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Démences et changements cognitifs dans le vieillissement PCIAP Ex.3 -…
Démences et changements cognitifs dans le vieillissement PCIAP Ex.3
Vieillissement
Les changements liés au vieillissement sont typiquement décrits comme s’inscrivant dans un continuum, allant d’un vieillissement optimal à la démence.
Démence
Trouble cognitif léger TCL
Absence de changements
Changements normaux
Progressif : la personne ne doit pas être en mesure d’identifier un moment important dans sa vie qui aurait produit se genre de développement. Si c’est le cas, ça provient d’une autre cause que le vieillissement normal.
Vieillissement normal
Le vieillissement est marqué par des modifications progressives et normales du fonctionnement cognitif avec l’âge. L’atrophie cérébrale touche principalement les lobes frontal et temporal.
Le vieillissement est également associé à une diminution des habiletés sensorielles et des fonctions motrices (p.ex. modification des structures, changement dans les neurotransmetteurs).
Attention: la majorité de ces changements débutent bien avant l’ « âge d’or »! Dans certains travaux, dès 25-30 ans, on note une diminution de performance.
Faire une évaluation si
Règle générale, ces modifications sont bénignes, mais elles peuvent être anxiogènes. (Des signaux qu’il y a quelque chose qui se passe d’anormal )
Les changements ont un impact tangible sur la vie quotidienne (autre que d’être dérangeants ou sources d’inquiétude). (impact de se faire à manger, de conduire, suivre une liste d’épicerie, se souvenir du repas de hier, oublie ses rdv).
Les plaintes sont atypiques. (ex : mamie qui oublie ses clés dans le four) elle confond les actions avec les objets, entend des voix, plus confuses, par période/moment.
Les plaintes face au vieillissement cognitif sont nombreuses et variées.(la personne répète souvent dans son discours ces plaintes).
Les changements sont accompagnés de symptômes dépressifs. (à surveiller également)
Facteurs de protection et de risque
L’âge où l’on remarquera les changements varie beaucoup d’un individu à l’autre.
D’autres semblent mieux protégés
Les femmes, surtout celles qui ont un bon fonctionnement social
Les individus actifs physiquement/socialement/intellectuellement
(Les individus plus instruits! Notion de réserve cognitive)
Relation entre santé – habitudes de vie – fonctionnement social... et cognition.
Certains groupes « vieillissent plus vite »
Détenus
Itinérants
Diabétiques non contrôlés
Toxicomanes, dépressifs, anxieux (stress chronique)
L’âge est un facteur important
Certains groupes vieillissent plus vite (détenus = endroit très propice pour problématique cognitive et de santé mentale / itinérant = prennent moins soins d’eux / diabétiques non contrôlés / toxicomanes, dépressifs et anxiété = imp de développer des stratégies saines.
D’autres sont mieux protégés (les femmes à cause du fonctionnement social donc préservent mieux les cognitions, car elles sont utilisées plus souvent) réserve cognitive = notion qui dit qu’on est en mesure et capable de surmonter les changements cognitifs, donc nous affectent moins (bcp chez les femmes).
Vieillissement normal
Les premières théories sur l’effet du vieillissement dressent un portrait typiquement négatif: l’intelligence commence à décliner tôt (25 à 30 ans) et ce déclin continue tout au long du vieillissement.
Par la suite, les chercheurs ont constaté que les habiletés verbales et les connaissances générales tendent à augmenter avec l’âge, du moins jusqu’à 65 ans (Doppelt et Wallace, 1955). (Modèle d’intelligence fluide et cristallisé)
Intelligence
Peu importe le devis: les effets du vieillissement sont différents en fonction des capacités mentales mesurées.
