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Fragment 141, Feuillet d’Hypnos, René Char (René Char (1 des plus grands…
Fragment 141, Feuillet d’Hypnos, René Char
I/ Eloge de la nature, la première contre-terreur
A/ La nature, symbole de vie
- comparaison hyperbolique « comme un essaim » : beaucoup d’animaux donc du bruit et de la vie
- métaphore hyperbolique « mille traits » : de nombreux animaux qui font du bruit et qui représentent la vie
- allitération en [S] « fugace bruissement essaim » : représente le bruit des animaux
T: La nature, pleine de vie est un refuge pour RC et lui permet d'oublier la violence
B/ Une nature protectrice, un lieu de refuge
- Métaphore « écorce tendre de la nuit » : la nuit les protège
- Vocabulaire douceur « bruissement/ouatées/tendre » : Ils se sentent à l'abri dans la nuit qui leur est agréable
- métaphore paradoxale « incendie […] qui ne sera jamais un incendie » : les éléments naturels ne sont pas violents contrairement à la guerre
- vocabulaire de la protection « vallon/bouillard/écorce/ombre » : nature les entoure, les protège et leur sert de refuge
T: La nature n'est pas la seule contre-terreur, la poésie a aussi ce pouvoir-là
II/ Le pouvoir de la poésie, autre contre-terreur
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Introduction
2nde GM, par grandeur mais aussi lot d’horreurs, a inspiré de nmbrx poètes français pour ec oeuvres engagées. RC fait partis des rares qui ont pris armes en + de prendre plume. Résiste dans S-E France pseudo Cap Alexandre. Il écrit, ss frm de fragments recueil FHy pdt la guerre et le publiera en 1946. Dans le fragment 141 Char raconte comment il parvient à oublier la guerre grâce à ce qu’il appelle les contre-terreurs.
Nous nous demanderons donc … Pour cela nous verrons… puis …
René Char
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attirance pour la marginalité/ fréquente les "matinaux", vagabonds vivant au rythme des saisons.
Écrit pdt la guerre mais ne publie rien car il ne considère pas ses écrits comme une arme suffisante et préfère combattre
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En 1954, Camus estime qu'il est "le plus grand poète vivant".
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