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Formation Repère (Posture du praticien (La synchronisation (paceing),…
Formation Repère
Posture du praticien
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Orientation de l'attention, centrer sur soi, centrer sur l'autre. Il faut savoir déceler les changements chez l'autre. Voir les changements d'un état à un autre. déterminer les états désirés pour accompagner la personne vers cet état
La structure de l'expérience suggestive, la carte du monde, le reste c'est le contenu.
En PNL, on ne travail qu'avec la structure et sur le processus
La conscience est comme l'écume sur les vague de l'océan, L'inconscience est capable de traiter plusieurs millions d'informations par seconde. La conscience n'en traite que quelque une.
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La relation avec le client est coopérative, il n'y a pas de PNL s'il n'y a pas de demande.
Calibrage
détecter les changements selon l'intérêt d'un sujet,
- Direction du regard
- La pupille
- Gestes
- Couleur de la peau
- Respiration
- Le rythme de parole
- l'intonation, variation au niveau de la voix
Le calibrage permet de connaitre l'état d'émotion de la personne, c'est à partir de la que l'on commence le travail.
Faire la différence de contexte, chercher les sentiments et les émotions ressenties par la personne par rapport à une situation ou une personne
La synchronisation (paceing), adopter la même allure, le même pas, la même position ou posture. c'est similaire à un effet miroir. Utiliser l'observation du comportement externe pour adopter un comportement similaire
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Auditif, timbre, volume, son
Les critères, adopter les mêmes critères
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Attention à ne pas commencer à singer l'autre, cela peut créer l'effet inverse
Valeurs, Adopter les mêmes codes de façon à ce que la personne en face pense naturellement que vous avez des valeurs proches de les siennes
Les croyances, si possible, il faut adopter les même croyances. Il ne faut pas devenir faut.
Chercher une synchronisation assez proche pour mettre en confiance, Il n'est pas nécessaire d'adopter tous les aspects de la synchronisation, 50 à 60 % est déjà bien suffisant.
Vous pouvez adopter une synchronisation de posture au départ et l'abandonner au cours de la conversation. Vous pouvez la reprendre si vous détecter un changement dans l'attitude de la personne qui nécessite un raccrochage par la posture par exemple.
L’osmose est interdite, le praticien doit toujours garder le contrôle et ne pas rentrer en parfaite synchronisation.
Guidage, il ne doit y avoir qu'un guide, le praticien
Synchroniser / Synchroniser / Guider, amener la personne à se synchroniser avec nous. La synchronisation est naturelle. C'est un comportement naturelle. La praticien doit juste l'utiliser consciemment pour pouvoir guider la personne.
Comment aller rechercher la synchronisation d'une personne après l'avoir perdu, il faut revenir à la synchronisation de base, la posture et la gestuelle.
Il y a deux types de synchronisation,
- Décalée : le praticien adopte une synchronisation sur le rythme de la personne.
- Croisée : le praticien peut changer le rythme de la synchronisation quand le praticien l'a bien adopté
Se synchroniser sur les comportement et non pas sur la personne, Il faut reproduire le comportement. Avec une personne en colère, il ne faut pas se mettre en colère contre la personne, mais se mettre en colère sur le même sujet de colère de la personne.
Déterminer la distance de confort pour la conversation, les premières interactions servent à déterminer cette distance. La salutation, la poignet de main permet également de connaître la position de la personne.
- Dominante, paume vers le bas et rentrée dans la bulle de la personne ;
- Dominer, paume vers le ciel avec respect, voir en retrait ;
- Neutre, paume égale et recherche de la distance de confort. C'est cordial
Pyramide de Maslow,
- Appartenance, adopter les codes pour susciter l'appartenance ;
- Estime, Loi de la dominance, il crée la hiérarchie et la répartition des roles ;
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PCVAREM
- Positif
- Contexte
- Vérifier les observations
- Atteignable
- Réalisable
- Ecologique
- Motivation
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Etablir le cadre,
TOP
- Temps
- Objectif
- Processus
Cette étape est impérative
elle représente 80 % du travail
Le nombre de questions posées et le temps de l’interaction, c'est le cadre de temps
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Le processus, Poser le fait que l'on sera d'égale à égale. Que l'on aura peut-être besoin de temps de réflexion et que la personne l'a également. Je vais peut-être poser des questions qui te sembleront bizarre. Ce n'est pas grave si tu ne peux pas y répondre.
