Peter Dauvergne dans son livre Environmentalism of the rich (L’écologisme des riches) :
« Il est facile de se laisser happer par l’écologisme des riches. Il suinte l’optimisme et se prétend pragmatique et réaliste, en faisant appel à la volonté compréhensible de dépasser le pessimisme et le cynisme — dont est souvent taxé l’activisme écologique de la « vieille école ». Les solutions qu’il propose sont le fruit de l’innovation et du business, de la création de richesse, des nouvelles technologies, des éco-marchés, du libre-échange, des investissements étrangers, d’un développement plus poussé, et non pas de nouvelles législations pour contenir les excès et transformer les modes de vie. Tout ce qui est nécessaire, ce sont de petites étapes et de petits changements, permettant de faire croire aux gens qu’ils progressent en direction de la soutenabilité sans avoir à sacrifier quoi que ce soit. »