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Tumeurs salivaires (Tumeurs des glandes salivaires, Myoépithéliome,…
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- La majorité est d’origine épithéliale
- Tumeur mésenchymateuses : angiomes et lipomes
- Les sarcomes ont rares ( schwannome malin, histiocytofibrome malin, fibrosarcome)
- Lymphomes non-Hodgkin ( parotide, parfois seule localisation)
- Lymphomes Hodgkin rare
- Les plasmocytomes extramédullaires sont rares
- Métastases ( parotide):
- CE cutané, mélanome
- poumon, sein, rein
- Etiologie inconnue
- Parfois irradiation à faible dose de la tête et du cou ( > 20 ans)
- Etude à Los Angeles : 28% des tumeurs malignes de la parotide attribué à l’irradiation à but diagnostic ou thérapeutique
- Hiroshima : 20x + élevé que zones non irradiés
- Analogies avec les tumeurs du seins ; hormones ?
- incidence 1-2 pour 100’000 / an
- H = F
- Pas de prédilection raciale
- majorité 40-70 ans(mais peuvent se manifester à tout âge)
- Chez l’enfant : carcinome muco-épidermoïde
- Tumeur congénital : sialoblastome
- Localisation : la parotide
- 25 % des tumeurs. des parotides sont malignes
- 35% des tumeurs sous mandibulaires sont malignes
- 100% des tumeurs des sublinguales sont malignes
- 50% des tumeurs des glandes salivaires accessoires sont malignes
- Tumeur rare dérivé des cellules myo-épithéliales
- Immunohistochimie : AML, S100, GFAP
- Cytoplasme éosinophile homogène : cellules plasmocytoïdes
- plus agressif que l’adénome pléomorphe
- tumeur rare
- cellules polyédriques éosinophiles à cytoplasme granuleux : oncocyte
- noyau petit et hyperchromatique
- types histologiques :
- solide
- trabéculaire
- tubulaire
- stroma peu abondant
- 90 % des cas : la lèvre sup
- Age : + 50 ans
- Rarement multiple ( adénomatose)
- Prolifération de cellules cylindriques sous forme de travées en double rangée et « beading pattern »
- Stroma lâche, très vascularisé
- Contingent épithéliale :
- cellules cubiques ou cylindrique formant des tubes , cordons ou mircokyste
- souvent métaplasie malpighienne et kératinisation ; parfois globes cornés
- cellules fusiformes groupées en plages ou en faisceaux : cellules myo.épithéliales
- Contingent méssenchymateux :
- nappes hyalines
- tissu conjonctif lâche ou myxoïde
- zone de métaplasie chondrome
- zone de métaplasie chondrome
- foyers d’ossification ( exceptionnels)
- Capsule fibreuse + complète souvent brèches :
- Cellules cubiques ou cylindriques qui bordent des cavités kystiques avec projections papillaires
- A la surface des papilles les cellules se disposent sur 2 rangées
- Cytoplasme granuleux, oxyphile riche en mitochondries : oncocytes
- Infiltrat lymphocytaire dense avec follicules lymphoïdes à centre clair dans les axes conjonctifs
- Mélange de 3 types de cellules :
- intermédiaires
- petites
- peu de cytoplasme
- groupées en plages amorphes
- mucineuses
- bordant cavités et kystes remplis des mucus
- épidermoïdes
- avec amas malpighien formant parfois des globes cornés
- Stroma inflammatoire
- Stroma formant des cordons ou cylindres de matériel hyalin
- autour desquels se placent les cellules tumorales
- petites, à noyau hyperchromatique et cytoplasme basophile
- Type glandulaire ( cibriforme), tubulaire, solide
- Invasion péridural, endoneural, capillaire
- Localisation mandibulaire possible
- Uniformité cytologique
- Cellules pâles, mitoses rares
- Diversité morphologique
- 4 types histologiques
- lobulaire
- papillaire ( kystique)
- cribriforme
- trabéculaire
- Localisation : presque toujours dans la cavité buccale ( palais)
- Souvent chez la femme ( 60-70ans)
- Faible potentiel métastatique, bon pronostic
- Cellules rondes, polyédrique rappellent les cellules acineuses normales
- 4 types histologiques :
- solide
- micro kystique
- papillaire - kystique
- folliculaire
- Pléomorphisme et activité mitotiques rares
- Parfois stoma lymphoïde abondant
- Bilan poco-régional comprend :
- l’examen avec mesures de la tumeur et de la mention des signes évocateurs de malignité ( paralysie faciale, trismus , permutations cutanées)
- un scanner qui explorera T, N ,M
- une cytoponction de la tumeur si elle est accessible soit cliniquement , soit sous échographie, soit sou TDM , qui n’aura de valeur que si positive. L’interprétation des lames de cytoponction de glandes salivaire est difficile
- un OPT
- Bilan à distance comprend :
- Radiographie du thorax ( TDM thoracique si doute ou adénopathie cervicale)
- le reste du bilan est orienté par les signes d’appel clinique