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Motivation & besoins physiologiques (Différents courants théoriques…
Motivation & besoins physiologiques
Motivation
:Champ d'étude qui s'interesse aux
causes du comportement
ainsi qu'à la
variation de l'intensité du comportement
Mesure de la motivation
Comportements
Changements physiologiques
L'effort
La latence
La persistance
Le choix
Probabilité de réponse
Questionnaire autorapporté
Définition de la motivation
:
Langage courant
: Réfère au dynamisme ou à la vitalité qui accompagne un comportement
Langage scientifique
: Ensemble des forces qui déclenchent le comportement ou les changements de comportements apparaissant chez un individu
Comportement
: signifie les actions concrètes effectuées, mais elle englobe aussi
tous les processus de pensées qui se mettent en branle chez un indv. après un stimulus
.
À l'observation d'un comportement, on suppose un minimum de motivation.
Toutefois, absence de comportement ≠ absence de motivation
La motivation nécessite la
mobilisation d'une certaine dose
d'énergie. Sert également à combler de besoins:
Besoins physiques
besoins psychologiques
Besoin sociaux
Un concept complexe et variable
:
≠ Mesure direct de la motivation
≠ Modèle de prédiction fixe
Différents courants théoriques
Instincts
Darwin:
Nos instinct sont mécaniques et automatiques
Biologiquement déterminé
Vise la survie par l'adaptation
≠ exclusif aux êtres humains
James
:
Humains = dotés de plusieurs instinct
physiques
(succion, mouvement) et
mentaux
Instinct = comportement dirigé vers un but selon un stimulus approprié (ex: l'instinct de fuir)
Réflexe innés et hérités
Les 17 instinct selon James: Imitation, rivalité, agression, sympathie, chasse, propreté, jalousie, secret, sociabilité, curiosité, jeu, amour, etc
Théorie des pulsions
Freud:
Tout comportement est motivté dans le but de
satisfaire nos besoins
Les envies produisent des montées d'énergie (libido) et nous tentons de maintenir le même niveau d'énergie (d'ouù l'apparition de pulsions biologiques)
Une montée d'énergie créer un inconfort psychologique, la pulsions apparait donc afin d'agir sur nos niveaux d'énergie
Modèle hydraulique de l'énergie psychique
:
Source de pulsion -> Manque à l'organisme
Impulsion de la pulsion -> Intensité de l'inconfort
Objet de la pulsion -> Objet capable de satisfaire l'organisme
Objectif de la pulsion -> Satisfaction du besoin
Hull
La pulsion est une source d'énergie communi composée par tous les manques corporels de l'organisme
La pulsion est prédictible a priori (sEr = sHr
P
K)
P= Pulsion; H = habitude, incitatif externe (?)
Volonté
Descartes:
Lien avec le libre-arbitre
Initie et oriente l'action
La volonté est une capacité propre à l'homme
Minithéories
Théorie de la motivation à l'accomplissement (Atkinson, 1964)
Théorie attributionnelle (Weiner, 1972)
Théorie de la fixation de buts (Locke, 1968)
Théorie de l'auto-efficacité (Bandura, 1977)
Théorie de l'autodétermination (Deci & Ryan, 1985)
Besoins physiologiques
:
Nécessaire à la survie et bien-être
Lorsque ≠ comblées = dommages physique et/ou psychologique
La motivation entre donc en jeu afin de rectifier cet état
en donnant l'impulsion à l'organisme de combler son besoin
Modèle de la séquence Besoin - Pulsion
État de satiété
Début de privation physique
Privation prolongée produit un besoin
Intensification du besoin. Naissance de la pulsion
Comportement motivé
Consommation
Diminution de la pulsion
Faim
Processus quotidien (déplétion - réplétion)
Processus à long terme (régulation métabolique - cellules graisseuses)
Influence sociale et environnementale (publicités de Mcdo)
Hypothèse glucostatique
: En fonction avec le niveau de
glucose
Hypothèse lipostatique
: En fonction du maintien de l'équilibre des
tissus adipeux
Sécrétion de
Ghréline
afin de soutenir le
gain de poid
Sécrétion de la
Leptine
afin de
réduire la prise de nourriture
Sommeil
:
1/3 de notre vie.
≠ diminution de l'activité cérébrale
= État physiologique composé par une succession de stade de vigilance qui est essentiel à notre fonctionnement quotidien
En moyenne, adultes = 8h de sommeil
Adolescent = 8.5 - 9.5h de sommeil. Endormissement optimal = 11h pm, réveil 8h pm.
