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Le fonctionnement musculaire en course de vitesse. (Partie 1)
Vitesse
Fait ref à la rapidité de déplacement
V = d/t
On peut aussi considérer la vitesse comme étant le produit de la fréquence par amplitude : V= Fq* amplitude.
Types de vitesse
Vitesse instantanée, on peut le calculer avec v=d/t. On peut la trouvée grâce à un radar.
Vitesse maximal, sur une distance on a une vitesse maximal.
Vitesse optimal : pourcentage de la vitesse maximal.
Vitesse d’envol sur saut ou angulation de course.
Vitesse cyclique, c’est la fréquence.
Vitesse maximal aérobie ( VMA ), c’est la vitesse dans la filière aérobie.
La contraction musculaire des muscles est nécessaire à la production de vitesse.
C'est le fruit du processus chimiques au cœur de l'appareil neuromusculaire
C’est le résultat d’un raccourcissement par glissement des nombreuses myofibrilles, qui produit de multiples fois, engendre la contraction musculaire.
Distance parcourue pdt
sprint court
60m, 100m, 200m.
sprint long
400M
Le seule nrj utiliser par le muscle pour se contracter provient de la désagrégation de l'ATP
Etapes
Stimulus qui va faire intervenir un flux nerveux, cette influx nerveux va passer une commande neuromusculaire qui va produire une contraction par une dégradation d’ATP.
ATP
= Adénosine triphosphate
1 Molécule organique ; l’adrénaline + 3 molécule d’acide phosphorique = combinaison musculaire riche en potentielle mais avec un très faible réservoir.
La dégradation d’ATP qui va permet la production d’nrj à la contraction musculaire. Cela à un effet chimique qui quand il est utilisé on va avoir une effet mécanique pour faire la poursuit de la course.
Filières énergétiques
Les mécanismes qui entrent en act° dans la synthèse de l’ATP pour garantir la contraction musculaire en fonction de la durée de l’effort à produire.
Caractériser par
Délai d’apport optimum d’nrj.
Sa capacité ou nrj potentielle totale susceptible d’être utilisée.
Sa puissance métabolique ou quantité maximal d’nrj quelle peut fournir par unité de temps.
Son endurance ou pourcentage de la puissance énergétique maximum qu’elle peut fournir pendant le + long temps possible.
Son ou se facteur limitatifs.
Durée nécessaire pour reconstituer les réserves utilisées ou pour éliminer / métaboliser les déchets produits.
Filière principale
Anaérobie
Réaction physiologiques ne font pas intervenir l’O2.
2 voies
Filière anaérobie alactique (Sans production de lactates)
Filière anaérobie lactique (production de lactates)
Aérobie
Réaction physiologiques utilisent l’O2 qui est apportés dans les cellules musculaires par la circulations sanguine.
Vitesse courte
Vitesse du 60m
Puissance anaérobies alactique
Sur le terrain
De 0 à 7 s → De 0 à 60 m → De 300 m au décrochage ( pas + de 500 m ).
Temps de récupération
1’30 à 2’30 entre les courses
6’ à 8’ entre les séries
Permet le production de l’ATP pour la filière anaérobies alactique.
Procédées entraînement
Travail de temps de réaction
Travail de la vitesse gestuelle
Travail de la vitesse segmentaire
Travail sur des parcours de 10m à 50-60m
Course contrariées
Bondissement ( horizontaux – verticaux )
Musculation ( arrachés, épaulés, fentes, 1/2, 1/3, 1/4 de squats.
Vitesse longue
Capacité anaérobie alactique
Filière anaérobie alactique donc course de courtes distances.
Sur le terrain
De 7’ à 20’ → De 60m à 150m → De 600m au décrochage ( pas + de 800 m ) → 90 % de la vitesse maximal.
Temps de récupération
De 1’30 à 8’ entre les courses
De 8’ à 12‘ entre les séries.
Procédé d'entraînement
Travail sur des parcours lancer
Course contrariées
Travail sur des parcours de 60 m à 150 m
Bondissement
Endurance anaérobie sur le terrain
Sur le terrain
De 10’’ à 1’ → De 80m à 400m → 1 à 4 impacts. 88 – 100 % de la vitesse max.
