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Texte 1 : le départ de La Prose du transsibérien et de la petite Jehanne…

- - - - "jouer" x2 => réalité transposée dans son univers
      - "pacotille" => trésor de diamants
      - lors de l'attaque : accumulation + polysyndète => amplification, dimension hyperbolique
      - "de l'autre côté du monde" => rêve, irréel
      - voleurs légendaires, imaginaires
  - - - effet miroir entre le paysage et la tristesse du narrateur
      - sombre = "ombres", "Taciturnes", "ciel bas"
      - nu = "pas de nature !", point d'exclamation qui description virulente
      - froid = "givrés", "congelés", "plaid", "pas plus chaud"
    - - "ciel bas" = donc au milieu du paysage
      - "qui montent et qui descendent" = ordre illogique
      - symbolique du ciel écrasé dans le paysage
- - - - "plaines", "ombres" => paysage changeant rapidement, beaucoup de mouvements
      - emploi de phrases nominales (v35) => le paysage va vite
    - - "l'homme aux lunettes bleues", "Jehanne", "les joueurs de cartes", "femmes" => personnages indéfinis (pluriel, "des", identité ?)
      - "l'épatante présence de Jehanne" => seul personnage avec son prénom et description montrant qu'il apprécie, qu'elle est importante
      - "l'homme aux lunettes bleues" = personnage original "nerveusement"= ambiance pesante, personne menaçante
    - - "le bruit éternel des roues en folie", "bruit des portes", "sifflement de la vapeur", "des essieux grinçants", "jurons" = ouïe éveillé, bruits désagréables
      - allitérations en -s, en -j, en -p (v28)
      - assonnace en -an
      - "rythmes du train", "roue en folie", vers courts fin du 3ème paragraphe = rythme accéléré, saccadé
      - emploi d'une polysyndète, absence de ponctuation => création d'un rythme