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Anthropologie (Kardiner (Principes d'application de la psychodynamique…

- - - - Cela se voit dans les traits psychologiques qui sont généralisés dans la population. Les individus n'atteignent pas l'unité et ne se développe pas comme il faut affectivement ce qui peut entraver l'adaptation
- - - - Tout est matière à échange. les choses ne sont jamais détachés de leur échangistes, elles servent à établir des relations, alliances communions. Le symbole de l'échange démontre la manière dont les sous-groupes sont imbriqués les unes dans les autres // permet l'unité et stabilité du groupe sentent qu'ils se doivent tout
        
        L'obligation n'est pas sous forme de loi. Elle est implicite
        
        Les objets sont reliés spirituellement aux donneurs et receveurs. on ne donne pas seulement un objet mais aussi une part de soi-même. Permet de créer des liens sociaux.
        Permet de d'établir un rapport de domination, car obligation de redonner (dette).
        Permet de se donner une identité, un statut. l'autre devient l'obligé.
        
        S'il y a refus, c'est une destruction du rapport social. Il y a perte de la face (identité, statut)
      - Le don entraine nécessairement la notion de crédit. c'est la base édifiante du troc (p. 199), de la vente et du prêt
        Critique du de l'économie de marché et de la rationalité économique qui perd sa normalité, qui est aussi une construction sociale.
        Don en marketing pour que le consommateur se sente redevable
      - Le potlatch est une phénomène total: religieux, mythologique, shamanistique (les chefs s'y engagent et incarnent les ancêtres et les dieux), économique (valeur, importance, raisons et effects des transactions), phénomène de morphologie sociale (produit une nervosité et une excitation: fraternisation, opposition dans un giganteste commerce et tournoi), esthétique, juridique (forme de contrat des dons)
        
        DONNER: maintient le rang, conserve l'autorité que si le don est hanté, favorisant les esprit. Seul moyen de prouver la fortune est de donner/dépenser, donc en humiliant les autres.
        
        RECEVOIR: pas le droit de refuser le don, de peur de manifester une crainte de devoir rendre, craindre d'être aplati, c'est à la fois être vaincu et vaincre.
        Forme d'engagement (contrat) de rendre
        
        RENDRE: perte de la face si on ne rend pas, la sanction est l'esclavage. Perte de son rang et du titre d'homme libre
- - - - Distinction à noter entre l'existence d'une structure au sein d'un ensemble de catégories verbales (concepts) et "l'absence de structure qui caractérise normalement tout ensemble de données empiriques directement observées".
        "Les événements ne sont structurés que dans la mesure où nous les dotons d'un certain ordre en leur imposant des catégories verbales"
        Exemple: les rites
        
        Au niveau abstrait, il est facile de distinguer un agencement formel d'un autre (système).
        
        instabilité des sociétés: les sociétés réelles évoluent dans une environnement changeant, dans le temps et dans l'Espace. C'est un processus dans le temps.
        Il y a des changements compatibles avec la continuité de l'ordre formel présent et d'autres changements qui reflète une rupture de cet ordre. p.27
        Les changements sociaux sont ceux du deuxième ordre.
        
        Importance de l'historicité dans les études anthropologiques. La réalté sociale ne forme pas une tout cohérent. elle présente des contradictiosn qui elles, permettent de comprendre les processus du changement social
        Exemple, gumlao et shan: deux contradictions. En vrai --> Gumsa avec tendance vers l'un de ces opposés. Cette tendance mène à des changements constant en société. Mouvement constant.
        Les structures politiques sont instables, elles ne sont compréhensibles qu'en termes des 2 opposés
        
        Dans un angle différent, on aborder les phénomènes de changements sociaux comme des déplacements des pôles du pouvoir politique au sein d'un système donné.
        Le pouvoir étant l'estime des semblables, reconnaissance comme des personnes sociales détentrices de pouvoirs.
        L'estime étant un produit de la culture.
        
        Chaque culture a donc des moyens pour acquérir cette estime et donc le pouvoir à travers des rituels qui servent à "exprimer le statut de l'individu en tant que personne sociale dans le système structurel au sein duquel il se trouve momentanément.
        
        Les rituels sont des actes sociaux accomplis dans des situations sacrées.
        Le rituel est un énoncé symbolique, il dit quelque chose sur les individus qui accomplissent l'acte en question.
        Le mythe est la contrepartie du rituel, ils sont un tout: le mythe raconte alors que le rituel énonce è travers l'acte.
        Le mythe et la rituel ont tous deux la même structure
        
        Les rituels peuvent être interprété pour comprendre l'ordre social. Les mythes et les rituels sont des agencements de symboles. Leur explications à travers les mots de l'anthropologue sont une autre agencement de symboles. Ces deux agencements ont la même strucutre. Le rituel rend donc explicite la structure sociale momentanément alors que normalement elle est fiction.
        
