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La crise des urgences - Coggle Diagram
La crise des urgences
Les caractéristiques du recours aux urgences en France
âge
27 % des urgences ont moins de 15ans
nourrissons ( environ 35% )
personnes âgées de 75 ans ou plus ( environ 45 % )
zone géographique
4millions de pers française soit 6 % de la pop en 2015 habitaient à plus de 30min d’un SMUR ou d’urgences en zone urbaine, tandis qu’en zone rurale ce chiffre monte à 46 %
vieillissement de la pop
la part des plus de 65 ans en France est passée de 16 % en 2000 à une prévision de 20,1 % de la population en 2020
motifs de venue
79% de venue aux urgences pour motif médical
60 % pour une venue pour l’accessibilité aux soins :
22% de venues aux urgences par défauts
nombre de passages aux urgences
environ 17millions en 2016 aux urgences générales tandis qu’en urgences pédiatries : environ 2, 4millions en 2016.
recours aux urgences en journée
trois quarts des passages de 8h à 20h.
le matin
l'après-midi
la nuit
recul de la médecine de ville
60 % des personnes renoncent à se soigner face à la difficulté d’obtenir un rendez-vous rapidement
32 % évoquaient l’éloignement géographique du médecin.
Les difficultés rencontrées par le centre 15
personne non serieuse dans les opérateurs du samu
pas assez de personnel donc personnel surchargé donc banalisé l'urgence
répondre à tous les appels
prendre à la légère ce que les patients disent (banaliser)
perde ou distorsion d'informations dans le passage d'appel
permanencier qui non pas de formation adpaté
Les principales raisons de la crise des hôpitaux
Au niveau du travail:
le départ de nombreux travailleurs ( cause: revalorisation de salaire; grèves; conditions de travail affreuses etc..
Non prise en compte du gouvernement ( veulent: mieux reconnus; revalorisation des salaires;+ de moyen financiers, matériels et humains)
difficultés de recrutements
Au niveau des hôpitaux:
La fermeture des hôpitaux (19 depuis 2012)
fermeture des salles d'opérations
moins de médecins généraliste en ville
comptes des hôpitaux dans le rouge
investissement en baisse ( accumulation de déficit); pas assez d'argent pour investir dans les éventuels rénovation de l'hôpital
taux d'investissement en baisse