Super, le chien: « ... et j'ai tout donné à Super. » (p.25) - « c'était pas une vie pour chien. » (p.26) En comparant sa vie à celle de Super, Momo raisonne que sa vie vaut moins que celle du chien. Que Super méritait une meilleure vie que lui, qui a évidemment une vie plutôt lamentable. De plus, lorsque Momo à donner le chien à la dame, il s’est assuré qu’elle avait les moyens pour fournir à Super, tout ce dont il avait besoin.