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Introduction à la bioénergétique : Intervention et interprétation des…

- - - - Réaction en absence d'oxygène et sans lactates
      - Sprints courts et tout exercice très court et très intense.
      - Phosphocréatine (Pcr)
        
        Dégradation
        
        Création nrj pour créer de l’ATP et de l créatine + Pi.
    - - Réaction en absence d'oxygène et avec lactates
      - 400, 800, 1500 m ( 8s à 2-3min ).
      - Glycogène, glucose.
        
        Dégradation
        
        Création d’acide lactique.
      - Filière glycogène.
    - - Réaction en présence d'oxygène.
      - glycogène, glucose, acide gras, ( acide aminé ) + de l’O2 (=comburants) qui n’est pas un substrat (=carburants).
      - 5000 – 10000m, semi marathon, marathon et ultra marathon.
    - - Puissance
        
        Nombre de molécules d’ATP/s qu’il peut synthétiser = débit énergétique ( quantité d’énergie par unité de temps ).
      - Capacité
        
        Quantité totale de molécules d’ATP resynthétisées = quantité maximale de travail pouvant être effectué grâce à ce métabolisme.
      - Inertie
        
        « lenteur » d’entrée en activité. ( de mise en activité )
      - Récupération
        
        Permet la reconstitution des stocks de Pcr et vitesse d’élimination de l’acide lactique.
    - - Détermine le type d'effort
- - - - 2 molécules d’ATP à partir d’une molécule de glucose : 4 sont réellement synthétisées mais 2 sont dégradées.
      - 3 molécules d’ATP à partir du glycogène intra – musculaire.
      - NAD
        
        Nicotine – Adénine – Dinucléotide = accepteur d’hydrogène.
    - - Implique la régénération du NAD à partir du NADH+H+
    - - Glucose + 2 ATP + 2 ADP + 2 Pi + 2 NAD+ → 2 Acide pyruvique + 2 NADH+H+ + 2 H2O + 4 ATP
    - - 2 ATP
    - - Très faibles
  - - - But
        
        De régénérer des composés oxydés ( NAD+ ) afin de réalimenter la glycolyse.
  - - - NAD+
    - - NADH + H+
  - - - L’acide lactique formé s’accumule progressivement, l’acidité augmente. L’exercice devient de + en + difficile.
    - - L’acide lactique formée est oxydé aussitôt : La machinerie reste en « état stable ». L’acide lactique n’est pas un « déchet métabolique » mais une source possible d’énergie.
    - - Le footing de récupération. L’acide lactique accumulé va pouvoir être pris en charge par la filière aérobie. La baisse de lactémie va engendrer le retour à des conditions meilleures pour la contraction musculaire.
- - - - Déshydrogénase (présent dans la glycolyse et le cycle de Krebs )
- - - - Bilan Brut : 1 acide pyruvique → 1 AcétylCoA + 1 NADH+H+ + 1 CO2
    - - Mais indirectement il permet la libération d’une grande quantité d’énergie aérobie.
      - Comment ?
      - Rôle de NADH+H+ et FADH2
      - Le cycle de Krebs ne produit lui-même peu d’énergie : Énergie nette : 1 ATP / acide pyruvique → 2 ATP / Glucose
      - FAD : Flavine-Adénine-Dinucléotide = accepteur d’hydrogène
      - Bilan Brut : 1 AcétylCoA → 3 NADH+H+ + 1FADH2 + 2 CO2 + 1 ATP
      - En fait, le cycle de Krebs permet la libération de protons H+ qui sont amenés dans la chaîne de transport d’électrons ( par NAD et FAD ), où est effectivement resynthétisée une grande quantité d’ATP.
      - Le cycle de Krebs a pour rôle d’aller récupérer de l’hydrogène.
      - Production d’hydrogène utilisable par les chaîne respiratoires ( NADH ) à partir de l’acétyl-coenzyme A et de CO2.
    - - La libération des électrons à haute énergie du NADH active les « pompes à H+ »
        
        Transfert en grande quantité des H+ de la matrice vers l’espace inter - membranaire.
        
        Gradient de H+
        Entrée massive de H+
        
        L’ATP – synthétase utilise le gradient d’énergie pour produire de l’ATP.
      - O2 est l’accepteur final des e- : en se liant aux H+ : produit H2O
    - - Glycolyse
      - Cycle de Krebs
      - Transport d'électrons & phosphorylation oxydatives