Intelligence cristallisée:
Connaissances et habiletés acquises au fil de l’apprentissage, de la pratique et de l’éducation
Généralement maintenue ou améliorée avec l’avancement en âge
Compréhension verbale
Aptitude numérique
le changement cognitif n’aura pas vraiment d’impact sur l’intelligence (tous les aptitudes numériques (utilisation de la tablette par ex), connaissances, la pratique et l’éducation qui sont maintenues et améliorées)
Intelligence fluide:
Résolution de problèmes nouveaux, adaptation à des situations inconnues et transformation de l’information
Plus sensible au déclin
Orientation spatiale
Raisonnement
qui va nous permettre de résoudre des problèmes, on peut plus associer au Fonctions cognitives (faire association, résoudre problème, etc = plus difficile avec l’âge, ex. dans la difficulté de conduire l’auto).
Vieillissement normal
Plusieurs travaux s’intéressent aux changements cognitifs associés au vieillissement. Les trois principaux:
Ralentissement de la vitesse de traitement de l’information et de la vitesse des réponses motrices
Serait un des principaux facteurs (avec le fonctionnement sensoriel) expliquant les effets du vieillissement sur les mesures de QI
La capacité attentionnelle
Pour les tâches attentionnelles simples, il y a peu de déclin lié au vieillissement.
Cependant, on note un déclin pour les situations plus complexes:
Attention sélective
Attention divisée
Manipulation de l’information
Changements mnésiques
Déclin avec le vieillissement
Rappel libre: le rappel spontané d’information sans indice.
Mémoire de source: savoir d’où ou de qui provient une information apprise. (nécessite de savoir d’où provient l’info qu’on a encodée. (ex : tu leur demandes d’où provient l’info qu’il dit, ne te rappelles plus si c’est sœur, médecin, etc))
Mémoire prospective: se souvenir de faire des actions dans l’avenir. (ex. faire le ménage et savoir les actions à faire en les respectant. La mamie prévoit le ménage le matin, mais à midi, ne se rappelle plus trop des actions établies. C’est un déclin général.)
Mémoire épisodique et sémantique: se souvenir des contextes et comprendre les consignes ou événements complexes. (les actions plus complexes sont plus difficiles (ex. jouer au monopoly, usage de moins de stratégies, d’actions réfléchies comme plus jeunes).)
Stabilité avec le vieillissement
Mémoire de reconnaissance: la capacité à récupérer une information quand un indice est présenté. (on peut fournir des exemples pour aider à la récupération.)
Mémoire de l’ordre temporel: mémoire de la séquence ou du moment d’évènements passés. (capable de se souvenir des années avec des évènements du passé pu récent exemple : naissance enfant, mariage, etc. les séquences (savoir l’ordre pour se préparer le matin).)
Mémoire procédurale: mémoire des comportements appris. (savoir comment prendre sa tasse pour boire du thé par ex. si trouble la = atypique.)
Les 3 principes des changements cognitifs
La capacité attentionnelle (peut avoir des difficultés dans des environnements bruyants, car attention sélective) (la conduite automobile, on doit se concentrer sur la route, sur mamie qui parle, etc donc plus dure pour l’attention divisée. Souvent la cause du pourquoi on enlève le permis). (plus de difficulté avec la manipulation de l’information par des calculs mentaux, abstrait qui demande que ça travaille dans la mémoire)
Changements mnésiques
Ralentissement de la vitesse de traitement de l’info (changement à ce niveau)
Exemple concret en lien avec la collecte de témoignage
Les personnes âgées sont perçues comme de moins bons témoins par les policiers (stéréotype).
Les témoins âgés rapportent moins de détails corrects que les témoins plus jeunes et ont tendance à faire plus d’erreurs.
Fatigue intellectuelle
Déficit sensoriels
Difficulté à adopter des stratégies efficaces pour améliorer la récupération des souvenirs (fonctions exécutives)
Déficit de la mémoire de source
Altération de la mémoire épisodique et sémantique, diminution de la mémorisation des contextes temporels
Intervention
Quelques facteurs à garder en tête en lien avec la mémoire et le vieillissement:
Difficulté de récupération: les indices sont spécialement efficaces avec les aînés.
donner des indices pour aider.
