La quatrième strophe s’ouvre elle aussi sur une interrogation du vers 23 met en évidence la perte d’identité et la déshumanisation des hommes, d’abord réduits à des têtes indistinctes puis assimilés à un matériau, des agglomérés humains. Les activités humaines sont aussi vides de sens, sans objet, sans but : l’expression vont et viennent évoque des actions répétitives. Le vers 25, particulièrement court, suggère que l’homme se trouve sur le bateau face à lui-même, face à sa condition misérable, son bilan mortel, auquel, malgré les distractions et les prouesses de la modernité, il ne pourra échapper.