Please enable JavaScript.

Coggle requires JavaScript to display documents.

Anthropologie du fait religieux - Coggle Diagram

- - - - les membres de ces religions ont élaboré un grand savoir qui visait a expliciter la conception du divin qui avait court dans la religion qu'ils traitaient. Une conception du divin qui était mise en œuvre dans les rituels pratiques.
        → Ainsi de telles tentatives d'élucidation sont faites ici de l’intérieur, donc ce sont des tentatives des gens qui tiennent pour acquis que le divin existe : des tentatives alors Théologiques.
        Ex. Evans Pritchard article « Les anthropologues et la Religion » (autour des années 50) : il montrait que la plupart des anthropologues qui avait eu à traiter du fait religieux étaient tous des incroyants ou des agnostiques et avaient tendance à considérer la religion comme une illusion.
        (E.P fut protestant puis s'est convertit au christianisme). E.P « Nuer Religion » paru en 1956 jamais traduit : cet ouvrage a prêter le flan aux soupçons d'une certaine complaisance vis à vis du religieux, il n'a pas maintenue une distance tel que l'anthropologue se doit, apparemment (une critique).
        
        - Des approches non théologiques supposent au contraire pour leurs auteurs de se placer pour parti ou entièrement à l’extérieur de l'institution religieuse et de ses cadres de pensées : c'est à dire traiter du religieux autrement que dans une logique croyante.
    - - les tentatives d'élucidation du fait religieux remonte à l'antiquité et aux écrits philosophiques. Les philosophes depuis l'antiquité ce sont interrogés sur le fondement des croyances religieuses.
        La réflexion philosophique à tourner jusqu'au XIXème siècle sur la vérité ou bien sur la fausseté des croyances religieuses. A partir du XIXème siècle le type de questions va évoluer : moins préoccuper de la fausseté ou vérité de la religion mais une réflexion d'avantage tourner du religieux en tant qu'institution humaine :
        => C'est la fonction que rempli la religion. Une fonction psychologique ou bien une fonction sociale. Ceci ouvre la voix aux fondements des sciences sociales ainsi qu'a l'histoire, la psychosociologie ect chacune vont apporter une spécificité relative à la question du religieux.
    - - Les auteurs, en fonction de leurs optiques théoriques et de leurs a priori, ont était amené à définir le champ du religieux de manière différente. Les frontières n'ont pas été amené au même endroit. Les traits fondamentaux n'ont pas été les mêmes : L'absence de consensus sur l'objet même de la religion est en soit explicable par le caractère problématique des principaux éléments dont on essaye de se servir pour définir le phénomène religieux. A chaque fois que l'auteur veux présenter un élément il fut à chaque fois contredit par un élément contradictoire ailleurs dans une société : aucun élément n'est propre au phénomène religieux de part les cultures → pas d'universalisme
- - - - Les entités religieuses, pour nous, appartiennent au surnaturel (une autre notion très importante). Par opposition au monde positif de l'expérience.Donc les gens sont supposé croire à ces entités alors qu'ils savent que cette table existe que l'eau exist
        
        Par exemple, on croit aux entités religieux mais on ne sait pas aux entités religieuses : on ne dit pas je crois en l'existence de cette table par exemple
  - - - des prescriptions sur la vie morale de la communauté. Par exemple il y a beaucoup de religion ou le meurtre est prohibé ainsi que l'inceste, le vol ect si on enfreint cela, la sanction peut être d'ordre religieuse, cad passer par une entité sur naturelle
    - - des interdits relatifs à des (1)objets / à un (2)être ou bien à un (3)espace, et qui défend de toucher/de pénétrer à certains espace / objet / être. Ainsi beaucoup de religion gouverne les membres de la société. Si on ne respecte pas un tabou il y aura une sanction par ces entités.
      - Les tabous chez un certains nombres d'auteurs (Frazer et Durkeim) sont considérer comme l'envers des pratiques rituelles, c'est une sorte de rite négatif → les tabous ne consistent pas à faire quelques chose à destination d’entités invisibles pour en obtenir quelque chose, mais plutôt à ne pas faire quelque chose afin d'éviter qu'une entité ne s’en prenne à nous.
    - - Le but des rituels religieux est de soit se concilier les faveurs des entités invisibles soit au contraire de contre-carrer l'action de ces entités invisibles. Elle se manifeste au premier chef dans les cultures par la maladie : une affinité extrêmement forte existe entre la question de la maladie et de l'infortune, et de la pratique religieuse
      - C'est Durkheim qui distingue le rite positif qui consiste à ce concilier les faveurs et rites négatifs qui consiste en des interdits des tabous ect (le prof n'est pas sur de son propros). Ainsi, si on pense le rituel il faut aussi penser le tabou : pour comprendre l'un il faut saisir l'autre
      - Comment comprendre l'action rituelle?
        
        Le rituel comme mécanisme cognitif: c'est donc toutes les croyances qui vont vous être inculquer qui vont gouverner la manière dont vous vous comportez en pratique : ce sont les représentations qui vont gouverner le rite. Donc si on veux la comprendre, il va falloir l'appréhender sous un angle psychologique en terme de mécanisme de pensée/cognitif, à chaque fois que quelqu’un agit religieusement il n'agit pas comme il interagit dans la vie ordinaire, il interagit de façon différente avec les entités
        
        Le rituel comme action dirigée vers le surnaturel: équivalence entre religion et action rituelle
        
        Attention: même si le domaine d'election du rituel est la religion. Il existe hors de celle-ci
- - - - devin
        
        Les pratiques divinatoires sont celles qui consistent à lire soit le futur soit dans le pasé pour rechercher le devenir ou l'origine des choses. Elles sont préalables à la pratique rituelle thérapeutique
        
        Les oracles: possédés qui vont donner des indications sur l'avenir
      - chamman
        
        on répartissait soit le chamanisme soit la possession dans telle ou telle autre société : En Sibérie et en Amazonie le chamanisme, en Afrique la possession
        
        En fait, d'une part, il peut y avoir du phénomène chamanique et en même temps de la possession que les deux ne sont pas exclusifs, parfois même dans un même rituel.
        D'autre part la manière dont on avait définit le chamanisme par antithèse et antinomie avec la possession était trop caricatural !
        
        Chaman peut partir en voyage en excursion dans le monde sur naturel ! Le chaman envoi son âme dans le monde surnaturel à la recherche des âmes des autres humains volés par les esprits. l'humain vers le surnaturel
        
        Possédé= celui dans lequel l'entité invisible pénètre pour venir s'incarner et communiquer avec les membres du culte. surnaturel vers l'humain
        
        Des idéaux types c'est à dire des représentations scientifiques qui purifie la réalité pour arriver à des schémas claires et transparents mais qui dénature la réalité de fait, on caricature la réalité
      - médium
      - possédé
      - prêtre
        
        Les anthropologues ont parfois utilisé le terme de prêtre pour qualifier certains spécialistes de l’Hindouisme en Inde mais ont ils eu raison ? Est ce que cette catégorie est vraiment adaptée quand on sait tout ce quelle charrie dans son arrière plan chrétien
      - Ciritques: toutes ces catégories sont tellement marquées par le contexte de naissance cad catholique chrétien qu'il est inadapté de l'employé pour des cultures autres.