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La communication non-violente (La communication non-violente focalise…
La communication non-violente
La communication qui coupe de la vie.
Le
déni de responsabilité
implique que l'autre n'est pas responsable de ses pensées, sentiments ou actions. Les mots "devoir" ou "falloir" dans des phrases comme "Il y a des chose que tu dois faire, qu'elles te plaisent u non".
A de vagues forces impersonnelles : "j'ai rangé ma chambre parce qu'il fallait que ce soit fait".
A nos antécédents psychologiques ou notre état : "je bois parce que je suis alcoolique".
Les actions des autres : "j'ai frappé mon enfant parce qu'il a traversé la rue en courant".
Aux diktats d'une autorité : "j'ai menti au client parce que le patron m'a dit de le faire".
A la pression du groupe : "Je me suis mis à fumer pace que tous les autres fumaient".
A une politique institutionnelle, des lois ou des règlements : "Je mets des notes à mes élèves parce que c'est la politique de la FWB".
Au rôle attribué à un sexe, à un âge ou à une catégorie sociale : "Je déteste aller au travail mais j'y vais parce que je suis marié et père de famille".
A des pulsions incontrôlables : "j'ai mangé des chocolats parce que c'était plus fort que moi".
Les
exigences
font planer implicitement ou explicitement la menace d'une sanction ou d'une punition.
La
critique
implique que l'autre a tort : "ton problème , c'est que tu es égoïste". Ce type de critique comprend des insultes, des reproches, des dénigrements, des jugements.
La communication non-violente focalise notre attention sur 4 points.
Ce que je demande pour me rendre la vie plus belle.
Le langage positif d'action concrète.
Exprimer ce que nous voulons plutôt que ce que nous voulons pas.
Exprimer des propositions précises et concrètes.
Formuler des propositions sans exigence. La CNV est un processus qui consiste à entretenir des relation bienveillantes, elle ne cherche pas à convaincre pour obtenir quelque chose de l'autre.
Si nous interprétons un non-acquiescement comme un rejet, plus nos demandes ultérieures risquent d'être accueillis comme des exigences. Résultat : les autres apprécient moins notre compagnie.
Ce qui se passe en l'autre.
Ce qui se passe en moi, ce que j'observe
Exprimer mes sentiments.
Participation intellectuelle (je suis intéressé, je suis perplexe).
Degré de satisfaction ou d'insatisfaction des besoins (je suis heureux, je suis joyeux).
Confort ou inconfort physique (j'ai faim, j'ai froid).
Exprimer mes besoins.
Il s'agit de formuler nos besoins sans attribuer aux autres la responsabilité de nos sentiments : "lorsque je trouve l'évier plein de vaisselle sale, je me sens agacé parce que j'ai besoin d'ordre et de propreté autour de moi".
Bien-être physique
(abri, air, contact, nourriture, repos...).
Communion spirituelle
(beauté, harmonie, inspiration, ordre, paix).
Autonomie
(choisir ses rêves, ses buts, ses valeurs et les moyens pour le faire).
Epanouissement
(authenticité, créativité, intégrité, sens).
Interdépendance
(acceptation, amour, chaleur, confiance, chaleur, empathie, proximité, considération...).
Eviter de mêler des évaluations et des jugements à la description des faits.
Le sujet confond prédiction et certitude. "Si tu manges pas bien, tu auras des problèmes de santé".
Le sujet manque de précision quant au lieu, à la personne. "Les immigrés n'entretiennent pas leur logement".
Le sujet emploie des verbes qui contiennent une connotation d'évaluation. "Paul traîne pour faire son travail".
Le sujet emploi des termes dénotant aptitude ou inaptitude à agir sans indiquer qu'il fait une évaluation. "Dupont est un mauvais joueur de foot".
Le sujet emploie le verbe "être" sans préciser qu'il a conscience d'évaluer. "Tu es trop généreux".
Le sujet emploie des adjectifs et/ou adverbes sans signifier qu'il procède à une évaluation. "Jacques est laid".
Ce que l'autre demande pour se rendre la vie plus belle.