En revanche, le dispositif sur la diffamation prévoyait, jusqu'en 2013, des peines de prison pour les journalistes. Après la condamnation de trois journalistes, il y a deux ans, à de l'emprisonnement ferme, l'Ordre des journalistes et plusieurs associations de défense de la liberté de presse ont obtenu le remplacement, dans la loi, des peines de prison par des amendes pouvant aller jusqu'à 50.000 euros et l'interdiction d'exercer la profession sur une période d'un à six mois.