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Histoire&Régions Qc [Chap.3-4] (Chap.3 (Qc conservateur [1850-1900]…

- - - - Idée du chemin de fer provenant des discussions entourant l'adoption de l'Acte de l'Amérique du Nord britannique. La construction du réseau ferroviaire est le fait économique prépondérant [1850-1900] et le projet phare de la Politique nationale.
        
        Premier transcontinental [1885] par la compagnie Canadien Pacifique
        
        Grand Tronc [1856] : Toronto à Montréal jusqu'à Rivière-du-Loup en passant par la rive sud.
        
        Grands tracés qui confirment que Montréal est la plaque tournante du transport ferroviaire et comme terminus du blé de l'Ouest. Et le gouvernement du Québec est le maître d'oeuvre d'une série de voies pour desservir les régions de colonisation.
    - - Ultramontanisme : Doctrine selon laquelle l'autorité du pape à Rome doit pouvoir franchir (ultra) les montagnes. En matière de dogmes, de mœurs, de pratiques sociales et même de politique, le spirituel ainsi que l'opinion du souverain pontife doivent primer sur le temporel.
        
        Église permet la survie d'une société française et catholique
        
        La «survie» nationale ne passe donc pas par l'affirmation politique, mais par la conservation et la reproduction des coutumes, de la langue et des pratiques religieuses.
        
        Clé du nationalisme de conservation : Agriculture = Mission nationale et providentielle des Canadiens français
        
        Combat : Partie Rouge (Libéraux) Appuie : Partie Bleu (Conservateurs : George-Étienne Cartier)
        
        «Castors» : Forcent l'abolition du ministère de l'Éducation + Poussent le gouvernement à soutenir la colonisation + (Générale) Bloquent toute initiative de l'État qui menacerait les avantages de l'Église & l'autorité familiale du père
        
        Éducation [Chasse gardée de l'Église]
        
        But [Premier] = Formation de la relève religieuse
        
        Le poids politique de l'Église et sa mainmise sur l'éducation mène [1875], à l'abolitions du ministère de l'Instruction publique [premier ministre Chauveau]. Le système public d'enseignement est alors organisé en deux réseaux de commissions scolaires, les unes catholiques, les autres protestantes, soumise au Conseil de l'instruction publique où siège des représentants de l'Église.
        
        Aucun ministère de l'éducation avant 1964