SYNTHÈSE
La déficience intellectuelle se définit par un QI significativement inférieur types à la moyenne (moins de 70) et des difficultés d’adaptation et d’autonomie dans les tâches quotidiennes. Outre des limitations dans leurs capacités d’abstraction et de conceptualisation, les enfants touchés par ce problème peuvent présenter une faible tolérance à la frustration et une labilité de l’humeur. On estime à 3% la prévalence de cette condition. Dans 30% à 40% des cas, l’étiologie reste inconnue, mais généralement, dans les cas les plus graves, des facteurs organiques sont en cause. Parmi les troubles de la communication, on distingue le trouble phonologique, le bégaiement, le trouble de langage de type expressif et le trouble du langage de type réceptif-expressif. Les troubles des apprentissages renvoient à un retard dans les
acquisitions scolaires inattendu au vu du potentiel intellectuel de l’enfant. Dans l’étiologie des troubles de la communication ou des apprentissages, on invoque l’implication de facteurs neurologiques et peut-être même génétiques. Des carences graves peuvent aussi affecter le développement cognitif de l’enfant.