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Le sport est-il bon pour la santé? - Coggle Diagram
Le sport est-il bon pour la santé?
Sport-Santé
Objectif
Discuter du "sport-santé"
Avec une posture
Avec des ambitions
Poursuivre l’introduction au regard sociologique par l’analyse d’un « cas pratique ».
Fournir des éléments de connaissances sur un thème central dans les STAPS : avoir un regard critique sur ce genre de question.
Pbmt : Le sport est-il bon pour la santé ?
Idée
Déconstruire ou d’interroger la croyance diffusée dans nos institutions selon lequel le sport est bon pour la santé.
Cette croyance est tellement forte que sans est devenue une loi depuis 2016 en France, les médecins généralistes peuvent prescrire de l’activité physique.
Couvre tout un ensemble de discours et de pratique qui travers tout un tas d’espace sociaux, de domaines de la vie sociale.
Ce qui est intéressent s’est de voir que le sport Santé il ne se limite pas seulement aux acteurs du sport ou aux acteurs de la Santé.
Le sport Santé est diffuser dans beaucoup d’autres acteurs, en voici quelques exemple ci-dessous.
Acteurs
Mvts sportifs
Les fédérations se sont lancer dans le sport-santé.
Entreprises de vente d’articles de sport
Il y a des empires commerciaux qui se sont construit sur l’arg du sport-santé. Ex : Décathlon / Asics « anima sano in corpore sano » qui signifie « un esprit sain dans un corps sain ».
Politiques
Dans les programme politique, la question du sport est toujours présent. Il est présenter sous l’angle sanitaire.
Médias
Ils font la pub de certains entreprise qui favorise le sport santé comme Calicéo. Il y a aussi des chaînes qui montre des personnes en sur-poids et qui le donne un défi de prendre du poids pdt une durée donnée à l’aide d’un coach.
Assureurs
Ils font des programme de sport-santé avec l’idée des assureurs qui serait sportif, serait moins malade donc moins absent.
Coaching à domicile
Derrière cette diversité d’acteurs, ils se jouent une diversité de définition du sport santé.
Le sport-santé est diffuser par tout mais par des acteurs différents, très hétéroclite et qui ne sont du tout d’accord sur la définition du sport-santé.
On a faire à une croyance collective très partager mais sans accord sur la définition.
Deux enquêtes qui aurait pu faire débats mais qui ne l'ont pas fait fait, pk?
C’est deux organisme ont fait en 2008, une enquête qui portait sur les effets de l’activité physique sur la santé.
Ils ont produit des résultats complètement opposer.
Inserm – 2008
Constats
Le sport est la forme la plus sophistiqué de l’activité physique.
La majorité des adultes, des adolescents et des enfants ne pratiquent pas le niveau d’activité physique recommandé pour avoir un effet sur la santé.
Seulement 11 % des filles et 25 % des garçons âgés de 11 ans pratiquent en France une activité conforme aux recommandations de santé publiques.
Recommandations
Chez l’enfant et l’adolescent, un minimum de 60 minutes par jour d’activité physiques d’intensité modérée à élevée est souhaitables, sous forme de jeux, d’activité de la vie quotidienne ou de sportifs.
Organisme publique, institue national de la santé de la recherche médical.
Inves – 2008
Institue national de veille sanitaire, organisme publics qui a vocation de nous alerter quand il y a un pbm de santé publics. Aujourd’hui, c’est la santé publique France.
Constats
Les accidents de sport représentent 20 % de la totalité des accidents de la vie courante avec recours aux urgences. Soit environ 910 000 accidents de sport chaque années en France.
2/3 de ces accidents de sport ont lieu sur des pratiques physiques sportives organisées.
La tranche d’âge (10-14ans) est la plus touchée par les accidents de sport.
Recommandations
Aux vies du nombre très importants de ce type d’accidents, « le chiffrage de décès et de porteurs séquelles graves liés à la pratique de sport reste à faire ».
