"l'erreur fondamentale" est érigé en système : la réussite ou l'échec est renvoyé à l'élève que l'on mette son en avant son intelligence, travail, milieu social. Les bulletins de notes renforcent le stéréotype du bon ou mauvais élève, et renforce la classification. De plus les élèves cherchent à répondre aux demandes des examinateurs, donc le contexte de l'examen va induire telle ou telle orientation de réponses. La signification que la situation revêt pour le sujet joue un rôle à tel point qu'il est impossible de définir réellement les capacités cognitives ou les connaissances du sujet. l'examinateur et l'examiné se caractérisent l'un par l'autre. Toute réponse est indissociable de ses conditions de production. Ainsi la réussite ou l'échec de l'élève ne permet pas de porter un jugement sur l'élève lui même, car devant d'autres questions, sujets, formulés ou travaillés différemment, l'élève aurait peut être d'autres résultats. = il n'existe donc pas d'élève capable ou incapable