Pourquoi dormir?
Impacts sur l'équilibre physiologique (hypophyse se régule selon nos cycles circadiens
Impact sur nos processus cognitifs (mémorisation/atttention)
impact sur notre régulation émotionnelle
Mesure de l'activité neurologique
Électroencéphalogramme. Ayant permi d'identifier les différents stades de
sommeil et de conscience
Les stades du sommeil
N1 (5 à 10%) Stade d'endormissement
N2 (50%) Sommeil Léger
N3 (20-25%) Sommeil profond
Paradoxale (20-25%) Stade d'activation cérébrale intense
Pression homéostasique au cycle de veille-sommeil
: Plus tu es éveillé depuis longtemps, plus le besoin de dormir va se faire ressentir (et vice-versa)
Le chronotype
: Notre phase de sommeil et nos préférence pour être actif (il y a des làve-tôt et des oiseaux de nuit)
Les rythmes circadiens
+Tous les cycles biologiques = env. 24h
La sécrétion de mélatonine/cortisol = dépendant de notre horloge interne
D'autres rythmes sont plutôt synchro avec les cycles du sommeil
Ils sont flexibles et ajustables selon les indices externes de l'environnement (ex: lumière du soleil, repas, température, réveil- matin)
Horloge interne
:
Localisé dans l'hypothalamus au niveau du noyau suprachiasmatique. Synchronisée selon les cycles de luminosité (décalage horaire)
Utilisation d'appareils électroniques
: Retarde d'env. 1h la phase d'endormissement (inhibe la sécrétion de mélatonine) surtout si dans la chambre
Caféine
Peut perturber le sommeil et l'endormissement
Absorption rapide : concentration plasmatique entre 30-75 minutes après l'ingestion
Demi-vie est estimée à 3-7h
Améliore la performance en favorisant un état d'éveil
Caféine 30min av. se coucher = Diminue heures de sommeil, diminue le % de N3 et N4, augmente la latence d'endormissement
Insomnie
Peut être transitoire ou chronique (ex. fin de session)
différents traitements: Pharmacologique (somnifère, mélatonine), Thérapie cognitivo-comportementale
Conséquences cognitives
Mémoire de travail
Mémoire épisodique
Résolution d eproblème
Insomnie = associée avec un déficit du cortex préfrontal
Soif
Corps = 2/3 d'eau. Fatal après 3 jours sans
L'eau est contenu au niveau
Intracellulaire
(soif osmométrique) et
Extracellulaire
(soif volumétrique). La soif est OSMOMÉTRIQUE
% des pertes du stock hydrique
2%: Soif
3%: Stade de déshydratation
5%: Symptômes associés avec une déshydratation dangereuse
7%: Perte de conscience
11%: Décès
La satiété de la soif
L'hypothalamus gère les signaux d'alarme lorsque les niveau hydrominéraux sont faibles. (Message au foie, donc l'urine devient plus concentrée)
Sexualité
Privation ≠ menace à la survie
Nécessaire à la survie
Physiologique, mais psychologie aussi
Comportement sexuel lors de l'ovulation de la femme
influencés par : Oestrogène, testostérone
Principe évolutionniste de la sexualité
Vise reproduction
Homme = motivations sexuelle plus à court terme
Femme = valorise signes de ressource, statut social et la puissance
Réponse sexuelle
Vascocongestion(Pénis)
Myotonie augm. tension musculaire
Mesure de réponse sexuelle: chez les 2, caméra infrarouge thermique
Phases
L'excitation
Le plateau (niveau d'excitation constant)
Orgasme (la plus courte)
Résolution (fin des réactions physiologique)
Période réfractaire (homme ≠ réceptif aux stimuli sexuels)
Orgasme
90% des hommes vs 50% femmes (sensation subjective)
Femmes = désir sexuel, estime se soi, ouverture, communication et importance de l'orgasme
La théorie du rythme
Orgasme = stimulation rythmée/synchro
Hormones
Liébéré par hypophyse (Gld. pinéale)
Ocytocine = associé à la sexualité (attachement social)
Kissspeptin = activation du systeme reproducteur (dans hypothalamus et systm. limbique) l'hormone augmente l'activité cérébrale dans la région limbique.
Désir chez l'homme
Corrélation excitation/désir sexuel
Femme ≠ corréltion excitation et désir sexuel
Sélection d'un partenaire