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Chapitre 2 : Les raisons de l’engagement Comment on explique un…

- - - - Le risque que j’ai en me taisant est important ! Alors que si je le dénonce je suis sûr de gagner ou au pire me prendre 5 ans.
        
        Est-ce qu’il faut mieux être complice en prenant le risque d’être le dindon de la farce ? N’est-il pas mieux de se la jouer personne pour éviter les 10 ans d’emprisonnement ?
        
        De fait chacun à son î de dénoncer l’autre. On est ds un modèle qui présuppose les individus égoïste plutôt en sitt° de concurrence plutôt qu’en sitt° de coopération.
  - - - Olson ds son ouvrage, cherche à remettre en cause « cette croyance courante qui veut des grp de persn ayant des î communs tendent à les défendre ».
        
        Un peu une réponse à Ted Gurre, il dit que le mécontentement ne peut suffire à la révolte = des gens qui peuvent avoir des bonnes raisons et moyens de se révolter mais pourtant qu’ils ne le font pas.
      - Pq ce paradoxe ?
        
        Olson propose une explication qui va reposer sur une distinction entre act° individuelle et act° collective = qu’il dit que individuellement je peux avoir î à me mobiliser, mais c’est pas pour autant qu’il va y avoir une mobilisation collective, une révolte…
      - Il va s’intéresser collectivement à un type de mobilisation collective = grp d’î collective ou des syndicats salariés = Grp qui ont pour but de défendre des î communs
      - Il va faire un // avec le monde écmq et il dit que ses org° sont cô des entreprises qui fournissent des biens ⇒ des biens collectifs = des biens accessibles à tt le monde (lumières qui éclaire la nuit, on ne peut pas privatiser l’ecm dans la rue).
      - Lorsque syndicat défend l’augmentation des salaires = défend une cause commune. Donc qd une grève des salariés pour des augmentation est un succès tous les salariés d’une boîte vont en bénéficier, qu’ils soient syndicat ou non, qu’ils aient fait grève ou non. Tout le monde à donc droit qu’ils ont supporter le risque ou pas.
      - Il utilise ce modèle par l’expression des passagers clandestins => se sont les individus qui attendent de bénéficier du bien collectif sans en assumer le coup. Tentation du ticket gratuit de pouvoir de l’amélioration, du résultat de la mobi° sans effort nécessaire à cette mobi°.
      - Le petits sont moins exposés au passager clandestin, car ds les grp de tailles restreintes tout le monde se connaît et on pt facilement contrôler la mobilisation. La défection (défaillir, ne plus adhérer) est plus difficile, se remarque plus facilement.
    - - Exp° : les I vont payer le coût à l’act° collective si ce coup est comblé par un avantage plus grd ou par la menace d’un coup encore plus grd. On gros si me mobiliser ça me coût 10 mais qu’en me mobilisant me rapporte plus de 10, autant me mobiliser. De même que si me mobiliser me fait perdre, alors je vais me mobiliser.
        
        Avantage sup = agir.
      - Ces coût ou bénéfice personnels Olson les appelle des incitation sélectives. Il y aura une act° collective, s’il y a une incitation qui permet d’aller à l’encontre, de l’î individuel, ou qui va réussir à compenser l’î individuel à ne pas agir collectivement
      - Il va faire la distinction entre les incitations sélectives positive et négatives. Ex : un syndicat peut inciter des I à adhérer en leur fournissant des avantages.
        => Positive : Des avantages au coup de la participation.
        => Négative : Il existe aussi des participations négatives, c’est-à-dire qui vt représenter un coup sup au coup lier à la participation à la mob° ou au grp.
      - Si on ne se mobilise pas on va payer le coup symbolique de la mise à l’écart.
        
        Ces incitation + et – vont permettre la mob°.
        Il ne va pas être dans une analyse morale. C’est un modèle qui postule une forme d’individualisme.