L’usage de stratégies peut grandement influencer la performance:
Visualisation et encodage multisensoriel (Multisensoriel permet une trace mnésique plus profonde.)
Groupement d’informations (Grouper des informations sur des post-it, aide-mémoire, acronyme)
Entrainement cognitif pour maintenir les capacités, mots croisés, échec, etc
Entretien de la motivation (on veut qu’il est une perception positive de leur mémoire pour l’améliorer)
Éviter les distractions et la surcharge
Attention divisée
pour les différentes attentions. On les met dans des bons environnements/conditions, technique de détente pour diminuer l’anxiété
Effet de la métamémoire: nos croyances et attentes face à notre propre mémoire influencent nos stratégies, nos efforts et nos performances.
Métamémoire : est-ce qu’il se trouve bon, moins bon, conscient que sa mémoire est moyenne ou est certain qu’elle est intacte. On veut lui faire prendre conscience de la réalité pour bien se situer afin de voir des progrès. On veut qu’elle ait une perception positive de sa mémoire.
Objectifs d’intervention
Maintenir un réseau de soutien et des activités sociales
Prévenir les risques de chutes
Favoriser l’adhésion au traitement
Surveiller les indices de vieillissement atypique
Favoriser de saines habitudes de vie
Assurer le maintien des personnes le plus longtemps possible dans leur milieu de vie.
Permettre le maintien des capacités cognitives et motrices
Prévenir les risques de fraudes et d’abus
On doit adapter l’environnement pour que la personne puisse bien fonctionner. Ajustement de l’environnement pour rendre le tout confortable et sécuritaire et faciliter la vie au quotidien.
Assurer une bonne gestion des médicaments, donc pas d’arrêt, de trop grande dose, etc., car peut occasionner des problèmes divers.
Prévention du risque d’abus et de fraudes
Personne plus vulnérables (altération du jugement, ralentissement du raisonnement, trouble de la communication, diminution de la force motrice...)
Isolement social, problème de santé et deuils
Crédibilité?
Type de maltraitance:
Exploitation financière
Violences et négligence ( Physique, affective, sexuel, amoureuse)
On doit observer les signes alarmants (ecchymose, moins d’argent, peur soudaine, moins d’objets)
Intervention auprès des victimes d’abus ou de fraude
Dépister (évaluation de l’environnement et de la situation problématique)
Référence
Sensibilisation à reconnaître des signes (proches, personnel soignant et personnes âgées à risque)
Accompagnement (poursuite policière, deuil, gestion des émotions, apprentissage)
Dans la pratique?
Les ressources adaptatives des ainés tendent à peu changer avec le vieillissement. Si vous remarquez des changements marqués chez un individu, assurez-vous de bien évaluer si ces changements sont bien causés par le vieillissement ou, plus probablement, par des problématiques secondaires telles que:
Isolement social
Manque de pratique ou de stimulation
Anxiété ou dépression
Difficultés sensorielles
Tendent à être relativement stable dans le temps. S’il y a tout d’un coup des signaux d’alerte dans son adaptation, il propose qu’il y ait une problématique qui est sous-jacente.
Lien entre la dépression et les changements cognitifs:
Intensité : si la personne dit « je suis prête que le bon dieu vienne me chercher » si dit de temps en temps = préparation normale à la mort. Si répété chaque jour = on porte attention.
Altération fonctionnelle : fonctionnement normal qui est perturbé.
Apparition de symptômes : ne va plus manger à la salle, ne voit plus personne, etc.
Lien entre la dépression et les changements cognitifs
L’évaluation chez les personnes âgées est difficile, car les symptômes sont facilement confondus avec le vieillissement normal ou le deuil d’une personne.
(1)Intensité, (2) altération fonctionnelle et (3) apparition des symptômes.