=> Le sport-santé, mythe ou réalité ?
Pourquoi, il n’y a pas de débats, de polémique ?
Car 2008, s’est un an après l’installation d’un tout nouveau ministère qui s’est appeler le ministère de la santé et du sport sous le gouvernement Sarkozy.
Ce qui est intéressent s’est d’essayer de comprendre comment se fait-il que la croyance soit si puissante en nous, qu’elle soit si installer dans nos esprit collectivement alors même qu’il y a des contradiction.
Il va s’agir de comprendre comment cette croyance s’est installer dans nos esprit. Pour le faire, on faut revenir sur ce qu’est le sport et la santé avant de comprendre leur rencontre et comment on a construit le sport-santé.
La rencontre en deux deux systèmes symboliques
Ce sont deux système symbolique autrement dit ce sont deux systèmes qui ont été construit historiquement et qui sont propre à la société dans lequel ils se trouvent.
Cela veut que le système de santé français n’est pas la système de santé Étasuniens.
La question est de comprendre ce qu’est le sport pour nous, ce qu’est la santé pour nous, comment ils se sont construit avant de comprendre comment ils se sont rencontrer et comment ils ont fabriquer le sport santé ensemble.
Le sport : une culture corporelle parmi d’autres.
L’essoufflement d’un modèle ? De quelques craintes partagées… Crise du bénévolat…
Une situation de monopole menacée ???
Histoire d’une conquête récente
La santé
Processus de médications de la vie sociales
C’est au médecin de définir la santé à la place du patient.
On leur confie les outils de la santé.
Les médecins sont expert de la santé.
La science du médecin est de découvrir chez un patient un mal dont tous les deux puissent
vivre -Albert Wilametz.
2 / Invisibilisation des marqueurs sociaux.
Les inégalités de santé en France relève des inégalités sociales.
Cela a comme effet de rendre invisible la dimensions sociale de la santé et de la maladie.
Que se cache t-il derrière cette rencontre?
Donc ils sont anciens mais la rencontre entre les deux est beaucoup plus récent.
Les premières tentatives de sport-santé en France date des années 80.
Le système de santé construit autour des médecins date de la fin du 19ème siècle.
Mais les grands programme de sport santé date des années 2010.
Ce qui est intéressant s’est de comprendre que le sport date de la fin du 19ème siècle.
La question qui se pose est donc est ce que depuis 10ans le sport s’est transformer et est devenue bon pour la santé ?
Ou à l’inverse s’est parce que la médecine s’est intéresser au sport ?
Cela pose une question pourquoi cela est si récent alors qu’il aurait peut se rencontrer plus tôt ?
=> C’est ni l’un ni l’autre.
Quand on regardent se qui se trament derrière le sport santé, on s’aperçoit qu’il y a des acteurs spécifique qui ont portés fortement le sport santé.
Cela par différents laubigne puissant derrière cette rencontre.
Médecins hospitalier
On s’est aperçu que il y des médecins qui ont trouver dans le sport santé une aubaine pour faire vivre une médecine en particulier qui était en train de mourir au début des années 2000, s’est la médecine du sport hospitalière.
Mvts sportifs
avec des acteurs du sport qui ont trouver dans le sport-santé une aubaine énorme avec l’idée que si le sport deviens un intérêt générale, les fédérations ont une beaucoup a y gagner comme des subventions publics c-à-d que si elles disent que le sport est bon pour la santé, qu’ils dvp le sport donc la santé publics.
Le sport santé est une aubaine pour recruter de nouveaux adhérents sur une offre spécifique qui est le sport santé.
Le cas du dispositif coach athlétisme-santé
L’athlétisme est l’un des premier sport a s’être engagées dans une politique de sport-santé.
Elle a eu un effet sur le recrutement, on peut observer une augmentation des adhérents.
Penser les dispositifs et leurs effets
Retour sur expériences pour la loi de 2016 à partir des deux dispositifs
Le sport sur ordonnances de la vie de Strasbourg
Le PAPS ( programme activité physique et sport ) 53 ( Mayenne ).
