Please enable JavaScript.
Coggle requires JavaScript to display documents.
"Le pont Mirabeau" Guillaume Apollinaire (Un poème lyrique…
"Le pont Mirabeau" Guillaume Apollinaire
Un poème lyrique
la musicalité
refrain redoublé par les echos
Assonance en (à) et en (on) S.2
Allitération de consonne liquide en (L) S.3
Inversion des sonorités V.15 et V.16 , renforcé par la diérèse vi/o/lente
pas de ponctuation
grande fluidité musicale du poème (rime féminine, balancement rythmique à chaque strophe)
Apollinaire donne vie à cette image traditionnelle de l'eau
Expression du temps qui passe
l'eau qui coule représente dans l'espace le temps qu'on ne peux pas remonter
héritage de la philosophie grecque
le temps "coule" comme "la Seine" il "passe", il "s'en va"
verbe passer répété plusieurs fois
écoulement souligné par une répétition et énumération des V.19,20 renforcé par le refrain
lenteur V.15
continuité sans interruption V.20,21
l'onde (= l'eau) passe: personnification de l'onde
anaphore de "ni"
mise en valeur
Des images antithétiques
Thème dominant de la fuite du temps
Comparaison V.13
le chagrin des "amours mortes"
fluidifie le temps écoué V.2,3
registre du soupir triste sans agressivité (V.4 évoque même les moments heureux)
omniprésence du présent
installe un hors temps
métaphore du pont des bras
antithèse entre l'éternité et le passage du temps et de l'eau
rime suggère phonétiquement la lassitude et l'enlacement des bras
Trace éternelle du poème du poème à travers l'antithèse
pont fixe/ mouvement fluide de la Seine
le poète par sa poésie donne une trace éternelle à sa vie
temps semble éternel: ennui-> sentiment de "demeurer" en vie de "survivre" "aux amours mortes"
la santé l'emporte sur la mélancolie morbide "espérance violente"
création poétique: joie d'éternité
originalité/ modernité du poème
métaphore du "pont Mirabeau": détail architectural peu poétique en la métaphore du "pont de nos bras" V.9
en poésie dire c'est faire: aucun lecteur ne pourra traverser ce pont sans penser a se face à face éternel entre le poète et Marie
Pas de point final
poème suspendu dans le temps