logique de déplacement respectée, logique d’usage compromise et impacte l’objet de l’activité
dimension sociale avec les autres étudiants accentuant le sentiment d’être à la marge : espaces de « liminalité » : « ni en dehors de la société, ni tout à fait à l’intérieur »
corps comme ressource (prise de notes) mais n’a pas tout à fait la même valeur fonctionnelle
mobilisation d’une ressource humaine et technique (support numérique du cours) : réponses très aléatoires
l’activité « empêchée » à de multiples égards
lors de « l’année du handicap 2008-2009 » à l’Université Paris 8 plusieurs témoignages et observations de cette nature été recueillis rendre compte de l’accessibilité de l’université dans l’usage : accessibilité effective
démarche ergonomique, ancrée dans l’activité, visait à enrichir un diagnostic d’accessibilité, mené par une société spécialisée en matière d’accessibilité (méthode inspirée des démarches de type « Assurance Qualité ou Sécurité » (accessibilité formelle, normative))
cartographie des lieux : détecter les points critiques d’inacessibilité en vue de calculer dans un progiciel un indice d’accessibilité des lieux entre 0% et 100%
rattachée à l’analyse de l’activité (déterminants et effets)
ex. étudiant en fauteuil manuel, difficulté en fin de journée, pour franchir la rampe d’accès (appel à un autre étudiant) car trop raide bien qu’elle soit aux normes en vigueur, compte tenu de sa fatigue liée aux multiples déplacements dans l’université : dans l’absolu, il est censé la franchir seul
perspective diachronique : dimension temporelle : utile pour comprendre l’accessibilité effective