Ruines-de-Rome, de Pierre Senges : un fragment décrit la vie grise, bétonnée, monotone, monochromatique de l'homme isolé dans la métropole, par contraste sur la couleur de la cité, amenée via des matériaux et des adjectifs de couleur, p. 14-15. "Herbes de bitume. J'habite dans une rue grise qui menait [etc. gypse, plâtre, craie, emplâtre, argile, rails, l'ombre, termes de la couleur de grisaille sur lesquelles viendront se détacher les mots de "Soupes et de feuilles d'artichauds", puis le pli du rose.]