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Les lombalgies - Coggle Diagram

- - - - Âge > 55 ans
      - Corticothérapie prolongée
      - Immunosuppression
      - Toxicomanie intraveineuse
      - Perte de poids inexpliquée
      - Infection urinaire
      - Néoplasie
      - :Douleur non calmée par le repos
      - Traumatisme significatif
      - Fièvre
      - Ostéoporose
    - - éléments de la lignée des spondylarthrites
      - L’antécédent d’hypertension artérielle
      - antécédents de lombofessalgie inflammatoire
      - Les allergies médicamenteuses
      - l’ancienneté de la douleur
      - L’horaire des douleurs
        
        La lombalgie mécanique
        
        maximale en fin de journée, aggravée par les efforts, les
        changements de position, soulagée par le repos
        
        La lombalgie inflammatoire
        
        maximale en début de journée, réveille la nuit,
        nécessite un dérouillage matinal et est aggravée par le repos.
      - Le facteur déclenchant
        
        (port d’une charge lourde ? traumatisme ?)
      - Le mode de début
        
        progressif
        
        brutal
        
        origine discale
        ou d’une lésion des muscles paravertébraux
      - Le siège de la douleur
      - Des irradiations éventuelles
      - Les facteurs aggravant et calmant la douleur
      - L’intensité de la douleur
      - le retentissement personnel (loisirs, vie familiale), socioprofessionnel(arrêts de travail,
        perte d’un emploi)
  - - - l’examen de la marche pieds nus
      - la recherche d’un syndrome rachidien lombaire
        
        la mesure de l’indice de Schöber ,la distance doigts-sol
      - l’étude de la statique rachidienne
        
        Dans le
        plan frontal
        
        rechercher une courbure anormale (attitude
        scoliotique, gibbosité)
        
        Dans le plan sagittal
        
        mesurer la taille et la comparer à la taille à 20 ans, les distances occiput-fil, C7-fil et L3-fil => apprécier les courbures
        (lordose cervicale, cyphose dorsale, lordose lombaire).
      - l’étude des masses paravertébrales
      - La recherche d’une cassure
        à l’inflexion latérale
    - - déficit moteur/ défici sensitif
      - un syndrome de la queue-de-cheval ou du cône terminal
        
        L’examen périnéal
        
        toucher rectal
        
        réflexe à l’étirement passif
      - atteinte médullaire : un niveau sensitif, un syndrome pyramidal sous-jacent
- - - - • en cas de suspicion de lombalgie secondaire (red flags);
      - • plus de 7 semaines d’évolution ;
      - • avant un geste infiltratif ou avant une chirurgie ;
      - • en cas de signes de gravité neurologiques.
    - - rechercher la présence de liquide dans les articulations interapophysaires postérieurs en cas de poussées congestive d'arthrose
    - - discriminer les conflits radiculaires de nature osseuse ou discale
      - apprécier les dimensions du canal lombaire
- - - - tumeur localisée dans les corps vertébraux
        
        tumeur hématopoïétique, d’une métastase ou plus rarement d’une tumeur primitive
        osseuse, bénigne ou maligne
        
        La douleur est inflammatoire et
        s’accompagne d’une altération de l’état général.
        
        La douleur : inflammatoire et
        s’accompagne d’une altération de l’état général.
        
        L’examen général : orienté en fonction des cancers les plus ostéophiles et des antécédents personnels du patient
        
        La biologie : un syndrome inflammatoire,
        une hypercalcémie, un pic monoclonal à l’électrophorèse des protéines. L’imagerie recherche des signes de malignité
      - Une épidurite néoplasique
      - Des rhumatismes inflammatoires
      - Une infection rachidienne
        
        Fièvre+ altération de l’état général
        survient, le plus souvent, sur un terrain immunodéprimé
        
        peut siéger dans le disque
        intervertébral, réalisant une spondylodiscite
        
        syndrome inflammatoire biologique
        les hémocultures sont parfois positives
        
        A la radiographie : un pincement discal avec des irrégularités des plateaux vertébraux adjacents
        
        L’IRM : un signal
        inflammatoire du disque et des plateaux vertébraux parfois un abcès des parties molles ou une épidurite.
      - fracture vertébrale ostéoporotique
        
        douleur intense
        associée à une impotence fonctionnelle
        
        douleur élective à la palpation d’une épineuse et un syndrome
        rachidien
        
        L’examen neurologique : l’absence de
        signes de compression radiculaire ou médullaire
        
        La radiographie : une perte de hauteur vertébrale, qui peut aller jusqu’à l’affaissement en « galette »
        
        L’IRM : éliminer une lésion tumorale sous-jacente
  - - - ◦ pancréatite
      - ◦ tumeur du pancréas
    - - ◦ fissuration d’un anévrisme de l’aorte abdominale
        
        ◦ dissection aortique
        
        ◦ infarctus rénal
    - - ◦ hématome
        
        ◦ tumeur
        
        ◦ abcès
    - - ◦ pyélonéphrite aiguë
        
        ◦ colique néphrétique
        
        ◦ tumeur urologique
        
        ◦ adénopathies et/ou fibrose rétropéritonéale