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Biopsychologie des émotions (Partie 1) - Coggle Diagram
Biopsychologie des émotions (Partie 1)
Définition
Emotions
Elles sont complexes, elle présentes plusieurs facettes.
4 facettes
Biologique
Préparer le corps à s’adapter aux situation.
Activation à différents niveau de différents système comme le système nerveux centrale qui peut provoquer divers sensations comme la sueur, la peur, la transpiration.
Intentionnel
l’émotion va nous permettre d’anticiper l’adaptation de notre comportement, impulsion à l’action, caractéristiques par une composante motivationnelles et orientées vers un but qui permettent l’adaptation du comportement.
Sentiment
phénomène subjectif, un sentiment que l’on va percevoir de façon nuancé en fonction de divers phénomène, de notre état biologique, mentale.
Expressif
Aspect communicationnel : nos émotions se voient sur notre visage ( bouche, sourcils, regard), à travers nos mvts, notre posture et envoient des signaux à l’environnement, communication non verbale.
Pour les comprendre, il faut définir chacune des 4 dimensions et la façon dont elles interagissent
Dimensions
Sentiments
Réaction de l'organisme
Sentiment de finalité
Comportements d'expression
Evènement de vie provoque des émotions
Ce sont des réactions subjectives, intentionnelles, expressives et corporelles de courte durée qui nous aident à nous adapter aux possibilités et aux défis auxquels nous faisons face. ( Phénomène de court durée )
Robert Levenson définit les émotions comme des phénomènes psychologiques-physiologiques de courte durée qui représentent des modes d’adaptation à des exigences environnementales en plein changement. ( Phénomène de court durée )
Carroll Izard - Elles correspondent à des circuits neuronaux, des systèmes de réponse et un état / processus subjectif qui motive et organise la cognition et l’action. ( Phénomène qui correspond à un état )
Les émotions sont : un indicateur pour soi et pour les autres de l’état d’adaptation à la situation qui est en train de se déroulé. / un motif qui dynamise en orientant, en maintenant le comportement.
Tomkins
Pour montrer les besoins motivationnels primaire, il a une interprétation particulière de l’émotion.
Il a proposé une expérience, il a demander a des sujets de respirer dans une paille, cela entraîne de l’homéostasie ( manque d’air ).
Ce manque est un besoin primaire comme la faim, la soif… L’individu va mettre tous sont nrj, tout son attention pour retrouver un état d’équilibre de système donc de retrouver un état d’homéostasie.
Pour lui, c’est l’anxiété, l’anxiété va avoir un effet physiologique.
Il explique que si on est habituer à respirer dans une une paille donc cela ne suscite pas une réaction d’anxiété. L’anxiété est à la base de la réaction.
Pour Tomkins, l’anxiété est la rupturede l’état d’homéostasie car l’individu va met tout son nrj tout attention à essayer de respirer le plus possibles, il le justifie en disant que si on enlève l’anxiété, et bien il ne va pas avoir de rupture avec l’homéostasie, les effets physiologique de la privation d’air seront moins important.
D’où viennent les émotions : origine biologique ou cognitive ?
Approche biologique
L'émotion est le résultat d’un processus biologique. On peut ressentir une émotion sans qu’il y est un événement cognitif antérieur mais on ne peut pas ressentir d’émotion sans d’événement biologique antérieur.
L'émotion permet de préparer la corps à réagir de façon adapter à un événement.
Approche cognitif
L’analysé la situation ( signification et importance personnelle d’un événement ). L’analyse que fait le sujet de la situation détermine sa réaction émotionnelle et non la dimension biologique.
EX
Je rentre dans une pièce sombre, activation de l’amygdale (= situer de le système nerveux centrale, zone de la peur ) et sensation de peur ou l’inverse ?
→ Dilemme de la poule et de l’œuf : on ne sait pas si ce qui arrive en premier, si c’est la physiologique ou le psychologique ? De nombreux débats en recherche.
Système nerveux autonome
Modification dans notre fonctionnement
Contraction de l’estomac
Température corporelles
Variation du rythme respiratoire
Dilatation de la pupille
Libération d’adrénaline / noradrénaline
Réponse électrodermale (RED)
Rythme cardiaque / Pression sanguine
La régulation de ces systèmes s’effectue
Par le système nerveux périphérique ( sympathique et parasympathique)
Par le système endocrinien ( Hormones )
Les stimulations qui permet la régulation par le système nerveux périphérique sympathique et / ou parasympathique
Stimulation sympathique => ex : accélération cardiaque
Stimulation parasympathique => ex : décélération cardiaque
Système endocrinien
Types de régulation
lentes
rapides
Régulations rapides
Réaction d’urgence qui nécessite des ajustements physiologiques associés à des comportements de fuite ou de combat ( émotion de colère, de peur, intenses) → libération de catécholamines ( adrénaline, noradrénaline norépinephrine… )
Rôle des catécholamine
Régulateur de la fréquence cardiaque, de la tension artérielle et du taux de glycémie, mais également de l’humeur et des émotions…
Elles sont synthétisées par les glandes médullo-surrénales / Les neurones catécholamine dans le système nerveux central.
Elles sont sécrétée dans le sang en tant qu’hormone, ou dans le système nerveux en tant que neurotransmetteur.
Elles sont libérées en réponse à un stress, Elles sont libérées par le système nerveux autonome en vue d’une prise de décision rapide, d’un comportement de fuite ou d’attaque.
Les plus connus sont
L’épinéphrine ( adrénaline ) : préparer l’organisme à l’action.
La norépinephrine ( noradrénaline ) : fonctions mentales telle que l’apprentissage, l’attention, le sommeil, les émotions. Comme l’adrénaline, effet activateur. Elle est liée aussi à certains troubles de l’humeur comme les troubles bipolaires.
La dopamine : rôle dans le plaisir ( système de récompense ) et les mécanismes liés ( addictions et dépendances ). Impliquée dans le contrôle moteur. Rôle dans la schizophrénie, les troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité.
La sérotonine : rôle dans la régulation de l’humeur, le contrôle moteur, la douleur, les comportements alimentaires.
Csqs de la libération massive
Augmentation du fonctionnement cardiaque : renouvellement rapide de la masse sanguine, apport plus efficace des nutriments, de l’oxygène.
Constriction des vaisseaux des viscères, dilatations des vaisseaux du cœur, du cerveau et des muscles squelettiques. Redistribution de la masse sanguine des viscères vers la périphérie = préparation à l’action.
Accélération de la respiration, augmentation de la profondeur respiratoire, dilatation des bronches = augmentation du taux d’oxygénation.
Contraction de la rate = production accrue de globules rouges.
Sécrétion de glucose à partir du glycogène hépatique. Disponibilité énergétiques +++
Augmentation de la coagulations du sang. Cicatrisation plus efficace si lésion.
Glucocorticoïdes
Csqs de la libération
Augmentation générale de la pression sanguine.
Diminution de la formation des os.
Libération de glucose = hyperglycémie.
Baisse de l’activité des fonctions reproductives.
Diminutions des fonctions du système immunitaire.