Il ne faut pas croire qu’il s’agit d’une conséquence d’un vieillissement normal
Plusieurs hypothèses existent sur la relation entre la dépression et le vieillissement cognitif (directe ou indirecte).
Déséquilibre au niveau des neurotransmetteurs relatifs à la sérotonine et la noradrénaline.
Facteurs environnementaux (deuils, solitude, limitations...)
Évaluation suicidaire
Suicide ou préparation à la mort ?
L’abus de médication est l’un des moyens les plus utilisés par les ainés dépressifs (Talpin, 2017).
Facteurs de risque spécifiques:
Le veuvage (quelqu’un qui vient de perdre son conjoint ou conjointe.)
L'isolement (peu de réseaux, peu d’objectifs de vie.)
La présence de maladie fonctionnelle ou somatique
ex. fibromyalgie (mal partout)
Évaluation du plan et des facteurs de risque (comme pour une personne plus jeune).
C’est dans la tranche d’âge des personnes de 85 ans qu’on retrouve le taux le plus élevé de suicide.
Ce n’est pas en parlant de suicide qu’on va donner le goût à la personne de le faire.
Milieu d’intervention
Habituellement, les interventions se font à domicile, ce qui facilite l’évaluation rapide du quotidien et de l’environnement de la personne âgée.
CIUSSS:
Service de soutien à domicile
Résidences pour personnes âgées
Organismes communautaires:
Les PetitsFrères
Parents-secours
La Popote roulante
Parainage civique
Petits-frères et parrainage civique = briser l’isolement.
Vieillissement pathologique
Démences : ensemble de troubles associés au déclin cognitif. Ce déclin est typiquement progressif et irréversible.
Incidence augmente avec l’âge: ~7% des gens de plus de 60 ans; ~49% des gens de plus de 80 ans.
Ne résulte pas du vieillissement normal de la personne âgée. Il n’y a pas de traitement (donc c’est irréversible) il y a des traitements pour ralentir ou pour agir sur les symptômes et non sur la maladie.
Dépistage: signes
signaux d'alarme
Déficit de la reconnaissance visuelle (agnosie)
Difficulté à reconnaître les objets dans la maison, les images ou les personnes connues (proches, célébrités) non explicable par des problèmes de vision.
Troubles du langage et de la parole (aphasie)
Difficulté à s’exprimer (hésitations pour trouver le mot juste, substitution ou transformation de mots, phrases incomplètes ou incompréhensibles).
Changements dans la maîtrise de l’orthographe ou de la calligraphie (forme des lettres).
Diminution de la capacité à comprendre les consignes, à suivre les conversations, à lire ou à comprendre des textes.
Troubles de l’organisation, de la planification et du raisonnement (fonctions exécutives)
Difficulté à s’adapter à la nouveauté et aux changements.
Changements dans la capacité à organiser et à planifier des tâches complexes.
Altération du jugement et difficulté à prendre des décisions.
Altération de la capacité à réaliser une activité motrice malgré des capacités motrices intactes (apraxie)
Difficulté à planifier les gestes complexes; lenteur inhabituelle ou difficulté à coordonner des mouvements pour effectuer les gestes du quotidien (utilisation d’objets habituels, s’habiller ou dessiner).
Perte de l’autonomie fonctionnelle activité de la vie domestique (AVD)/ activité de la vie quotidienne (AVQ)
Détérioration ou changement dans la capacité de fonctionner de façon autonome (tâches quotidiennes, gestion de ses médicaments) représentant un déclin par rapport au niveau antérieur de fonctionnement.
(arrêt d’alimentation, se met dans des situations à risque, arrêt de médication, etc)
Modification de la personnalité, du comportement et de l’humeur
Voir la liste complète des SCPD à la page suivante.
(peuvent démontrer des symptômes dépressifs et peut s’apparenter a des symptômes de la démence justement).
Changements sur le plan de la mémoire (amnésie)
Difficulté à apprendre et à retenir de l’information nouvelle.