Temps de récupération
Totale, sauf pour les enchaînements
Lactate
Reculer l’arrivé du lactaque dans l’effort.
Procédé d'entraînement
Ils sont sous la dépendance directe de la spécialité pratiquée. Ils peuvent donc prendre plusieurs formes.
C’est dans de nombreux cas le facteur de la performance.
Endurance aérobie
Filière aérobie
Sur le terrain
capacité aérobies / Travail continu : de 20’ à 1h, voire plus.
Procédé d'entraînement
Travailler sur le temps, sur la distance
60 % - 85 % de la VMA aérobie
Travail en nature
Endurance / Puissance aérobie
Puissance aérobie : Plutôt un travail discontinu, par intervalles ou intermittent ( 30s ; 30s ) : 100 % PMA.
Principes du travail
De marchés à course lente ( 50 à 60 % PMA )
Maxi : 20’’ à 30’’ et active.
Mini : 7’ à 10’ en active.
Courir pendant 30’’ à PMA ou sur 200 m à PMA ( puissance maximal aérobie.
Procédé d'entraînement
Travail en nature
Travail sur piste
Travail sur le temps et la distance.
Qualités physiques fondamentales
Augmentation de la force
Réalisation de la performance athlétique
Amplification de la souplesse
Dvpt de l’endurance
Accroissement de la vitesse
Amélioration de la coordination
La force en sport interagit en combinaison de l’endurance ou de la vitesse.
De ces combinaisons vont en dérouler de qualités complexes utilisées lors d’efforts sportifs.
Interrelation entre les capacité biomotrice
Force élastiques
Endurance vitesse
Endurance force
Endurance
Selon Michel Pradet, « Tous les processus énergétique capables d’entretenir la contraction musculaire, se caractérise par un niveau d’endurance particulier.
Dvp l’endurance, c’est donc dvp aussi bien la faculté de soutenir plus longtemps une effort d’intensité inchangée, que la faculté de produire un effort d’intensité supérieur pendant une durée identique.
Même si la représentation de l’endurance est souvent liés à des efforts à dominance aérobie, elle ne doit pas s’y limiter et doit être étendue à tout type d’effort où l’on cherche…
Force
Si l’on prend la définition de la force selon ZATIORSKI : « Faculté à vaincre une force extérieur ou y résister grâce à des efforts musculaires » , il s’agira d’identifier et définir les types de tension à exercer pour optimiser le dvpt d’une force spécifique.
Qualité complexe
Force explosifs ( force vitesse ) : ( travailler à 100 % )
Endurance de la force
Force maximale : Charge que l’on peut lever une fois ( travailler à 85 % )
Vitesse
Selon Michel Pradet : « Faculté d’effectuer des actions motrices provoquait un déplacement du corps ou une de ses parties avec la plus grande rapidité possible et pdt de courtes périodes ne faisant pas intervenir la notion de fatigue ».
Paramètres constitutifs
Vitesse mvt isolé ( vitesse acyclique )
Fréquence gestuelle ( vitesse cyclique )
Vitesse de réaction
Modalité d'expression
Faculté d’accélération
Faculté de soutenir sa vitesse maximale
Souplesse
La souplesse est une qualité physique permettant de « réaliser des mvts avec la plus grandes amplitudes ou mobilité articulaire.
Certitudes
Un sujet qui ne s’étire pas va s’enraidir et augmenter les contraintes articulaires. Ce qui va non seulement influencer négativement la performance à long terme, mais favoriser aussi des compensations indésirables, et donc des douleurs et des blessures .
Suivant le contexte et l’objectif recherché, une technique d’étirement approprié et bien réalisée, est utiliser ( étirement actifs / passifs / activo – dynamique, postural ).
S’étirer plutôt le matin ou 2h av la compétition.
Jamais après des séances de musculations
Coordination
La coordination motrice est la capacité à réaliser un geste bien défini et précis grâce à l’action conjugué du système nerveux central et de la musculature squelettique.
Athlète coordonée
Efficace : Habilité technique
Efficient : Efficacité au moindre coût énergétique
Fiable : le taux de reproduction est élevée du geste technique demandé
Il s'agit de la réalisation d’un action motrice précise et intentionnelle avec une vitesse et efficacité et fiabilité.