées (plusieurs dizaine de cm)

Multinuclées : noyau en périphérie

Membrane excitable : Sarcolemme

Alternance bandes: Aspect strié

I claire: isotrope

A sombre : anisotrope

SARCOMERE≈ 10 000 sarcomères alignés bout à bout

une seule terminaison nerveuse

ligne Z

strie H

ligne M

click to edit

RS = réticulum endoplasmique

Réseau de fins tubules enlaçant chaque myofibrille

Fonction: stockage ; grâce à une protéine la calséquestrine (fixer jusqu'à 50 ions Ca2+)

tubule transverse, citerne terminale,

4-6µm de long

2 lignes Z=1 bande sombre + 2 demi bandes claires

Unité fonctionnelle

MYOFILAMENTS: 2 types

Myosine

≈150 à 360 molécules de myosine

Torsade.

largeur bande A

deux chaines méromyosine lourde: queue

deux chaîne méromyosine légère : tete

liaison à l'actine et activité ATPasique

clivée par la papaïne)

Actine

PM 47000

longueur 54A

l'actine G globulaire

actine F: double hélice

deux filaments d'actines G

des protéines régulatrices / 8 molécules d'actine

Troponines

Tropomyosine

empêche la liaison actine-myosine

TN:C: fixe 4 ions calcium

TNT : fixé sur la tropomyosine

TNI: inhibitrice empêche activité ATPasique de la myosine

EXTENSIBILITÉ

EXCITABILITÉ

CONTRACTILITÉ

ELASTICITE

PLASTICITE

Aspect et structure

Propriétés fonctionnelles

Type de fibre

Motoneurone

Pas d'activité autonome

D.D.P de repos de -90 mv

Jonction neuromusculaire : JNM

Présence postsynaptique d’AChestérase

Récepteur musculaire nicotinique

107-108 récepteurs ACh / JNM

Modification de la perméabilité → L’atteinte du seuil critique → PA ( + 20 mv)

Si PA suffisant → Contraction musculaire

Composition chimique: 75% d'eau et 20% de protéine ; le reste consiste en sels inorganiques

Pas de PA au niveau postjonction

PPM propagés

Phase descendante: sortie de K+ (repolarisation)

Phase ascendante: entrée de Na + (dépolarisation)

Vitesse: 5m/s: grâce aux courants locaux

Durée: 4 à 5ms

Post-potentiel relatif (PPR): 5ms.

Conduction électrotonique

Pompe Na+/K+ ATPase

transformation énergie chimique en énergie mécanique

Couplage excitation-Contraction

motoneurone + fibre=synapse=>plaque motrice(JNM)

Neurotransmetteur = Acétylcholine

Si PA suffisant, se propage sur tout le sarcolemme (tubules T) →Récepteur dihydropyridine : canaux calcique voltage dépendant du tubule T

Nbre de fibre par motoneurone variable : +/- précis et +/- intense

Le Ca2+ + Troponine C (4Ca2+= /1molécule de TnC), → déplacement de la tropomyosine→ sites actifs de l'actine hydrolyse de l’ATP en ADP et Pi (réaction Mg+dépendante)

Motoneurones : corne ventrale de la moelle épinière

DHPR : détecteur d’intensité du courant électrique →changements de conformation →interaction avec le RyR ; →la libération du calcium du RS.

Cycle des ponts

fonction de la quantité du Ca2+ et d’ATP

multiples cycles asynchrones: raccourcissement global et graduel du sarcomère

De multiples cycles asynchrones

Ca2+ repompé :
filaments r position initiale ; relâchement musculaire

Capacité de changer de taille.

Rétrécit durant une contraction

étirement(ex: une extension du bras)

la capacité de reprendre L0 après contraction

Adaptation au type d’effort

TONICITÉ

Phénomène de contractions partielles continues

Origine = involontaire (réflexe)

stimulation systématique par le SN d’unités motrices disséminées dans le muscle,

Ex: Maintien posture

Aspect énergétique

Glycolyse anaérobie

Phosphorylation oxydative

ATP

Renouvellement rapide

activité musculaire pendant quelques secondes

Faible réserve (muscle 3-5 µmol/g dans le cytoplasme)

Myokinase: 2 ADP = ATP + AMP

PhosphoCréatine + ADP → Créatine + ATP

une minute

lactique

Rapide : (2x oxydation))

Rendement 2-3mol ATP/mol glucose (inefficace)

Limité par les stocks de glycogène.

Si O2 suffisant → voie aérobie → ATP (mitochondrie)

36 mol ATP / molécule de glucose

Propriétés mécaniques

FUSEAU

FIBRES MUSCULAIRE= myocyte

FAISCEAUX

click to edit

Fibre type I ou ST (slow twitch):

rouge, lente peu fatigable, de petites tailles, riche en métabolite oxydatif (glucose et acide gras). Elles participent aux efforts longs de faibles intensités (endurance).

Fibre II ou FT (fast twitch):

Type IIa : fibres FR (fast résistant),

résistante à la fatigue et associent une activité élevée de myosine ATPase à une capacité oxydative élevée. Elles fonctionnent tant sur le plan aérobie et anaérobie

Type IIb : fibres FF (fast fatigable),

intermédiaires. Ces fibres à mi-chemin entre les fibres I et IIa.

Relations stress (N/m2) - longueur

Sommation et tétanos.

Relation Force-Vitesse

Vitesse de raccourcissement inversement proportionnelle à la charge

La puissance max est obtenue avec une charge = 30% de la force max

P = W/t, W = F x d et v = d/t → P = F x v

Pmax : [ATP] → énergie mécanique de 40-45% + chaleur.

Influence de la longueur des sarcomères

L>2.7 µm: augmentation de V0 liée à l’apparition de la tension passive

L<1.65 µm:V0 baisse en parallèle avec F

1.65<L<2.7 µm: V0 reste constante

tension nulle au delà de 3.65 µm

Augmentation linéaire entre 3.6 et 2.2 µm

longueur optimale, le stress maximal : 3 x 105 N/m2 (3 kg/cm2).

Plateau entre 2.2 et 2 µm

Repos: force passive → conjonctif + cytosquelette (titine)

force développée= active + passive

variation de longueur n’excède pas 30% de L0

flexion max : tension ≈ 50% de la tension max.

tétanos partiel

tétanos complet : [Ca2+] saturantes

Secousse

TYPE DE CONTRACTION

Contractions isotoniques

Contraction statique ou isométrique

régime pliométrique

Concentrique

Excentrique