Oubli d’information significative (conversations récentes, événements prévus ou passés, rendez-vous, anniversaires), discours répétitif.
incapacité a retenir de la nouvelle info, oublie des infos récentes, oubli d’informations significatives pour elle)
Signes
Ils ne peuvent être utilisés qu’à des fins de dépistage et ne remplace en aucun cas une évaluation faite par un professionnel attesté (neuropsychologue).
Critères diagnostics (DSM-5)
Ces signes doivent représenter un déclin significatif par rapport au niveau de fonctionnement et aux capacités habituelles de la personne.
Comme psychoed, c’est des signes dans le but de dépister, car nous ne pouvons pas faire de diagnostic et faire des références au besoin.
Facteurs de risque
Antécédents d’AVC
Antécédents familiaux
Trouble dépressif majeur
Apnée du sommeil non stabilisée
Épisode de délirium récent
Épisode psychiatrique à un âge avancé (dépression, manie, psychose)
TCC récent
Maladie de Parkinson
Apparition d’un déclin cognitif léger
Apparition d’un déclin cognitif léger : na pas d’altération marquée sur le fonctionnement, simplement un ralentissement, mais qui est plus sévère qu’une personne avec vieillissement normal.
Ne pas confondre les démences et des troubles de santé mentale.
Type de démence
Les présentations cliniques varient selon le type de démence.
Maladie d’Alzheimer
celle qui a le plus d’avancement scientifique en ce moment. Neurofribrillaires= tissus autour des cellules qui fait une toile d’Araignée et qui modifie la structure et altère le fonctionnement. C’est une structure irréversible donc lorsque la cellule est désintégrée, elle ne peut pas se regénérer.
La perte de mémoire est graduelle : elle perd les souvenirs récents en premier et par la suite ceux du passé (stade très avancé ex. ne pas se souvenir de sa famille)
Visuo-motrice : ex. on peut lui faire un apprentissage de comment peler les patates puisqu’elle ne s’en rappelle plus, on lui montre et elle pourra l’exécuter. Selon son stade, elle pourra préserver l’apprentissage quelques jours, quelques heures ou mêmes minutes. Plus ça avance, moins la personne pourra faire ces apprentissages, ne perdurent pas dans le temps.
Insidieuse : les signes ont l’air bénin de base. On doit regarder la répétition des symptômes. Continuelle jusqu’à ce qu’elle décède.
Démence à corps de Lewy
beaucoup moins connu, car similaire à l’Alzheimer et de santé mentale (ex schizophrénie à cause des symptômes atypiques).
Démence frontotemporale
Démence frontotemporale: réduction du volume cortical frontal. Présentation marquée de problèmes de comportement et de personnalité, notamment désinhibition, apathie, impulsivité et perte des convenances sociales. Dans les premiers stades, orientation spatiale et mémoire sont maintenues. La gestion des comportements est un défi important, y compris la nuit.
ex. personnes désinhiber, qui fuguent, qui sont très dérangeants et atypiques. La personne ne présentait pas ce genre de comportement avant. Il y a une augmentation des comportements la nuit. On doit mettre des conditions, des procédures à mettre en place comme psychoed pour savoir quoi faire lorsque la personne fait un tel comportement. On veut encadrer très stricte les comportements pour ne pas déranger les autres. Il y a des comportements qui peuvent avoir l’air de comportements sexuels, agressifs.
Maladie de Parkinson
les 3 symptômes = souffre de troubles moteurs de type Akinésie donc lenteur dans les mvt/la démarche, tremblement au repos (dans 70%, apparents ou lorsqu’elle prend un objet), rigidité musculaire (aspect figé, absence d’expression faciale, bras tendus). Dû aux neurones dopaminergiques.
