Côté personnels civils, l'armée va également accueillir cette année 3 600 civils, femmes ou hommes, dans plus de cinquante métiers. « Nous avons aussi besoin de secrétaires, de linguistes, de médecins, d'ingénieurs, des data scientists ou des spécialistes des systèmes d'information et de communication ». Des recrues aux profils parfois spécialisés, titulaires d'un bac +5 et qui ne se dirigent pas spontanément vers l'armée. Le ministère, confronté à la concurrence du secteur privé, a donc décidé fin 2017 de faire appel à un cabinet de chasseur de têtes qui l'épaule dans ses recherches.