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STOP, poser le fait de pouvoir stopper l'interaction et que la personne a également ce pouvoir
Debout / assis, vous pouvez choisir la position la plus confortable pour vous et la personne
Déroulé le processus dans le temps, travailler avec la personne en lui demandant de placer ses état actuel et désiré sur une ligne de temps avec des feuilles carré
Passer par une métaphore, s'il n'est pas possible de déterminer un objectif positif par le contexte désiré, il faut utiliser une métaphore. Trouver une histoire ou un poème pour imager l'état désiré.
Recueil des informations
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il ne faut pas formuler de question commençant par :
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Ressources, chercher à connecter les ressources
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Test, pont vers le futur. La personne à trouvé un moyen d'atteindre son objectif. Il faut maintenant lui demander s'il voit un moyen d'utiliser la solution dans d'autres cadres.
Contrat de coopération, nous n'appliquons pas la PNL sur quelqu'un, mais avec quelqu'un. Nous pratiquons avec son accord et avec lui.
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Feed-Back
Ce que j'ai aimé de façon factuel, du sujet en vers le praticien
Ce j'aurai fait, de l'observateur en vers le praticien
Ce que j'ai aimé de manière globale, du praticien en vers le praticien
Appliquer la PNL à soi-même,
Il est tout à fait possible d'appliquer la PNL à soit même en se parlant à soit-même et en dissociant deux facettes de nous-même. Nous nous divisons en deux voix, une voix extérieur qui est le praticien et une voix intérieur qui est le client.
Associer : je vie les chose de l'intérieur
Dissocier : je me regarde de l'extérieur et j'analyse mon comportement, les informations que je reçois
L'intérêt de travailler avec quelqu'un d'autre est d'avoir la question surprise qui va nous faire changer notre carte du monde
L'encrage
Un stimulus externe associe une réaction, une cause produit un effet et cette effet est émotionnel.
Pauser l'encrage, associer un encrage à un stimulus pour générer le contrôle d'une émotion. Nous pourrons également inverser des réactions associées à des stimulus.
Les émotions
- Peur
- Colère
- Tristesse
- Joie
Les émotion sont le langage du corps en réaction à l'environnement. L'émotion envoie un signal et donc un message
La peur, signal un danger et envoie le message qu'il faut se protéger.
La colère, signal une impuissance. La colère est d'abord tournée vers soi, contre son impuissance. L'homme retourne très souvent sa colère contre quelqu'un d'autre. Le message envoyer est le changement
La tristesse, cela signal une perte importante. Le message est de mettre en place un processus de reconstruction. On appel cela faire son deuil
La joie, signal la réussite ou le plaisir. Le message est d'en profiter le plus possible, de faire durée
Processus
Calibrage de l'état initial, après avoir établie un état initial d'une émotion (prend un exemple de la situation initial), je fait un état séparateur.
Calibrage d'un état désiré, Comment la personne voudrait se sentir dans cette situation.
pauser la question "Comme quand... ?" pour poser un contexte. Avec le contexte j'associe la personne à l'état interne de ce contexte.
Je fais alors le calibrage de cette état désiré
Poser un ancrage, Une fois que la personne est bien dans cette état, il faut poser une ancre (kinesthésique en premier si la personne le veut bien, par exemple la main sur l'épaule, il est possible d'associer d'autres VAKOG). Une fois l'ancrage fait, il faut faire un nouvel état séparateur.
Test, On fait alors un test pour vérifier que l'ancrage est bien fait. Il est possible de faire une nouvelle association si l'on constate que l'encrage n'est pas bien poser.
