4 LA MONNAIE ET LE CRÉDIT

1) Les fonctions de la monnaie

2) Les formes de la monnaie

m. fiduciaire légale

m. scripturale

3) Les agrégats monétaires

= H (base monétaire = m. de la BC) & M (masse monétaire)

approche par les bilans monétaires

3 fonctions

qualités exigées (monnaie)

= paiement en échange de B&S

moyen d'échange

unité de mesure et de comptage

réserve de valeur

troc : double coïncidences des besoins

étalon : permet d'exprimer les P des B&S de manière unique

transférer le PA dans le temps

durabilité

divisibilité

acceptabilité pour tous

facilité de transport

difficulté de contrefaçon

évolution vers les formes modernes de la monnaie

monnaie-marchandise

naissance de la monnaie fiduciaire légale

recherche d'un plus grande efficacité = fonction à moindre coût

naissance de la monnaie scripturale

B matériel (valeur propre)

valeur intrasèque

or ne sortait que rarement = fructifier contre intérêt = émission de reçus

valeur des reçus > valeur des lingots d'or

repose sur la confiance en la capacité à rembourser

m. scripturale contourne avec des simple écriture comptable

currency principle = trop rigide sur la durée car ↑monnaie nécessaire dû à ↑ économie réel nécessite ↑ or

m. fiduciaire légale ne quitte pas les bg donc peut servir à des crédits bancaires

reçu = moyen de payement

reçu des orfèvre en échange de leurs dépôts

papier- monnaie 1024 Chine

bilan = situation économique d'un agent éco. à un moment donné

3 groupes intervenant

H

contrôle direct de la BC

composée du passif de la BC

M

M2 = M au sens large

M1 = M au sens strict

M3 = au sens très larges

relation directe entre la H et M

émise par les autorités monétaires de chaque pays

monnaie tangible

monnaie divisionnaire (=pièces métalliques)

billets de banque

cours légale = acceptée à sa valeur faciale (en règlement d'une dette)

monnaie intangible

= dépôts à vue auprès du système bancaire

= simple écriture comptable

certains pays : aussi comptes courant postaux

circulation : chèques & ordres de paiement

transformable en tous moment = liquide

déports d'épargne car les titulaires peuvent faire des retraits limites

quasi-monnaie ( =dépôts à terme) = dépôts bancaires qui ne peuvent pas être transformés

m. plastique ≠ m. (= chèques & ordres de payement & cartes de crédit

2 inconvénients

loi de Gresham

coût d'opportunité élevé

histoire liée aux banques 16-17 siècles

tentation création monétaire excessive = faillite

état intervient = garantissant les dépôts & contrôlant l'émission de la monnaie

création d' une seule banque : BC

2 écoles

currency principle

banking principle

Ricardo

émission couverte par les encaissements métalliques

BC ≠ Bq (= banque commerciale)

partiellement couverte par les encaissements métalliques

caractère étatique rassure

m. fiduciaire légale rôle m. s = or rôle m. fiduciaire légale

intervention de l'état = BC

BC 2 rôles

institut d'émission (émission des billets)

banque des banques

contrôle des activités des banques commerciales

réserves de liquidité : comptes de virement

émission de monnaie scripturale

bq (= banques commerciales)

BC

secteur non-bancaire (ménages, entreprises,..)

CV (=comptes de virement)

N (= numéraire en circulation )

H = N +CV

M = ensemble des moyens de payement +/- liquide à disposition des agents non-bq à un moment donné

immédiatement disponible

rapidement mobilisable

toutes les liquidités effectives & potentielles

M2 = M1 + DE

M3 = M2 + DT

M1 =Np + DV

Suisse M2 inférieure à 4 ans

ratio de réserves obligatoires : p = CV/DV

M multiple de H

2 hypothèses

DV seul type de dépôt bq

bq : Nb = 0 donc Np=N

H = N +CV(compte de virement)

M1 = N + DV (dépôts à vue)

ratio de préférence du public pour le numéraire v = N/(N + DV)

CV = pDV

N = v / (1-v) x DV

M1 = 1/ (1-(1-p)(1-v)) x H

coefficient > 1 car p & v sont < 1

pour H donnée M d'autant plus élevée

H = monnaie à forte puissance

v faible

p faible

si p & v sont stable dans le temps : BC peut contrôler H on contrôlant H