Le traitement : palliatifs/médicaments (on traite les conséquences), la chirurgie
Démence vasculaire
La démence vasculaire est causée par un AVC important ou une série de petits AVC: sa présentation est rapide et en paliers. Souvent, on notera des épisodes de confusion ou l’apparition soudaine de problèmes cognitifs, sensoriels ou moteurs. Les atteintes fonctionnelles sont hétérogènes et incluent parfois délires et symptômes dépressifs sévères. Facteurs de risque modifiables (p. ex. hypertension, tabagisme) comme principal traitement.
La démence vasculaire est la deuxième le deuxième type de démence le plus fréquent chez les personnes âgées.
dû par un gros AVC ou plusieurs petits AVC. Les symptômes vont survenir directement après les AVC et en palier donc de manière drastique, stabilité et drastique par la suite, etc. la personne va dépérir rapidement et avoir des conséquences lourdes sur la santé et fonctionnement. Les symptômes varient d’une personne à l’autre (hétérogène) donc rendent plus difficile le diagnostic. On peut davantage le déterminer par la progression, la rapidité d’apparition…
Notre rôle : faire l’évaluation des déficits de la personne et de par la suite de la situer sur le continuum.
Questions de révision
Pour quels de ses symptômes pouvons-nous observer des dommages visuelles:
L’ataxie
L’héminégligence
L’hémianopsie
Aucune de ces réponses
L’achromatopsie
Aucune de ces réponses. Dans tous leur cas, ils n’ont pas de problème/dommage au niveau des yeux. C’est un problème au cerveau.
Expliquez pourquoi une mesure de intelligence globale est confondante quand on étudie le vieillissement.
Si on observe l’intelligence fluide, il va y avoir une apparition du déclin plus rapide. Pour l’intelligence cristallisée, ça tente a augmenter jusqu’à 65ans. Si on regarde l’intelligence en gros plan c’est confondant à cause des 2 types d’intelligente.
Votre grand-mère rapporte de la difficulté à se souvenir qui lui a dit que « l’hypnose ne fonctionne pas pour le rappel en mémoire à long terme». Quel type de mémoire est impliqué et est-ce un changement normal ou anormal avec le vieillissement?
Mémoire de source, car elle ne sait plus qui lui a dit quoi. C’est un déclin normal.
Dans les travaux qui s’intéressent aux changements cognitifs précis dans le vieillissement, quel est le principal changement normal rapporté en lien avec le traitement de l’information? Et donnez un exemple concret de présentation qui pourrait traduire ce changement.
Il y avait un ralentissement dans le traitement de l’info. Ça ralentit le processus d’échange entre MLT et MCT. Concrètement : 1ère chose qu’ils ont de la difficulté = comprendre l’information qu’on leur dit. Lorsqu’on pose des questions ou donne de l’info, beaucoup plus long à traiter pour eux. Compréhension ralentie ainsi que les traitements faits avec l’info.
Vrai ou faux, la dépression fait partie d’un des symptômes associés aux changements cognitifs liés au vieillissement normal. En effet, les modifications dans le réseau des neurotransmetteurs tendent à favoriser la présence d’idées suicidaires.
FAUX, en aucun cas la dépression n’est un symptôme pour un vieillissement normal. Il est vrai qu’il y a des modifications dans le réseau qui favoriser les idées suicidaires, mais il n’y a pas de relation de cause à effet.
Pourquoi la démence de corps de Lewy est-elle difficile à diagnostiquer?
Elle peut être confondue avec la schizophrénie, car elles ont des symptômes communs (hallucination et période de délire). On doit vraiment bien évaluer la personne pour bien prescrire les médicaments. Si on soigne les personnes avec la démence de corps de Lewy comme un schizophrène, on va accentuer les problèmes.
On ne connait pas les causes extérieures de la cause de l’Alzheimer. La cause est inconnue pour la maladie de l’Alzheimer, c’est davantage des facteurs de risque qui augmente les chances que la maladie se présente.
*
imp
Les diapos bleues vues en classe sont à l’examen** Toutes sauf collecte de témoignage.