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Carcinome buccaux
Formes particulières (Carcinome verruqueux (Siège (dans…
-
Autrefois appelé : papilomatose orale floride
- Traitement
- exérèse + controle
- pas de curage
-> évite ttt rx
- langue ( face dorsale, muqueuse pelvilinguale)
- muqueuse jugale
- vestibule inf ou parfois sup ( chiqueurs de tabac)
- gencives et palais
- plancher buccal, voile et lèvres
- pharynx, larynx, fosses nasales
- oesophage
- vulve, anus
- peau
- tumeur papillomateuse exophystique
- ± kératinisé (aspect verruqueux) mais parfois les papilles sont ± érythémateuses
- limites nettes, avec encastrement sous la muqueuse voisines quel tend à repousser plutôt qu’à détruire ( pushing limit) -> bas grade, bon pronostic
- muqueuse voisine anormale ± kératosique
- absence de métastases ganglionnaire
*
- Si pas de métastases -> peut être traité par exérèse
- Mais sinon on laisse le CV pendant longtemps -> apparition de foyers épidermoides classique qui eux vont donner des métastase -> pronostic de carcinome habituel
- Quand on passe le doigt -> comme la langue d’un chat ( du au projection papillaire exophytiques)*
- (FAUX) aspect d’hyperplsie épithéliale avec des projections papillaires exophytique +/_ kératinisées, à sommet point ou arrondi
- Alternant avec des massifs épithéliaux creusés d’une crypte à contenu de kératine qui pénètrent dans le chorion sans atteindre le muscle
- L’assis basale est pseudo- ou pluri- stratifiée et présente des mitoses ( normales) et des atypies cellulaire modérées ( hyperplasie basale/parab)
- Le front d’invasion ( ligne tangente à l’extrémité inf des massif) est ~ rectiligne
- Le stroma comporte un dense infiltrat lympho-plasmocytaire
- Initialement décrit à la plante du pied
- Au début, c’est une lésion minime qui passe souvent inaperçu
- voisine de celle d’un CV inversé
- Mais la tumeur est d’emblée invasive
- elle envahit le chorion et les tissus sous-jacents sous forme de cordons et de galeries en « terrier de lapin »
- souvent révélée par de manifestations inflammatoires avec possibilités de fistules multiples
- gencive sup et maxillaire
- gencive inf et mandibule
- langue
- En surface :
- épithélium focalisent hyperplasique
- En profondeur ( chorion, sous-muqueuse, muscle) :
- prolifération épithéliale ordonnée en cordons et lobules creusée de cavités interconnectées, contenant ± de kératine
- l’épithélium dépourvu d’atypie le stroma inflammatoire sont semblable à ceux d’un CV
- Rare type de CE
- Peu différencié
- Sujets âgés, souvent alcools-tabagiques
- Sièges
- langue ( base)
- plancher
- pharynx
- larynx trachée
- Prolifération de cellules basaloïdes avec mitoses nombreuses, groupés en lobules avec parfois nécrose centrale, stroma ± yalinisé
- rechercher la présence d’îlots de différenciation épidermoïde
- Haut grade de malignité : métastases ganglionnaire rapides, parfois à distance
- DD
- forme basale du carcinome adénoïde kystique
- adénocarcinome salivaire à cellules basales
- Synonymes
- carcinome indifférencié de type naso-pharyngée ( rhino-pharyngé)
- UCNT : undifferentiated carcinoma nasopharyngeal type
- Lympho-épithéliome ( à éviter, risque de confusion avec lymphome)
- Tumeur constitué d'amas de cellules d'aspect syncytial indifférencié au sein d'un stromae lymphoïde
- Le carcinome lympho-épithélial est lié à une infection par l’EBV
- Chine du Sud
- Asie du Sud-Est
- Afrique du Nord
- Pourtour Méditerranéen
-
- atteint adulte jeunes mais aussi enfant
- H > F
- prédisposition génétique
- siège le + souvent dans le cavum
ou elle peut atteindre une grand dvpt avant de se révéler par des signes de compression ( trompe d’Eustache)
- autre sièges possibles
- oropharynx
- base de la langue
- fosse nasale
- sinus
- sont révélatrice dans la plupart des cas, et imposent l’exploration et biopsie du cavum même en cas de tumeur parotidienne apparemment primitive
- amas de cellules indifférencié, parfois indépendantes, souvent agglomérées en masse d’aspect synctial ( limites cellulaire indistinctes)
- noyau claire avec gros nucléole central
- anisonucléose et activité mitotique
- stroma limphoïde dense
- cellules tumorales : CK (+), ACL (-)
- Stroma lymphoide : CK (-), ACL (+)
- chimiothérapie et/ou radiothérapie
- rare tumeur papillomateuse
- érythémateuse ou blanchâtre
- oropharynx surtout
- projections papillaire exophytiques dont le revêtement épithélial est constitué par un carcinome in situ ou micro-invasif
- récidives après exérèse
- métastase ganglionnaire ( ont le type d’un CE habituel)
- assez rare
- sujet âgé
- prédominance H
- représente parfois la récidive ultime d’un CE habituel surtout après irradiation
-
- très rare forme de CE
- développée à la partie orificielle du canal excréteur d’une glande salivaire accessoire
- cavité buccale
- plancher buccale
- langue
- palais
- cavités ORL
- pharyngo-larynx
- fosses nasale , sinus
- carcinome très agressif
- extension perinerveuse fréquente
- métastases rapides
- à la partie superficielle
- parfois réduit à un carcinome in situ
- en profondeur
- avec tubes et/ou de mucosécrétion
- Interface entre épithélium tumoral et stroma forme une courbe régulière sans aspects bourgeonnants
- L’hyperplasie basale/parabasale reste fine, le nbr d’assises est réduit ( ~ 1 à 3)
- A ce niveau, les mitoses sont normales et les atypies cellulaire modérées
- interface lisse, régulière
- Interface entre l’épithélium tumoral et le stroma forme une ligne irrégulière (festonnée, hérissée de petits bourgeons de cellules basaloïdes)
- L’hyperplasie basale/parabasale est épaisse, le nbr d’assise est élevé ( + 3)
- A ce niveau, les mitoses sont parfois atypiques et les atypies cellulaire + marquées
- Dans une zone limité, à la partie profonde d’un CV de grade 2, présence de fines travées ou de cellules tumorales isolées ( soit type basaloïdes soit présentant un aspect voisin de celui d’un CE habituel) avec cellules dyskératosique ou globes cornés
- La tumeur est surtout endophytique , très peu saillante, marquée histologiquement par un allongement des crêtes interpapillaire entre des papilles à sommet plat ou arrondi
- La différence est surtout de l’ordre clinique
- Le CV est une variété de CE extrêmement différenciées à « malignité locale » qui récidive souvent après exérèse, mais de donne pratiquement jamais de métastase, d’où le traitement classique -> large excision (non suivie de curage ganglionnaire)
- Si le CV est négligé, ou s’il a plusieurs fois récidivé, il peut donner naissance par mutation à un clone tumoral - différencié = se transforme en CE de type habituel. Ce phénomène peut être fortuit, ou parfois provoqué par RXT, d’ou la règle ancienne de ne jamais irradier un CV( qui est aujourd’hui contestée en cas de tumeur très étendue et devenue inopérable )