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Approche cognitivo-comportementale CTPP - Coggle Diagram

- - - - par ex.
        
        les conflits intra psychiques à la source des symptômes
        
        le processus de mensualisation et la représentation mentale
        
        la dynamique inconsciente pulsion/défense
        
        le fantasme et ses représentations conscientes
        
        le système conscient, préconscient et inconscient
    - - par ex.
        
        les processus cognitifs, y inclus la distorsion cognitive, qui servent à traiter l'information, à la comprendre et à l'interpréter, qui sont à la source notamment des pensées automatiques et des comportements, lesquels sont en interaction et en interrelation avec les cognitions, les sensations (ressentis) et les émotions
        
        les croyances fondamentales et les schémas cognitifs qui conditionnenent les pensées automatiques, les réactions émotionnelles, les sensations et les comportements qui sont à la source de la souffrance et qui la maintiennent
- - - - Ceux-ci affectent la façon dont la personne perçoit, interprète et réagit aux situations
  - - - Auto-observation (grille, outil maison)
        
        on fournit des outils pour que la personne s’observe elle-même.
      - L’analyse fonctionnelle du comportement
        
        permet d’identifier
        
        les causes du comportement (les facteurs déclencheurs)
        
        les fonctions du comportement (c’est quoi le besoin derrière le cpt. On va tenter dans notre intervention de remplacer le cpt inadéquat par un cpt adéquat avec la même fonction pour combler le besoin derrière ça.)
        
        les situations qui déclenchent ou maintiennent le comportement
        
        le niveau de base du cpt (mesure la fréquence, durée, intensité à plusieurs moments dans l’évaluation (contexte).)
        
        Exemple de grille
        
        situation
        
        pensées
        
        émotions
        
        comportements
        
        conséquences
        
        L’analyse fonctionnelle sert vraiment à l’évaluation. On veut savoir sur quelles variables on va porter notre intervention, sur lesquels on veut travailler.
      - Le tableau d’enregistrement des pensées dysfonctionnelles
  - - - Une pensée rationnelle conduit habituellement à une réduction des émotions dysfonctionnelles
      - Affects : état motif, comment je me sens, émotions qui sont présentes
      - Ce n’est pas banal comme principe d’intervention : une pensée rationnelle conduit habituellement à une réduction des émotions dysfonctionnelles = prémisse
    - - On va beaucoup expliquer, donner de l’info, guider à chaque étape, on va montrer comment faire (on enseigne, donne des devoirs) basé sur un modèle éducatif.
    - - Outil = le tableau d’enregistrement des pensées dysfonctionnelles
      - Démarche consistant à remplacer les pensées dysfonctionnelles par d’autres, plus fonctionnelles, c’est-à-dire plus réalistes et mieux adaptées
      - Il en résulte une diminution et ultimement une disparition des émotions dysfonctionnelles
      - Exemple de tableau d’enregistrement des pensées dysfonctionnelles
        
        situation
        
        Évènement ou situation ou fil des pensées
        
        émotions
        
        Nommer l’émotion et évaluer son intensité (0- 100)
        
        pensées automatiques
        
        Écrire spontanément les pensées automatiques et évaluer le niveau de croyance (0-100)
        
        pensées adaptatives
        
        Écrire les pensées adaptées et évaluer le niveau de croyance (0-100)
        
        résultat
        
        Réévaluer l’intensité de l’émotion (0-100)
      - Outil central dans les TCC de 2e vague.
      - Le but est d’évaluer les pensées dysfonctionnelles et de les remplacer par des pensées plus rationnelles, plus adaptées et réalistes.
- - - - L'évitement expérientiel
        
        amplification des expériences internes (pensées, émotions, sensations physiques) et réduction du répertoire comportementale (but en TCC 3e = l’élargir). Ce n’est pas des évitements de situation, on parle vraiment l’évitement de ses propres pensées, de ses émotions, des sensations physiques liés à ça.
      - La fusion cognitive
  - - - mêmes dimensions présentées dans le texte (nom parfois différent). C’est le modèle théorique sur lequel on s’appuie pour l’évaluation et l’intervention.
      - C’est un continuum de la rigide à la flexibilité psychologique.
      - Ex : à quel point la personne ses pensées sont dans le moment présent ou dans le passé.
    - - L’acceptation (S’ouvrir à l’expérience) (ouvrir à l’expérience, curieux de ce qui se passe à l’intérieur de moi, offrir un espace pour accueillir les pensées et émotions présentes.)
      - La défusion cognitive (Avoir du recul face à ses pensées) (je n’achète pas mes pensées, capable de voir que cette pensée-là est présente, mais je n’y adhère pas. Je ne fusionne pas avec mes pensées.)
      - Le soi comme contexte (Développer le soi observateur) (moi dans ce contexte-là, qui je ne suis comme personne. S’observer à travers les différents contextes pour ne pas se donner une étiquette d’inflexibilité. Ex : comme chargé de cours, elle n’est pas la même personne quand elle enseigne notre cours que quand elle supervise des stagiaires. Les caractéristiques mis de l’avant ne sont pas nécessairement les mêmes dans les 2 contextes. Différences entre interactions avec ses enfants d’avec ses collègues.)
      - Le contact avec le moment présent (Être ici et maintenant) (total la pleine conscience, ici et maintenant et que je suis capable de m’y ancrer.)
      - Les valeurs (Savoir ce qui compte) (savoir ce qui compte, important pour la personne. C’est ce qui va guider l’action engagée.)
      - L’action engagée (Faire ce qui compte vraiment) (la personne va décider de faire ce qui compte vraiment pour elle. Actions qui s’appuient sur les valeurs de la personne.)
      - Ce qu’on souhaite travailler sont les 6 dimensions du côté de la flexibilité psychologique.
  - - - savoir vers quel extrême elle se situe entre flexibilité et rigidité.
    - - auto-évaluation, elle remplit elle-même son questionnaire.
- - - - Surestimer le temps qu’il reste pour réaliser la tâche 1. « Il me reste 3 jours pour le faire. »
      - Sous-estimer le temps que cela prend pour compléter une tâche 2. « Petit travail à faire, ça va être court. »
      - Surestimer la motivation future 3. « Demain ça va me tenter, je serai motivée demain. »
      - Croire que nous devons « être d’humeur » pour débuter une tâche 4. « Je dois vraiment me sentir motivée pour commencer, je dois croire que ça me tente pour la commencer. »
      - Croire que travailler lorsque nous ne sommes pas d’humeur n’est pas efficace 5. « Je ne suis pas motivée, donc je ne serai pas productif. »