Avec l’hypothèse que cela va les transformer psychologiquement et qu’ils font se rendre compte de l’intérêt du sport pour eux.
Le but est qu’au bout de deux ou trois mois ils s’inscrivent dans un club de sport.
Ils si ils ont des pbm financiers pour payer leurs adhésions et leurs seront offerte.
C’est expérience ont fait l’objet d’expertise par les médecins or les médecins, ils les évaluent avec leurs outils et leurs définition de la santé.
Ils vont regarder les résultats physiologiques, c-à-d dans le poids, la fréquence cardiaque… Or quand ils font cela la première choses qu’ils repère s’est que ces expérience sont des réussite physiologique.
Mais le fait sociale est oublier on ne sait pas comment les patients l’ont vécues.
Les deux dispositifs sont construit de la même manière.
L’idée est que à l’hôpital, on va repérer des gens qui souffre de certains pathologies comme le sur-poids.
Et on le proposer d’intégrer un programme d’activité physique à l’hôpital dans lequel on va les mettre pdt deux ou trois mois en situation d’exercice physique…
Le cas du PAPS 53
" Au-delà des maladies"
Bénéficiare
Une surreprésentation très nette des femmes, et ce quelle que soit la catégorie d’âge considérée ( 63,5 % de femmes).
Une très forte proportion d’individus d’origine sociale « modeste » ( 77,5%)
Un individu sur 2 à plus de 60 ans. La part des moins de 30 ans représente à peine 5 % de la population totale.
Effets
Transformations métaboliques chez les patients.
Du patient au « sportif », une difficile conversion.
L’expérience Strasbourgeoise
Bénéficiaire
Ce dispositif touche principalement une population en situation de précarité sociales, résidant dans les quartiers popularisées de la ville et très éloignée de la pratique physique et sportive.
Le dispositif a essentiellement touché des patients atteints de maladies chroniques.
Ces patients sont majoritairement obèses ou en sur-poids.
Leur âge moyen est de 49 ans, ils sont plus de 53 % à résider dans les quartiers les plus populaires de la villes et les femmes sont majoritaires ( 62,7%).
Effets
Nombreux sont celles et ceux qui affirment « se sentir bien » après leur activité physique. Relevant de l’expérience individuelle, le « bien-être « demeure évidemment autant une catégorie fondamentalement subjective qu’une notion du sens commun, rendant difficile sa formalisation.
Malgré l’objectif affiche d’un dispositif « tremplin », donc temporaire, la transition du dispositif passerelle à la pratique autonome reste difficile pour ces patients. La très grande majorité déclare préférer pratiquer dans le cadre de ce dispositif plutôt que dans un club « standard ».
Bilan de l'expérience
Ce qui n’empêche pas l’instrumentalisation politique du dispositif, érigé en modèle à reproduire sur le territoire national.
Ces expériences ont permis de mettre en évidence que le sport est bon pour la santé car le sport permet de transformer les personnes en surpoids.
C’est pour cela qu’il y a eu une loi qui permet au médecin de prescrire de l’activité physique et sportive.
Mais il a été sous estimées que le grand nombre de ces bénéficiaires ne peuvent ou ne veulent pas faire du sport pour des raisons particulière.
C’est cela qui pose des questions aux stapsiens.
Les principales obstacles du sport-santé
Comme par magie ? L’impossible conversion des patients en sportifs.
Est ce qu’on est en droit d’imposer un monde une pratique à qq’un qui lui est étranger au titre de sa santé, alors qu’il ne veut pas ?
Est ce qu’on leur prescrit ?
« Les gymnastiques ? C’est pas automatique… ? » Demain, quelle prescription médicale des APS ???
Les médecins mais aussi les stapsiens car ils sont former au sport alors que les médecins ne sont pas spécialiste du sport.
Le sport est bon pour la santé d’un coté physiologique mais que faire de la dimension sociale ?