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        Remise en question de la dichotomie entre le sacré et le profane. pour lui c'est une continuum. Chaque acter fonctionnel a un aspect sacré. Les rituels ont donc un aspects fonctionnel et symbolique qui permet de se situer dans une identité, dans une culture donnée.
        
        Leach va observer et prendre en compte des données sur 150 ans. Voir comment les systèmes se chevauchent et évolue.
- - - - Relation dialectique entre le connu et l'inconnu: plus l'un est vaste moins l'autre l'est. Moins la connaissance est vaste, plus il y a présence de système élaboré de représentations qui servent à expliquer l'inconnu
      - Les rapports à la nature et à la société ne peuvent être laissé au hasard, car il faut reproduction de soi et de la collectivité. Pour cela il faut qu'elle résoude ses contradictions.
        
        L'humain cherche donc a maintenir un système d'articulation , de jonction des deux (naturel et surnaturel) qui se confrontent. À un réseau d'impuissance s'oppose donc un réseau de puissances (objet des représentations)
        
        Les moyens sociaux qu'il se donne pour meieux maitriser la nature finissent par le dominer et finalement l'aliéner perdre le contrôle sur les rapports sociaux (servitude et alinations pour la plus grande portion de la population qui n'arrive plus à comprendre le processus social // croissance de l'impuissance des humains)
        
        Les forces de la représentation sont en rapport et imaginés analogiquement au monde humain (même attribut) mais supérieurs et parfaits puisqu'ils doivent assumer les imperfections humaines. #anthropocentrisme
        
        puisqu'ils sont analogues à l'humain, il y a donc pertinence d'un système de communication (instruments de la représentation)
        
        Les instruments de représentations sont les points de jonctions entre la force et la réalité. Les représentations sont inséparables des pratiques (prières, sacrifices etc) Ces instruments se manifestent sous deux formes: la forme théorique et la forme pratique.
        
        La forme théorique: ensemble d'idées, liées entre elles et que la société entretient au sujet de son objet de représentation. Les idées sont très codifiés (religion, mythologie, magie, sorcellerie)
        
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        La forme pratique: les idées sont assorties d'actes d'accompagnement, de pratiques symboliques
        Action qui touche les puissances mais aussi l'individu et le groupe
        comprend rituels // cérémonies, conduites, etc mais surtout la parole
        
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        Ce sont des forces des puissances (dieu, diable et autres indéfinissables) // donc il y a les forces personnifiées et les forces impersonnelles. l'énergie est investie dans des êtres surnaturels ou dans des êtres personnifiés
        
        les êtres personnifiés est en contact avec les humaines et en échange avec eux (à travers des rituels). Ils sont adorés comme les puissants.
        
        forces impersonnelles impreignent tout l'univers ou contenu dans des objets. peut être possédé par les forces personnalisées ou d'autres entités etc peut être manipulée pour aider ou nuire. (mana)
        
        Donne l'impression de controle et de compréhesions sur l'inconnu et des solutions possibles
        Dans la nature (volcan) et dans le social (crime)
      - L'humain à titre collectif est donc partie intégrante de l'objet des représentations
- - - - importance de ne pas morceller le sujet mais impossible de tout savoir en anthropologie. Distinction entre 5 domaines:
        
        anthropo biologique
        
        anthropo préhistorique
        
        anthropo linguistique
        
        anthropo psychologique
        anthropo sociale et culturelle
      - Cette discipline consiste pas à dresser un inventaire des domaines mais bien de montrer comment ils sont liés. Il faut comprendre avec une perspective de totalité // fait total
      - le projet de l'anthropologue consiste dans la reconnaissance, puis la compréhension d'une humanité plurielle. Ce que les humains ont en commun est leur capacité à se différencier, son aptitude à la variation culturelle.
      - selon l'auteur, l'anthropologue ne doit pas travailler à la transformation des sociétés qu'il étudie. Il y a urgence à conserver les patrimoines culturels locaux menacés et urgence d'analyser les mutations culturelles
      - Prise en compte du contexte historiques et culturel lors de l'étude. Le chercheur appartient aussi à une époque et une société ce qui se réflète dans son étude. Cette appartenance n'est pas un obstacle mais une instruments qui nous permet de poser des questions qui n'étaient pas posées avant.
      - L'observateur est partie intégrante de l'objet d'étude: car l'étude de la totalité implique son intégration car sa présence n'est jamais sans conséquence dans l'étude. Il doit donc faire part de ses apprentissages, de ces chocs , émotions et de ses réflexions dans son études, qui sont sources de connaissances.