Projection dans la futur, Si l'ancrage est posé, on fait une projection dans le futur. On fait une mise en situation de la personne dans une situation futur
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Ressources
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Mon oncle d’Amérique, film avec Gérard De Pardieu
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Éduquer avec le sourire, livre
Viktor Frankel, livre sur la colère et le changement découvrir le sens de sa vie avec la logotérapie
Processus de deuil, Elisabete Rosse
L'approche intégrale, de Ken Willer
Changement
Questions de constatation, d'où vient le problème. Il fait ressortir les causes. C'est le cadre du blâme, c'est questions, on ne les pose jamais en PNL. On ne cherche pas le pourquoi mais le comment. Ces questions mènent vers l'échec et instaurer des limites. Nous restons dans notre cadre des aprioris.
Question de processus, qui amène à la solution, à l'objectif. Il amène vers l'état désiré. C'est le cadre de l'objectif. Ces questions amènent un Feed-back et donc des possibilités. Cela amène de la curiosité
En PNL, on reste fondamentalement positif et constructive, le problème, on s'en fout.
Cadre du comportement, cadre du "Comme si...", le cerveau des représentations ne connait pas la notion de temps. On peut faire comme si nous y étions déjà.
Cadre d'intervention, dans le temps, dans le contraste.
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Exercices
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Déterminer des émotions,
Le jugement hâtif, je déteste quand une personne accuse une autre personne sans avoir réfléchi au paravent si ce n'est pas elle la fautive
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Auto-ancrage
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Trois étapes,
- Etat neutre
- Recherche de ressources dans le passé
- Projection dans le futur
Ce que je souhaite changer, qu'est-ce que je
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Arrêter de penser à essayer de faire, mais faire ou ne pas faire
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Aller au plus simple, je complexifie toujours ce que je souhaite transmettre
Je dois savoir freiner mon enthousiasme, Lorsque je veux exprimer une idée, je dois la réfléchir et trouver les bons mots pour l'exprimer de façon juste et simple.
Ma flemmardise, ma procrastination
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Avoir plus souvent le réflexe de demander l'avis et les conseils de mes collègues sur un sujet, même si je pense le maitriser
Je voudrais agir plus vite à mon environnement, je réfléchi trop aux conséquences de mes actes et parfois je ne passe même pas à l'action.
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Attitudes relationnelles
Aide et soutien, cela va bien un moment, mais cela ne dure jamais longtemps.
Compassion.
Ordre et conseil, on donne des conseils, des solutions par rapport à notre propre carte. Le conseillé est sachant. La personne ne saura pas appliquer le conseil ou ne voudra pas l'appliquer
Enquête et investigation, on pose des questions pour chercher l'origine du problème. On fait la police. Pour satisfaire sa curiosité personnelle
Jugement et évaluation, on se base sur ses critères, ses valeurs, ses croyances pour juger
Interprétation, on ce base sur le contexte de la situation
Compréhension, l'écoute active. Il faut avoir une attitude empathique. On va chercher à adopter la carte du monde de la personne. Mais on doit veiller à toujours rester soi-même. On ne doit pas fusionner avec l'autre. C'est un système de résonance qui peut être paradoxal, mais qui est un outil puissant de la PNL.
La reformulation, on vérifie que l'on a bien compris la situation et on peut faire écouter ses propres mots à la personne. Cela fixe la compréhension.
La reformulation écho ou perroquet, on reformule sous forme de question. Cela permet d'inviter la personne à aller plus loin.
La relance, on cherche à faire parler un peu plus la personne, avoir plus d'ouverture, du résonnement.
- Oui, est encore ?
- Que peux-tu me dire d'autre ?
- Qu'as-tu ressenti d'autre ?
- ...
Le silence, il ne doit pas être toujours continue, il faut savoir montrer que l'on est à l'écoute.
Les accusés de réceptions, c'est l'instrument qui permet de guider la personne. Le praticien doit conduire l’interaction pour pouvoir le guider
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Modélisation
Chercher à reproduire la méthodologie des autres, et particulièrement des personnes influentes, qui réussissent
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La carte
Le modèle du monde, c'est un ensemble de carte de situation
Notre carte nous est propre, notre façon de voir le monde n'est pas forcément la façon de voir le monde de l'autre.