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Texte 1 : Robinson, anti-héros ou héros ? de Michel Tournier Ouverture :…
Texte 1 : Robinson, anti-héros ou héros ? de Michel Tournier Ouverture : Sa Majesté des mouches de William Golding ou passage dans l'alvéol
Robinson passe de bipède à un quadrupède puis à la reptation et pour finir il ne bouge même plus du tout
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=> Animalisation de Robinson, il perd tous ce qui pouvait le différenciés d'un animale (il vit nu), il perd son mode de déplacement (bipède > quadrupède > reptation > immobilité (= état larvaire)
La fuite du temps
Plus de repère temporel, temps flou "Robinson ne savait plus depuis combien de temps" ligne 2
Emploi de l'imparfait = pas de limite de temps, créé un flottement
Rêverie incontrôlé > perte de temps "il suivait dans un rêverie hébétée des brides de souvenirs qui, remontant de son passé, dansaient au ciel dans l'entrelacs des feuilles immobiles" lignes 19, 20 et 21
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Fuite de l'espace, de l'île
La souille "douceur des sables et des vases" ligne 7 > tapis flottant
= forteresse du magasin > molle > rouleaux de laine
Isotopie de la glissade "perdait son corps", "glissade", "déplaçait", "rouler"
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Destruction de l'esprit
Présenter comme un statue = pas de vie, froid, sans âme, sans esprit
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= > La souille est une déchéance du personnage et du héros avec le moment de fuite = le héros arrête de combattre, Robinson a besoin d'autrui pour être debout